FĂȘterNoĂ«l en GrĂšce Les traditions de NoĂ«l en GrĂšce. En GrĂšce, le rĂ©veillon de NoĂ«l se dĂ©roule plutĂŽt le 31 dĂ©cembre. En effet, c’est Saint Basile qui donne les cadeaux aux enfants Ă  la place du PĂšre NoĂ«l. Les maisons grecques sont dĂ©corĂ©es de bateaux. Et oui ! Mais avec le temps, les sapins s’immiscent dans les salons. Ce texte fait partie du cahier spĂ©cial Festin des FĂȘtes D’aprĂšs le recensement canadien de 2006, prĂšs de 62 000 Grecs vivent Ă  MontrĂ©al. Pour plusieurs d’entre eux, les fĂȘtes de NoĂ«l et le rĂ©veillon de la nouvelle annĂ©e sont l’occasion de partager non seulement de bons moments en famille, mais, surtout, de bons petits plats ! Chez les Grecs, on cuisine beaucoup et on mange beaucoup pour les fĂȘtes », confie d’un ton joyeux George Spiliadis, fils de Costas, l’homme derriĂšre le populaire restaurant Milos de MontrĂ©al, mais Ă©galement propriĂ©taire de ceux de New York, AthĂšnes, Las Vegas et Miami. Du 24 au 26 ! D’aprĂšs le jeune restaurateur, les MontrĂ©alais d’origine grecque Ă©prouvent en gĂ©nĂ©ral beaucoup de plaisir Ă  planifier les cĂ©lĂ©brations de NoĂ«l et de la nouvelle annĂ©e. DĂšs octobre, le tĂ©lĂ©phone se met Ă  sonner et l’organisation des festivitĂ©s se met en branle. Chez nous, les cĂ©lĂ©brations durent trois jours. Le 24, traditionnellement, on se rĂ©unit avec les oncles, les tantes, les cousins, les cousines. Le 25, on va visiter d’autres membres de la famille proche, puis le 26, on voit les amis ou les gens qu’on n’a pas pu voir le 24 et le 25. Pour organiser tout cela, il faut s’y prendre d’avance. On planifie d’abord oĂč ça va avoir lieu, et ensuite, on dĂ©cide de ce qu’on va manger », raconte-t-il. Chez les Spiliadis comme chez de nombreux QuĂ©bĂ©cois d’origine grecque, gĂ©nĂ©ralement, c’est le 24 dĂ©cembre qu’ont lieu les plus grands festins. AprĂšs avoir cuisinĂ© toute la journĂ©e et mĂȘme parfois pendant plusieurs jours, la famille assiste Ă  la messe puis se rĂ©unit autour d’un repas qui est constituĂ© de spĂ©cialitĂ©s grecques de toutes sortes. À table ! Chacun apporte la spĂ©cialitĂ© pour laquelle il est connu dans la famille. Ma tante est connue pour faire un bon dessert. C’est un pita Ă  base de lait, avec un peu de cannelle. Ma grand-mĂšre fait des feuilles de vigne farcies. Mon pĂšre, sa spĂ©cialitĂ©, c’est l’agneau. Sinon, on sert souvent des poissons fumĂ©s, du caviar, des crabes, etc. Ça dĂ©pend des familles. C’est une cĂ©lĂ©bration lors de laquelle, gĂ©nĂ©ralement, les plats les plus apprĂ©ciĂ©s sont servis », explique le restaurateur. CĂŽtĂ© pĂątisserie, les 24 et 25 dĂ©cembre, plusieurs Grecs montrĂ©alais font leur la tradition quĂ©bĂ©coise et se procurent une bĂ»che de NoĂ«l. Il est mĂȘme possible d’acheter une bĂ»che Ă  la pĂątisserie grecque », assure M. Spiliadis, qui confie apprĂ©cier ce dessert. Comme la plupart des QuĂ©bĂ©cois, de nombreux MontrĂ©alais d’origine grecque voient dans les festivitĂ©s de NoĂ«l une excellente occasion de sortir de bonnes bouteilles. On sort le champagne et le vin rouge, confirme M. Spiliadis. On sert de grands vins pour accompagner le repas. » Sur le continent En GrĂšce, toutefois, la tradition est, semble-t-il, un peu diffĂ©rente. Le porcelet au four a la cote, tout comme le poulet farci, signale M. Spiliadis. De plus, malgrĂ© les festivitĂ©s souvent tardives du rĂ©veillon, de nombreuses familles se rendent Ă  l’église le 25 dĂ©cembre au matin pour assister Ă  la messe de NoĂ«l. AprĂšs la messe, on sert des desserts traditionnels, comme les melomakarona. Puis, aprĂšs le dessert, on sert des petits morceaux de porc frit », prĂ©cise-t-il. Le vassilopita, un gĂąteau spongieux de type cake, est Ă©galement trĂšs populaire en GrĂšce, mais il est davantage servi au Jour de l’an. On y introduit une piĂšce de monnaie et, selon la lĂ©gende, celui qui tombe sur la piĂšce en mangeant sa portion de gĂąteau s’attire la chance pour toute l’annĂ©e. En GrĂšce, le pĂšre NoĂ«l n’existe pas. Il y a saint Vassilis. L’histoire raconte qu’il donnait des gĂąteaux aux pauvres. C’est en son honneur qu’on a nommĂ© le vassilopita », dit le restaurateur. Certaines pĂątisseries grecques le confectionnent Ă  MontrĂ©al ; il est donc possible d’en trouver pendant la pĂ©riode des fĂȘtes. Toutefois, cette tradition n’est pas aussi populaire ici qu’en GrĂšce. Le 31 dĂ©cembre Contrairement Ă  de nombreux restaurateurs montrĂ©alais, les Spiliadis ne prĂ©parent pas de menu spĂ©cial pour le rĂ©veillon, ni pour la soirĂ©e de NoĂ«l chez Milos. Toutefois, le 31 dĂ©cembre, la famille cĂ©lĂšbre la venue du Nouvel An avec ses amis et sa clientĂšle en concoctant une soirĂ©e haute en couleur. Pour l’occasion, Milos prend des airs de fĂȘte. Le restaurant est largement dĂ©corĂ© ; un grand sapin y trĂŽne mĂȘme. Un disque-jockey se charge de l’ambiance en lançant tantĂŽt des classiques grecs, tantĂŽt des standards de jazz, ce qui donne Ă  la soirĂ©e un ton plutĂŽt guilleret. Un menu spĂ©cial est Ă©galement proposĂ©. Celui-ci est composĂ© des spĂ©cialitĂ©s du restaurant et est servi une premiĂšre fois Ă  18 h, puis une seconde fois Ă  21 h 30. Le tout est offert Ă  125 $, vin non compris. Cette annĂ©e, il y aura plusieurs choses au menu notre pieuvre grillĂ©e, nos calamars frits, notre Milos spĂ©cial — ce sont des tranches fines de courgettes et d’aubergines qui sont lĂ©gĂšrement frites et qui sont servies avec du tzaziki —, des beignets de crabes et des crevettes. Comme plat principal, on offre un poisson grillĂ© et une cĂŽtelette d’agneau, une salade grecque et un dessert traditionnel grec, soit des baklavas et des fruits. Au total, ça fait cinq services », annonce M. Spiliadis. Chaque annĂ©e, quelques minutes avant le coup de minuit, les Spiliadis offrent un verre de champagne aux convives rĂ©unis pour cĂ©lĂ©brer la nouvelle annĂ©e. Lorsqu’est entamĂ© le dĂ©compte, tous sont invitĂ©s Ă  lever leur verre et Ă  offrir leurs vƓux. Comme la soirĂ©e est gĂ©nĂ©ralement populaire, en particulier la deuxiĂšme mouture, mieux vaut s’y prendre d’avance si l’on souhaite cĂ©lĂ©brer la nouvelle annĂ©e chez Milos. Pour rĂ©server une place pour ce souper festif Collaboratrice À voir en vidĂ©o Encette pĂ©riode de fĂȘtes, on observe depuis quelques annĂ©e un dĂ©voilement progressif de l’intimitĂ© du PĂšre NoĂ«l, de ses habitudes et ses comportements. Si l’on tape « sexe PĂšre NoĂ«l Continuons notre petit voyage de fin d'annĂ©e en GrĂšce, le pays oĂč l'architecture se mĂ©lange avec la mer, et oĂč la mythologie permet aux petits et aux grands de rĂ©aliser de beaux voyages avec Ulysse et ses exploits... Mais bref, En GrĂšce, pays orthodoxe, les fĂȘtes de NoĂ«l dĂ©butent le 24 dĂ©cembre pour une durĂ©e de 12 jours, soit jusqu'Ă  l'Épiphanie, et cette pĂ©riode s'appelle Douzaine. De nombreuses coutumes sont cĂ©lĂ©brĂ©es Ă  travers le pays, avec des variantes suivant les rĂ©gions. Ces coutumes sont le fruits des croyances paĂŻennes et catholiques. De ce fait, les Saints ont pris la place des hĂ©ros et des dieux, mais l'attachement d'une populaire Ă  des coutumes ancestrales ont obligĂ© le clergĂ© a tenir compte de ces traditions contraires Ă  ses dogmes. Dans les temps passĂ©s, NoĂ«l ne correspondait pas Ă  la naissance du Christ, mais Ă  la victoire de la lumiĂšre sur les tĂ©nĂšbres. En effet, le 25 dĂ©cembre est fĂȘter quelques jours aprĂšs le solstice d'hiver 22 dĂ©cembre, moment oĂč la nuit est plus longue que le jour. De ce fait, les festivitĂ©s en l'honneur du dieu Mithra, le soleil, est devenu en 354 ap. le jour anniversaire du Christ, la nouvelle lumiĂšre du monde. La veille de NoĂ«l, un copieux repas termine une pĂ©riode jeĂ»ne, et l'on se couche tĂŽt pour assister Ă  la messe qui peut commencer Ă  quatre heures du matin. Le 25 dĂ©cembre, toute la famille mange du miel, des fruits secs et le Christopsomo » le pain du Christ sorte de galette aux noix prĂ©parer par la maĂźtresse de maison, et qui a laisser l'empreinte de la main, reprĂ©sentant symboliquement la preuve de la naissance du Christ car il y a laisser la marque de ses doigts. Ensuite, les familles se rendent au cimetiĂšre, oĂč un prĂȘtre chante un psaume Ă  la mĂ©moire des disparus. Le pĂšre NoĂ«l cĂšde sa place pour la distribution des cadeaux Ă  Saint-Basile, un philanthrope de l'Asie Mineure sous l'Empire Byzantin, qui rĂ©alise sa tournĂ©e dans la nuit du 31 dĂ©cembre et distribue aux enfants sages des friandises et les cadeaux tant attendus. St-Basile dĂ©pose les prĂ©sents prĂšs du foyer ou sur la table des festivitĂ©s, et il y a toujours a son attention un Christopsomo » pour lui. Dans certaines rĂ©gion, les formes de cette galette peuvent reprĂ©sentĂ©es des animaux, vache, lapin, mouton et un pain est spĂ©cialement dĂ©diĂ© au bĂ©tail et est donnĂ© par la fille aĂźnĂ©e de la maison. A Lemnos, le centre de table est composĂ© de pommes grenades et de miel. La dinde de NoĂ«l, initialement nĂ©e dans les pays situĂ©s plus au Nord, est farcie diffĂ©remment, soit avec de la viande, des baies et des tomates. Pour le nouvel an, les Melomakaronas baignĂ©s de miel et les Kourabiedes recouverts de sucre glace, spĂ©cialitĂ©s pĂątissiĂšres offertes au voisins et amis. Les gĂąteaux peuvent contenir une piĂšces d'or ou d'argent. A Smyrne, l'empreinte du l'aigle Byzantin se trouve au centre du gĂąteau. A Madytos, une branche d'olivier est piquĂ©e dans le gĂąteau et placĂ© au centre de la table avec des noix, des oranges, des pommes, ces dĂ©corations culinaires restent de NoĂ«l Ă  l'Épiphanie, et il sera mangĂ© qu'Ă  cette derniĂšre occasion. Traditionnellement, chaque maison s'ornait d'une maquette de bateau en bois, de taille variable, ornĂ© d'une guirlande lumineuse et de petites bougies. Dans l'antiquitĂ©, dans les Ăźles de Ioniennes et Ă  AthĂšnes, un bateau sur une plate-forme faisait le tour de la ville afin de montrer Ă  tout le monde la fin de l'hiver ou des groupes d'adolescents passaient de maison en maison en chantant les Kalanta » et avec un petit bateau dans les mains afin d'annoncer la venue de Saint-Basile. De nos jours, le sapin de NoĂ«l tradition Bavaroise a fait son apparition en GrĂšce au dĂ©but du XIXĂšme siĂšcle. La tradition du petit bateau est cependant toujours prĂ©sente dans quelques Îles. Paule Dugast. NOËLPour commencer, NoĂ«l. On ne sent pas des masses l’esprit de NoĂ«l ici, sĂ»rement Ă  cause de la mĂ©tĂ©o (un NoĂ«l Ă  20°, ça vous met dans l’ambiance vous?). Ce n’est pas faute de s’évertuer Ă  coller partout des lumiĂšres, Ă  profusion, jusqu’à l’indigestion et l’aveuglement. Vous verriez le sapin de notre hall d PubliĂ© le 24/12/2015 Ă  1703 Saint Nicolas, Ă  l'origine de la figure du vieil homme tant aimĂ© des enfants, portait dĂ©jĂ  toute la symbolique dont est chargĂ© le mythe d'aujourd'hui. TORU YAMANAKA/AFP Une idĂ©e reçue veut que l'Homme en rouge» doive sa couleur Ă©carlate Ă  une publicitĂ© pour Coca Cola. À l'image de certaines lĂ©gendes colportĂ©es de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, cette croyance populaire n'est pas tout Ă  fait exacte. Explications. Non, ce n'est pas la marque de boisson Coca-Cola qui a donnĂ© naissance Ă  la couleur Ă©carlate des habits du pĂšre NoĂ«l. L'idĂ©e selon laquelle les vĂȘtements qui enveloppent la silhouette enrobĂ©e du Santa Claus sont passĂ©s au rouge aprĂšs une campagne de publicitĂ© pour le fameux soda, n'est pas lĂ©gende de Saint-Nicolas, Ă  l'origine de la figure du vieil homme tant aimĂ© des enfants, portait dĂ©jĂ  toute la symbolique dont est chargĂ© le mythe d'aujourd' Nicolas nĂ© entre 250 et 270 aprĂšs J-C, dont la tradition germanique cĂ©lĂšbre la mort le 6 dĂ©cembre, Ă©tait dĂ©jĂ  reprĂ©sentĂ© avec une cape carmin et la fameuse barbe blanche qu'on lui connaĂźt aujourd'hui. DĂšs le Moyen Âge, Saint-Nicolas est reprĂ©sentĂ© avec une grande barbe, une crosse d'Ă©vĂȘque, une cape de couleur rouge et une mitre le couvre-chef de l'Ă©vĂȘque», assure Nadine Cretin, auteur d'Histoire du PĂšre NoĂ«lĂ©ditions Le PĂ©rĂ©grinateur. D'autres caractĂ©ristiques sont aussi reprises de la figure chrĂ©tienne Saint-Nicolas de Myre voyageait au travers des villages sur le dos d'un Ăąne, l'habitant de Laponie. Le pĂšre NoĂ«l voyage dans un traĂźneau tirĂ© par des pour sa gĂ©nĂ©rositĂ© envers les plus faibles, la lĂ©gende raconte que l'Ă©vĂšque passait dans les maisons pour apporter des friandises aux enfants sages... tandis que son alter ego nĂ©gatif, le pĂšre fouettard, vĂȘtu d'un grand manteau noir et de grosses bottes, Ă©tait chargĂ© de punir les petits en 1931Au XIXeme siĂšcle, les Hollandais l'apportent avec eux dans leurs valises lorsqu'ils colonisent les États-Unis. Peu Ă  peu, l'appellation initiale Sinterklaas» locale devient Santa Claus», anglicisĂ©e. Puis Saint Nicolas prend peu Ă  peu la figure que l'on connaĂźt aujorud' 1822, le pasteur Clement Clarke Moore Ă©crit Une visite de saint Nicolas, une histoire pour enfants qui raconte l'histoire de Saint Nick, Un petit vieux gaillard» baladĂ© sur un traineau par des rennes. Le conte rencontre un franc succĂšs et permet de rendre populaire le personnage aux États-Unis. Le dessinateur Robert Weir colorise pour la premiĂšre fois son habillage, en 1838 et imagine en lutin» qui descend Ă©galement dans la cheminĂ©e pour distribuer des cadeaux aux les annĂ©es 30, se structure la figure du pĂšre NoĂ«l qui nous est familiĂšre. C'est alors que la firme de boissons Ă  bulles dĂ©cide d'utiliser le potentiel marketing de ce papi gĂąteaux pour accroĂźtre ses ventes durant l'hiver. Le premier dessin, signĂ© l'artiste amĂ©ricain, Haddon Sundblom le croque en rouge. C'est ainsi que le pĂšre NoĂ«l prendra une dimension planĂ©taire et restera, de rouge vĂ©tu pour toujours dans l'imaginaire collectif. À lire aussiL'actrice Gina Lollobrigida, 95 ans, candidate au SĂ©nat en ItalieLa lĂ©gende du cinĂ©ma italien, connue pour son rĂŽle d'Esmeralda dans le Notre-Dame de Paris de Jean Delannoy en 1956, retente sa chance en en Iran, LeĂŻla et ses frĂšres arrive dans les salles françaisesCensurĂ© dans son pays natal, le film de Saeed Roustaee, qui dresse le portrait d'une sociĂ©tĂ© iranienne en crise, dĂ©barque en France au cinĂ©ma mercredi 24 aoĂ»t. PrĂ©sentĂ© au festival de Cannes, il avait sĂ©duit la Oscars s'excusent auprĂšs de Sacheen Littlefeather, huĂ©e, aprĂšs avoir refusĂ© une statuette au nom de Marlon Brando en 1973L'actrice et militante amĂ©rindienne, Apache et Yaqui, a Ă©tĂ© conspuĂ©e lors de la cĂ©rĂ©monie de 1973 alors qu'elle expliquait pourquoi Marlon Brando, qui n'Ă©tait pas venu, dĂ©clinait son Oscar du meilleur acteur pour Le Parrain. Onne sait exactement la date, ni l'origine exacte de notre PĂšre NoĂ«l. Il apparut mystĂ©rieusement au 19e siĂšcle. Saint Nicolas dĂ©barrassĂ© de sa mitre, de sa crosse et de son Ăąne apparaĂźt en 1822 dans un poĂšme qu'un thĂ©ologien amĂ©ricain Ă©crivit pour ses enfants : La visite de saint Nicolas, la veille de NoĂ«l. En 1863, ce poĂšme fut Codycross est un jeu mobile dont l'objectif est de trouver tous les mots d'une grille. Pour cela, vous ne disposez que des dĂ©finitions de chaque mot. Certaines lettres peuvent parfois ĂȘtre prĂ©sentes pour le mot Ă  deviner. Sur Astuces-Jeux, nous vous proposons de dĂ©couvrir la solution complĂšte de Codycross. Voici le mot Ă  trouver pour la dĂ©finition "Ce saint est le PĂšre NoĂ«l en GrĂšce" groupe 162 – grille n°5 basile Une fois ce nouveau mot devinĂ©, vous pouvez retrouver la solution des autres mots se trouvant dans la mĂȘme grille en cliquant ici. 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Mais dĂšs les premiĂšres illustrations colorĂ©es qui suivirent les annĂ©es suivantes, le PĂšre NoĂ«l arborait dĂ©jĂ  un costume rouge ! Cependant, l’histoire du soda est quand mĂȘme Ă©troitement liĂ©e Ă  la popularisation du PĂšre NoĂ«l, dans le portrait actuel que nous connaissons de lui. L’histoire est alors beaucoup plus simple durant les annĂ©es 30, les boissons gazeuses Ă©taient trĂšs saisonniĂšres, l’hiver Ă©tant la saison la moins propice Ă  la consommation de Coca-Cola. En 1931, la firme s’apporte le soutien du personnage mondialement connu. Durant sa longue nuit de livraison de jouets, le PĂšre NoĂ«l, il doit avoir soif ? Quoi de mieux qu’un Coca-Cola pour se donner des forces ? Et en plus, il porte dĂ©jĂ  la couleur de la marque, idĂ©al pour associer facilement deux icĂŽnes mondialement connues... ! Jusqu’en 1964, c’est l’illustrateur Haddon Sundblom qui va crĂ©er les publicitĂ©s de NoĂ«l pour Coca-Cola, mettant en scĂšne le PĂšre NoĂ«l en train de distribuer ses cadeaux, de se dĂ©tendre avec les enfants ou encore de faire une pause Coca-Cola. DĂ©sormais, chaque hiver, le PĂšre NoĂ«l devient l’ambassadeur de la boisson, et ce depuis plus de 70 ans maintenant. Àl’instar de Nicolas de Myre (Saint-Nicolas) en Occident, Basile de CĂ©sarĂ©e tient le rĂŽle de pĂšre NoĂ«l en GrĂšce. C’est lui que les Grecs cĂ©lĂšbrent. Aussi appelĂ© Basile le Grand, l
PubliĂ© le 23/12/2013 Ă  1211, Mis Ă  jour le 23/12/2013 Ă  1501 WOOHAE CHO/AFP Au grĂ© des traditions rĂ©gionales et des vagues d'immigration, la figure du vieil homme distribuant des cadeaux aux enfants a Ă©voluĂ© jusqu'Ă  devenir notre PĂšre NoĂ«l actuel. En France, ce dernier s'imposera dans les annĂ©es 1950 malgrĂ© la dĂ©fiance de l'Ă©glise PĂšre NoĂ«l n'a pas toujours existĂ©. Ou du moins, sous sa forme actuelle. Le vieil homme bien aimĂ© des enfants a connu de nombreuses mutations en fonction des croyances rĂ©gionales, avant de s'imposer dans le monde occidental au sortir de la seconde guerre mondiale. Son histoire est Ă©galement intimement liĂ©e Ă  celle de la cĂ©lĂ©bration de NoĂ«l et de sa progressive avant la naissance de JĂ©sus, les EuropĂ©ens ont pris l'habitude de fĂȘter le passage du solstice d'hiver, et donc le retour annoncĂ© du printemps, Ă  la fin dĂ©cembre. On dĂ©core les habitations avec des feuillages et des branches de sapin, on organise des festins, on s'Ă©change des cadeaux. Ces cĂ©lĂ©brations paĂŻennes, ancrĂ©es dans la tradition depuis des siĂšcles, ne sont pas du goĂ»t de l'Ă©glise catholique qui souhaite les voir disparaĂźtre. En 354, le pape LibĂšre fixe la date de la naissance de JĂ©sus au 25 dĂ©cembre. L'objectif est atteint la fĂȘte du solstice d'hiver est peu Ă  peu oubliĂ©e au profit d'une cĂ©lĂ©bration purement Nicolas, protecteur des enfantsSaint NicolasSept cent ans plus tard, dans l'Europe germanique, un autre personnage chrĂ©tien fait parler de lui Saint Nicolas. Cet Ă©vĂȘque, ayant vĂ©cu Ă  la fin du IIIe siĂšcle au sud de l'actuelle Turquie, est parĂ© de nombreuses vertus. On raconte que par sa gĂ©nĂ©rositĂ©, il a rĂ©alisĂ© des miracles. D'autres disent qu'il aurait ressuscitĂ© des enfants tuĂ©s par un boucher. Le saint devient le protecteur des petits. La tradition germanique cĂ©lĂšbre sa mort, le 6 dĂ©cembre, en distribuant des cadeaux aux enfants sages. La figure de Saint-Nicolas est nĂ©e. Le Saint descend du ciel dans la nuit du 5 au 6 dĂ©cembre, accompagnĂ© d'un Ăąne ou d'un cheval blanc, selon les pays. Il se glisse dans les cheminĂ©es, et distribue cadeaux et friandises sa monture, elle, se nourrit des pommes et des carottes laissĂ©es par les enfants. Mais gare Ă  ceux qui n'ont pas Ă©tĂ© sages. Le compĂšre de Saint-Nicolas, le PĂšre Fouettard, est chargĂ© de punir les vilains cĂ©lĂ©brations de la Saint-Nicolas s'Ă©tendent Ă  l'Europe du Nord, centrale et de l'Est. En France, il est fĂȘtĂ© dans les Flandres, en Alsace, en Champagne et en Franche-ComtĂ©. Au XIXe siĂšcle, les Hollandais migrant aux Etats-Unis importent la tradition de Sinterclaes», qui deviendra par dĂ©formation Santa-Claus». La premiĂšre pierre Ă  la crĂ©ation du mythe du PĂšre NoĂ«l est posĂ©e en 1823, avec la publication dans un journal amĂ©ricain du poĂšme A visit from St Nicholas», mieux connu depuis sous le nom de The night before Christmas». L'oeuvre raconte la venue de Saint-Nicolas, un sympathique lutin dodu et souriant, qui descend du ciel dans un traineau tirĂ© par huit rennes, et distribue des cadeaux aux enfants dans la nuit du 24 au 25 Santa Claus au PĂšre NoĂ«lSaint Nicolas en 1906Dans les dĂ©cennies suivantes, l'imagerie de Santa-Claus varie au grĂ© des illustrateurs et des nouvelles histoires inventĂ©es par les romanciers. En 1885, on prĂ©cise que l'homme vient non pas du ciel, mais du PĂŽle Nord, oĂč il dispose d'une usine Ă  jouets. Ces reprĂ©sentations s'imposent peu Ă  peu dans l'inconscient collectif amĂ©ricain, tout comme la distribution des cadeaux le 25 dĂ©cembre. Notre PĂšre NoĂ«l actuel prend forme en 1931, quand la marque de soda Coca-Cola cherche un moyen de vendre ses boissons en hiver. Elle charge l'illustrateur Haddon Sundblom de trouver une mascotte. Ce dernier s'oriente vers Santa-Claus, et s'inspire de prĂ©cĂ©dentes reprĂ©sentations parues dans la presse du dĂ©but du siĂšcle, et montrant un vieil homme habillĂ© en rouge et en blanc. Les couleurs de Coca-Cola! Haddon Sundblom accentue dans sa publicitĂ© la jovialitĂ© et la bonhommie du vieil homme le PĂšre-NoĂ«l moderne est nĂ©, et son image s'impose dans tous les Europe, c'est une autre histoire. La tradition de la Saint-Nicolas est toujours trĂšs vivace dans les pays de tradition germanique et dans l'est de la France, tandis que Un conte de NoĂ«l» de Charles Dickens, paru en 1843 au Royaume-Uni, met l'accent sur l'esprit de gĂ©nĂ©rositĂ© personnelle et de rĂ©demption durant cette pĂ©riode. Il faudra attendre la fin de la Seconde guerre mondiale pour que le PĂšre NoĂ«l dĂ©barque brusquement dans les foyers europĂ©ens. Notre pays succombe rapidement Ă  l'aura de ce personnage liĂ© Ă  la sĂ©duisante american way of life» et importe des traditions qui lui sont peu ou pas connues le sapin richement dĂ©corĂ©, le papier cadeau, les cartes de voeux, et les cadeaux bien plus onĂ©reux que la traditionnelle orange dĂ©volue aux PĂšre NoĂ«l brĂ»lĂ© devant la cathĂ©drale de Dijon en 1951Le PĂšre NoĂ«l brĂ»lĂ© Ă  DijonCe mouvement n'est pas pour plaire Ă  l'Ă©glise catholique, qui voit d'un trĂšs mauvais oeil ce personnage paĂŻen dĂ©tournant les familles du message de la naissance du Christ. Cette dĂ©fiance est illustrĂ©e de maniĂšre spectaculaire Ă  Dijon, le 23 dĂ©cembre 1951 le PĂšre NoĂ«l est brĂ»lĂ© comme un hĂ©rĂ©tique devant les grilles de la cathĂ©drale de la ville! Il ne s'agissait pas d'une attraction, mais d'un geste symbolique. Le PĂšre NoĂ«l a Ă©tĂ© sacrifiĂ© en holocauste. À la vĂ©ritĂ©, le mensonge ne peut Ă©veiller le sentiment religieux chez l'enfant et n'est en aucune façon une mĂ©thode d'Ă©ducation», Ă©crivait l'Ă©glise de Dijon. Pour nous, chrĂ©tiens, la fĂȘte de NoĂ«l doit rester la fĂȘte anniversaire de la naissance du Sauveur».L'Ă©piscopat français approuve cette action, et dĂ©plore que le PĂšre NoĂ«l et le sapin se sont introduits dans les Ă©coles publiques alors qu'ils sont la rĂ©miniscence de cĂ©rĂ©monies paĂŻennes liĂ©es au culte de la Nature qui n'ont rien de chrĂ©tiennes alors qu'au nom d'une laĂŻcitĂ© outranciĂšre la crĂšche est scrupuleusement bannie des mĂȘmes Ă©coles.» Ces rĂ©sistances de l'Ă©glise catholique française seront vaines face Ă  la puissance du PĂšre NoĂ«l, et des cĂ©lĂ©brations associĂ©es. Mais rien est figĂ©, et l'imagerie de NoĂ«l pourrait encore Ă©voluer dans les siĂšcles Ă  venir.
Lareprésentation la plus célÚbre du PÚre Noël vient de "Twas la nuit avant Noël" quand tout au long de la maison - whoops, désolé - dont le titre original est "Une visite de Saint-Nicolas". Son "Jour de Nom" est le 6 décembre, l'anniversaire de sa mort, qui est encore une date de cadeau dans beaucoup de pays, bien que la plupart se soient conformés au 25Úme
Le mot grec pour NoĂ«l est Christougena ou Christougenna, signifiant littĂ©ralement "la naissance du Christ". Quand les Grecs disent "Joyeux NoĂ«l", disent-ils, "Kala Christougena. " Le apparent g le son se prononce comme un y. Pendant la saison touristique hivernale, vous ĂȘtes Ă©galement susceptible de le voir comme Kalo Christougenna, maiskala est Ă©galement correct, et en lettres grecques, "Joyeux NoĂ«l" est Ă©crit comme ΚαλΏ ΧρÎčÎżÏÎłÎ”ÎœÎœÎ±. L'influence grecque sur NoĂ«l Le grec a Ă©galement eu un impact sur l'abrĂ©viation Ă©crite de NoĂ«l en tant que "NoĂ«l". Bien que cela soit parfois considĂ©rĂ© comme une maniĂšre irrespectueuse de l'Ă©crire, pour les Grecs, c'est une façon d'Ă©crire le mot en utilisant la croix symbolisĂ©e par le X». Il est considĂ©rĂ© comme une maniĂšre parfaitement respectueuse d'Ă©crire NoĂ«l plutĂŽt qu'une abrĂ©viation occasionnelle. La GrĂšce a aussi ses traditions musicales autour des vacances. En fait, le mot anglais pour Christmas carol vient de la danse grecque, la Choraulein, qui est effectuĂ© pour flĂ»te de la musique. Les chants de NoĂ«l ont Ă©tĂ© chantĂ©s Ă  l’origine lors de festivals partout dans le monde, y compris en GrĂšce. Cette tradition est donc toujours prĂ©sente dans de nombreuses grandes villes et petits villages du pays. Certains croient mĂȘme que le pĂšre NoĂ«l est originaire de GrĂšce. Aux alentours de l’an 300, l’évĂȘque Agios Nikolaos aurait lancĂ© des cheminĂ©es d’or pour attĂ©nuer la pauvretĂ©. Bien qu'il existe de nombreuses histoires d'origine pour le pĂšre NoĂ«l, cela peut ĂȘtre l'une des influences les plus anciennes et les plus importantes sur la tradition moderne et la tradition de l'homme du pĂŽle Nord. Comment dire bonne annĂ©e en grec Autour des vacances, vous entendrez aussiChronia Polla, comment les Grecs se souhaitent une bonne et heureuse annĂ©e et cela signifie littĂ©ralement plusieurs annĂ©es» et sert de souhait pour une longue vie et de bonnes annĂ©es Ă  venir. Vous verrez probablement aussi cette phrase enfilĂ©e Ă  travers les routes principales traversant de nombreux villages et petites villes de GrĂšce, mais parfois elle est Ă©crite en anglaisXronia Polla ouHronia Polla , tandis que les lettres grecques de la phrase se liront comme suit ΧρΜÎčα ΠολλΏ. Le salut le plus formel du Nouvel An est un twisterEftikismenos o kenourisos kronos, ce qui signifie "bonne annĂ©e", mais la plupart des Grecs restent fidĂšles Chronia Polla. Si vous parvenez Ă  maĂźtriser les deux, vous serez sĂ»r d’impressionner au moins un Greecien lors de votre voyage dans ce pays europĂ©en.
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  • ce saint est le pĂšre noĂ«l en grĂšce