Non l'idéal est certainement de trouver "la bonne personne", juste dotée des compétences nécessaires et d'aptitudes à les transmettre de façon facilement compréhensible, celle qui saura transformer un ensemble de concepts flous, ésotériques et complexes en quelque-chose de digeste pour moi. Ayant compris ma problématique en un éclair, cet oiseau rare se
Harry Potter 2005 ~¤~ Autres Lieux Magiques ~¤~ A l'étranger Re Florence, la plus belle ville d'ItalieInvité, le Sam 8 Aoû - 1638 Le carnage explosait en contrebas, l'imposant sorcier s'était reculé pour profiter du couvert du couloir de l'étage. Deux craquements bien caractéristiques s'étaient produit quelques fractions de secondes avant qu'il n'ait commencé son action si ce n'était pas Valentina qui venait de sauver son frère, tant pis. Des cris de douleur fusèrent ensuite dans tous les sens, une odeur de chair brûlée et de sang parvint jusqu'aux narines du loup-garou déjà qu'il était particulièrement habitué à ces odeurs au sein de la mafia, sa nature de lycanthrope en avait fait une sorte de détecteur à laissant glisser dos au mur, il souffla longuement la magie c'était nul en fait, ça fatiguait quand on abusait... Il avait beau avoir l'habitude, être assez entraîné, mais c'était toujours frustrant de voir que l'on tombait comme une mouche en agitant un morceau de bois. Bon, les effets obtenus en valaient franchement la chandelle, mais il avait une sorte d'affinité pour les rencontres un peu plus "musclées". Ne se laissant pas aller plus que nécessaire, il se redressa, prêt à en découdre avec toute personne qui monterait l'escalier pour venir lui chercher des noises... Sauf que cela n'arriva pas, ses sortilèges avaient été dévastateurs et tout le monde était plus ou moins en train d'agoniser. Sauf peut-être le sbire là bas qui relevait déjà sa baguette... Scios » grogna-t-il en réagissant au quart de se figea, une profonde entaille se formant brutalement le long de sa gorge. Il tomba raide mort en un temps record, tout en effectuant au préalable un concert de gargouillis très agréable à l'oreille du russe. On ne faisait pas chier un médicomage, non mais vraiment ! même si théoriquement c'était lui qui les avait attaqués alors qu'ils n'avaient rien demandés, mais là n'était pas la question... L'imposant sorcier s'appuya ensuite sur la rambarde, ceci n'avait pas vraiment été favorable à sa récupération d' déboula alors à l'intérieur de la maison, accompagnée par son frère, bel et bien vivant, auquel l'italienne dû demander d'aller voir comment se portait son "allié"... Grognant, il repoussa l'homme qui tenta de l'aider à se redresser de la rambarde. Ne rechignant pas quand il insista c'était pour la forme, quoi, le russe observa la blondinette s'approcher de son oncle et le laisser mourir à petit feu. Léon, le collait pour l'aider à se tenir debout, bien que l'imposant sorcier ait des doutes concernant la capacité de l'homme à pouvoir le retenir si ses jambes lui faisaient défaut. Néanmoins, la bataille n'avait pas duré et il se remettait petit à petit, il faisait confiance à son endurance acquise au cours des années et de ses entraînements intensifs quotidiens. C'est cruel de le laisser agoniser comme ça... »Valentina allait probablement répliquer, mais il n'avait pas fini ...mais c'est plutôt agréable à regarder. »Il se tourna vers Léon et ajouta, pour détendre l'atmosphère enfin, si c'était possible Fais gaffe, hein, si elle continue, tu seras le prochain. Apparemment la famille c'est pas toujours aussi cool que ça... ça me rassure. »Ne pas connaître ses parents et toute la sphère familiale lui allait parfaitement, surtout en voyant jusqu'où était allée Valentina pour un peu de pouvoir en plus. Bon, le russe avait fait quelque chose de similaire en éliminant les gens en travers de sa route pour s'approprier la place de chef de son groupe mafieux, mais bon... il n'y avait pas d'aspect "familial" à la autour d'eux, les hommes de bain de l'oncle décédaient de leurs blessures, ou n'allaient pas tarder à le faire. Oh, bien sûr que le médicomage pouvait en sauver quelques uns... Mais il n'avait pas vraiment envie de déployer des efforts pour si peu... Surtout que les témoins de cet assassinat risquaient davantage de poser problème. Mieux valait les laisser crever. L'objectif est accompli... Je pense pas qu'il soit bon de s'attarder ici... Sauf si t'as encore des trucs à faire. »Il n'aimait pas l'Italie, ou du moins cette Florence, c'était trop "beau" comparé à ce qu'il se passait actuellement. Au moins la Russie, c'était sombre, froid, pas très accueillant... Ça donnait une bonne ambiance pour les affaires mafieuses. Là, il y avait trop de soleil, d'oiseaux, de bonheur... Beurk. Megan K. HayajânSerpentard Re Florence, la plus belle ville d'ItalieMegan K. Hayajân, le Jeu 27 Aoû - 1413 -Heartless-LA accordé;____________________J pensais sincèrement éprouver une pointe de culpabilité. Pourtant, alors que j'étais là, la tête de mon oncle sur les genoux alors qu'il s’étranglait dans son propre sang, je ne ressentais rien. Vide. Il essayait de parler mais les mots ne sortaient pas. La voix de Rurik résonna au loin. Une question de spectacle et de cruauté. Il avait raison. Je devais l'achever. Je plantais mon regard dans le sien, noir. Je me rappelais les centaines de moments que j'avais passé avec cet homme. Il m'avait recueillie, élevée comme sa propre fille. M'avait enseigné l'art de la manipulation, le pouvoir des informations. Lui et Georgio m'avait apprit à me battre, à utiliser la magie noire, à devenir celle que j'étais. J'avais tué les deux. Ils avaient trop bien fait leur travail. Alors, lentement, je glissais une main sur la nuque de mon oncle, posant l'autre su son torse. Je devais le faire. Je savais qu'il savait que je devais le faire. Léon nous fixait. Lui aussi avait comprit. D'un geste sec, je brisais la nuque de Daniel Boccini, le tuant instantanément. - Riposa in pace. susurrais-je en reposant sa tête sur le carrelage souillé de cendres et de sang. Je me relevais, époussetais lentement ma cape bien que cela soit inutile, et me retournais vers Léon qui se tenait droit et fier. Il délaissa Mkrovsk et redescendit, me rejoignant donc. Il posa sa main sur mon épaule, fixant de ses yeux couleur ébène le corps désormais sans vie de notre oncle. Une simple coquille. Je me détournais, rien ne servait de le contempler plus. C'était fait et désormais, nous avions les richesses pour nous. L'or et le manoir pour lui et pour moi... L'objectif est accompli... Je pense pas qu'il soit bon de s'attarder ici... Sauf si t'as encore des trucs à faire. »-Tu as raison. Sortons que je puisse faire brûler cette villa de malheur. C'est ce que nous fîmes d'ailleurs. Le russe nous rejoignit et nous prîmes tous les trois le chemin du jardin. Il n'y avait plus âme qui vive dans cette maison. Même le chien de garde était mort. Je regardais sombrement le mafieux russe. Il ne semblait pas éprouver de regrets, et c'était parfait; car maintenant, nos deux branches s'étaient plus ou moins liées. Des alliances pourraient naître et ce n'était pas si mal. Nous faisions une relativement bonne équipe. Léon posa son bras que mon épaule mais je ne dis rien, malgré les frissons que me donnèrent ce contact. Nous nous étions haïs pendant vingt quatre ans, j'étais encore troublée par nos récentes réconciliation. Quand nous fûmes tous dehors, le portail passé, je jetais d'un coup de baguette un sort incendiaire, et l'habitat prit feu plus vite que la paille. Je restais un instant ici, stupide, à contempler la villa italienne mourir dans les flammes, les corps brûler, le bois flétrir. Puis j'attrapais la main de Léon. -Rurik, si tu veux boire ou manger quoi que ce soit avant de rentrer, on sera sur le manoir, à flanc de colline, au nord. Sinon... a plus. J'inclinais simplement la tête pour le saluer avant de disparaître, mon frère avec moi, dans un plop ! parfaitelent audible. [Fin du RP] Alice GrantSerdaigle Re Florence, la plus belle ville d'ItalieAlice Grant, le Lun 1 Aoû - 2136 La magie des moldus est égale à 54RP privé avec Lïnwe FelagündOlivia Bonda pratiquait la magie. Mais pas avec une baguette, non, c'était une moldue mariée avec un sorcier. Elle était toujours en vie et avait été, par le passé, une magicienne de petite renommée. Elle faisait d'impressionnants tours de cartes et avait appris tout ce qu'elle savait à sa petite fille, Alice, qui observait les cartes voler dans les vieilles mains aux gestes jeunes avec autant d'admiration que devant une démonstration de patronus de son grand-père. Peu à peu, à force de la regarder et de répéter longuement les gestes, elle apprit comment étonner, émerveiller, bref, faire des tours de carte aussi bien qu' pouvait appeler ça une crise d'adolescence? C'était l'été, la serdaigle savait se débrouiller seule à présent. C'était le moment rêvé de faire des expériences, d'affronter le monde, de tester ses limites. Un question lui avait trottée dans la tête tout le long de l'année scolaire qu'elle avait passée à Poudlard. Entourée de magie, elle connaissait aussi bien le monde des moldus, ayant un père sans pouvoirs magiques. Sans la magie, qu'était-elle? Serait-elle capable de vivre sans utiliser Sky, sa baguette en bois de sorbier? Pouvait-elle se débrouiller en se privant de cette force en elle? Peu à peu, ce désir de savoir ce qu'elle valait sans magie s'était transformé en désir secret de vérifier par elle-même. Alors, après s'être arrangée pour que sa famille la croit partie en vacances chez des amis en Italie, la sang-mêlée avait rassemblé ses affaires dont plusieurs paquets de cartes et un peu d'argent dans son sac noir habituel, caché sa baguette dans sa chambre et quitté la ville française de Saint-Etienne pour l'Italie en avion, payé par sa mère. Comme elle l'avait craint, elle s'était immédiatement sentie vulnérable sans sa baguette. Il était temps qu'elle apprenne à s'en passer, au cas ou. Et surtout savoir ce qu'elle était capable de faire deux semaines de vagabondage, elle avait atterrit à Florence. Evidemment, la sorcière aux yeux noirs avait appris la langue, et tout ses jours passés dans le pays des spaghettis l'avaient fait progresser. Sans aucun repère, suivant les panneaux et ses pieds, elle faisait des représentations tout les jours, illégalement puis légalement, se payant une place lors des marchés ou sur des lieux publics, abaissant sa casquette après chaque série de tours. En vérité, elle s'en sortait bien, pouvait utiliser son billet de retour quand elle le voulait et complétait ses besoins avec ses économies qu'elle avait emportées, même si les maisons abandonnées étaient souvent son toit. Mais c'était grisant, d'être libre, totalement libre, et de faire ce qui lui plaisait. Les regards étonnés des enfants et des adultes devant ses mains n'avaient pas de prix. C'était le belle vie, et elle n'était pas à un vieux sommier près, dormir à la belle étoile en été n'était pas la voici à Florence, en train d'exécuter un tour maintes fois répété devant une vingtaine de personnes, des touristes pour la plupart. Après quelques manipulations, elle étala les cartes sur la table d'un geste ample et en saisit une qu'elle désigna à l'homme qui hocha la tête, intrigué. Les spectateurs étaient tout aussi étonnés que Come hai fatto?! Qual è il trucco? lança quelqu'un."Comment avez-vous fait?! Quel est le truc?"Après un sourire énigmatique, Alice commença un autre tour. Une nouvelle journée commençait sous le ciel aujourd'hui bleu d'Italie. Après, elle aurait assez pour se payer une des spécialités locales... si elle travaillait bien et que les passants se montraient généreux. Lïnwe FelagündRéférent Maître de JeuGryffondor Re Florence, la plus belle ville d'ItalieLïnwe Felagünd, le Jeu 4 Aoû - 1809 [PV Alice]Se balader dans les rues étoiléesd'un ciel bleu sans écaillesni balafres gambader dans les ruesà la merci de toutes ces gensvivre heureux l'espace d'un instantinstant de paixà est neuf heures et quart. Les cloches résonnent dans les ruelles de la cité. Gloire d'Italie. Beauté du pays. Neuf coups qui se répercutent entre les murs de cette ville. Tout est clair, tout est lumière. Les bâtissent faites de pierres blanches, de marbre et de tuiles rousses. Donnent à cette îlot de granit, une unité certaine. Le soleil était déjà haut dans le ciel, soucieux de son réveil. Il illumine la place, le Pont Vecchio et les statues de Thrace. Leurs tracés en disent long. Tailleurs de pierretalent de pierrecréateur de pèresqui donnent vie à ces profitait de ses plus belles vacances. Et de loin. L'Italie était un pays magnifique. L'architecture, les plats typiques, les mœurs, la musique, l'art et la parole. Oui, cette belle parole. Dotée d'une langue éternelle. Mélodieuse et dansante qu'on en oublierait bien trop vite le texte. C'est ça. L'Italie. Pas besoin d'enchantements pour qu'elle soit magique. Une dolce vita comme on en rêve. Aujourd'hui, les Felagünd exploreraient les entrailles de Florence, capitale de Toscane. Le père leur avait dit de rester discrets puisqu'ils feraient d'abord des visites à la moldue pour ensuite fréquenter les quartiers sorciers dissimulés. Le garçon avait hâte de découvrir cette face cachée. Jouer aux cartes pour mieux se délecter. L'une retournée, l'autre dévouée. L'aventure était un jeu. Un jeu sur lequel il fallait oser se sacrifier. La était non seulement réputée pour son essor économique mais aussi pour son statut artistique affluant. C'était l'une de ses villes aussi visitées que la capitale elle-même. Pour cause, la foule se chahutait sur la grande place. Et dans la foule, il y avait des sorciers, mêlés aux touristes sans pouvoir quelconque. Peut-être celui de l'illusion. Comme cette jeune femme qui maniait les cartes avec tendresse et sagesse mais nous verrons cela plus tard. Revenons plutôt à cette foule en délire. Il y avait cinq sorciers plutôt discrets d'ailleurs, pas de capes ni d'apparats de guignols comme le remarquaient si souvent les moldus. Et il y avait un garçon, pas très heureux de se frotter aux autres. Mais heureux quand même d'être là, au cœur de Florence. La famille s'était fixé comme objectif de se retrouver à l'église, située de l'autre côté du pont. De l'autre côté de la place. Tentant désespérément de fuir cette marée humaine, l'irlandais n'attendit pas plus longtemps pour se frayer un chemin sur le côté. Ainsi, il put profiter intelligemment de la vue. Voir des cheveux bruns, blonds, roux, bleus ou blancs devenaient lassants au bout d'un moment. En continuant de marcher, il vit un petit rassemblement, juste devant lui. Il y avait de ces moldus qui imitaient les sorciers. Se prenant pour des maîtres de l'illusion. Lui, pourrait bientôt en devenir un. Un vrai. C'était cette jeune femme mentionnée un peu plus haut. D'un geste de la main, elle épatait toute la galerie. Ce fut bientôt au tour de Lïnwe d'être le VIP du nouveau tour de cartes. Buongiorno. » dit-il tout content de trouver un adversaire de jeu. Hmm... vorrei giocare con lei... ? » ajouta-t-il en hésitant. Il ne parlait pas du tout italien, alors il faisait avec le peu d'expressions qu'il avait déjà entendues. Il recollait les morceaux et ça devenait un truc étrange. Comme la musique contemporaine. On ne comprend pas grand chose. Mais c'est la philosophie du compositeur et l’élaboration de la pièce qui comptent. Les esprits changent la création. Lui, essayait souvent de se faire comprendre par les gestes. Et l'église trouduc ?Oarf. Plus édition par Lïnwe Felagünd le Ven 19 Aoû - 2123, édité 1 fois Alice GrantSerdaigle Re Florence, la plus belle ville d'ItalieAlice Grant, le Jeu 4 Aoû - 1953 Toutes ces vies... toutes ces histoires... La diversité humaine impressionnait Alice, elle adorait voir du monde, se fondre dans la masse, s'en détacher... des gens avec des points communs, mais tous différents, avec leurs sentiments bien à eux, leurs façons de voir les choses... ou non. Elle avait bien fait de partir. Elle avait put faire des rencontres depuis son départ. Des gens gentils, heureux. Des gens du voyage aussi. D'un côté, elle voulait passer le restant de ses jours avec eux, allant de villes en villes, faisant des tours, des rencontres, vivre par elle-même et en même temps en groupe, dans cette ambiance de chansons et de danses au coin du feux. D'un autre côté, elle ne pouvait pas ignorer la présence d'une guerre qui se passait dans l'ombre et éclaterait bientôt au grand jour. Tu vois. Tu en es capable. De vivre sans magie. Tu es rassurée? avais peur d'oublier tes origines, n'est-ce pas?J'en ai jamais douté!Pff... incapable de l'avouer à toi-même......Ton père... ton père moldu... tu crois qu'il serait fier de toi si tu apprends à vivre comme lui?...Tu ferais mieux de tout exploiter. Ce pouvoir en toi qu'on tes camarades sorciers. N'oublies pas ta mère pour te rapprocher de ton ne l'oublie pas... je voulais seulement savoir...Je sais, je sais. Je suis une voie dans ta tête après réflexe, elle regarda l'heure sur sa montre. Ou plutôt, celle de son père. La liberté... c'était grisant, mais ça pouvait donner le vertige. Qu'est-ce qu'elle ferait après? Combien de temps resterait-elle dans la ville? Est-ce que sa mère lui en voudrait si elle apprenait ou elle était passée? La serdaigle avala sa salive. Il était très peu probable qu'elle le découvre... En même temps, après tout les lieux sordides dans lesquels elles étaient allées...Tu lui as ne voulais pas qu'elle s'inquiète. Et je ne voulais pas qu'elle m'empêche de sang-mêlée leva la tête. Ses mains s' garçon devait avoir douze... non, treize ans. Elle en avait vu, des couleurs de cheveux étranges depuis son arrivée ici, mais ceux-là n'avaient pas l'air d'être teints... il avait les cheveux blancs... enfin, blonds très clairs. Ce n'était pas vraiment bizarre, mais c'était la première chose qu'elle remarqua chez vorrei giocare con voi... ?Il lui demandait si il pouvait jouer... avec elle? Cette foi, le sourire qui naquit sur ses lèvres était malicieux. Ah, un défi? Oui, elle prenait les choses comme ça, parce que le moment était au jeux, à la magie des moldus. Sa baguette lui manquait un peu, mais de moins en moins. On pouvait très bien s'en passer tant qu'on ne se frottait pas à des sorciers, même si au début, elle pensait à un sortilège qui aurait put l'aider à chaque situation. Mais à quoi ce garçon voulait-il jouer exactement?- Gioca cosa? Lïnwe FelagündRéférent Maître de JeuGryffondor Re Florence, la plus belle ville d'ItalieLïnwe Felagünd, le Ven 5 Aoû - 1822 Jouer de ses ses mains enclin à tromper le de ses de leurs ongles bien limés, effleurent la peau d'une carte qu'on aurait retournée. Cette jeune femme était très habile. Tous ses gestes étaient calculés pour duper la galerie. Gagner des du pain, pour ce garçon lui avait demandé de jouer. Montrer qui était le plus talentueux des à cette maîtresse d'illusion qu'elle avait aussi ses failles. Gioca cosa ? » demanda-t-elle alors. Bonne question. Il n'y avait pas vraiment pensé. Lui, il voulait jouer. Un point c'est tout. A quoi ? A combien ? Où ? Quand ? Il s'en moquait. Juste vouloir jouer. Après un long moment d'hésitation, il proposa de construire une pyramide avec le paquet de cartes. Deux paramètres s'ajoutaient à ce jeu d'enfant. Une version sorcière. Plus complète. Plus difficile. Plus complexe. L'adversaire devait piocher trois cartes et les remettre dans le tas. Le bâtisseur devra alors les superposer en dernier. Au sommet de la pyramide. Le tout, en un temps record. Puisque le deuxième joueur devra faire la même chose juste après.*Comment faire pour trouver les trois cartes piochées ? Un truc de sorcier. Qu'on apprenait étant petit. C'est pourquoi il avait une longueur d'avance. Ce n'était pas tricher à proprement parlé. Mais tirer profit des règles, du contexte et des atouts posés là sur la table. Il étira un sourire, espérant que le défi serait accepté. Allora ? »* forcé de constater que c'est pas vraiment simple à comprendre xD Hésite pas à me MP. Alice GrantSerdaigle Re Florence, la plus belle ville d'ItalieAlice Grant, le Sam 6 Aoû - 1310 LA de Lïnwe accordéEt les spectateurs qui regardaient toujours, baladant leurs yeux de la jeune femme au coup de théâtre. Le spectacle continuait de toute façon, il prenait même une tournure intéressante, un autre personnage entrait en scène. La serdaigle entendit un touriste Anglaise souffler discrètement à sa femme que c'était sûrement prévu. Pourtant non. Et c'était bien comme ça. C'était bien plus drôle. Qui était ce garçon qui s'incrustait dans sa prestation? Mais impossible pour Alice de refuser le défi. Pourquoi pas d'ailleurs? Elle était libre après tout. Il lui parla d'un jeux sorcier qu'elle reconnut aussitôt. Sans laisser la surprise se peindre sur son visage, elle tint un conseil dans son esprit avec sa petite voie en une fraction de c'est un sorcier?!Ce tour est irréalisable si on ne connaît pas l'existence du monde magique. Il voulait piéger une moldue. C'est pas pour toi, tu es tombée sur une sixième année de Poudlard. Hâte de voir ta tête quand je un sourire de satisfaction, elle fit mine de ne pas connaître le jeux et le laissa le lui expliquer, se contentant de hocher la tête de temps à autre. Il finit par un Allora ?Tu penses avoir gagné d'avance? Ah ah... quel dommage... Et si tu tirais partie de sa sûreté? Parie, il acceptera à coup sûr, comme il pense te battre...D'accord mais pas beaucoup, je veux pas le dépouiller, le pauvre. Remarque, j'ai pas besoin de monnaie... et si ça se trouve je vais perdre... et puis, je ne veux pas jouer contre lui pour de l'argent. c'est un défi pur et tu veux...- Bene! sang-mêlée lui proposa une chaise elle en amenait deux qu'elle gardait pour mettre à l'aise un spectateur quand il participait avant de demander- Si vuole iniziare ?Le sorcier se passa une main dans les cheveux et regarda derrière son épaule avant de répondre- Sì , grazie. Si inizia ?Il est poli pour un de lancer tes piques. Il veut s'amuser, c'est tout...- sorcière aux yeux noirs fit un éventail avec le paquet de cartes qu'elle lui présenta. Il en choisit trois avant de les remettre dans le tas qu'elle mélangea avant d'étaler sur la table. La montre de son père faisait chronomètre, aussi. Elle l'enleva, ce qu'elle n'aimait pas trop faire mais bon, il fallait bien que tout le monde voit qu'elle ne trichait pas, la posa sur la table et demanda à un spectateur d'appuyer sur le bouton qui déclencherait le chrono avant de commencer à les empiler sur le tapis. Ce jeux renfermait un choix délicat prendre le risque que la construction ne soit pas assez solide mais faire vite ou perdre du temps mais en disposant bien chaque cartes. Elle combina les deux. Respirant calmement malgré des gestes rapides et précis, elle réussit à poser au sommet de ce qu'elle avait fait les trois cartes choisies. On arrêta le chronomètre. Elle releva la tête et sourit à son Quanto tempo ho messo ? Lïnwe FelagündRéférent Maître de JeuGryffondor Re Florence, la plus belle ville d'ItalieLïnwe Felagünd, le Mar 9 Aoû - 1637 Les passants affluaient autour de la petite foire de fortune. Ils affluaient comme une mer et ses fleuves. Les quatre branches du rivage qui se joignent plus qu'en un seul. Ils affluaient comme un orage et ses nuages. Ses nuages qui déferlent leurs pleurs sur la terre. Une plainte sourde et un éclair. Pour égayer les esprits. Taire les conflits. Et réveiller nos âmes meurtries. Et comme il était agréable d'être ici. Observé comme un lion sans cage. Etre le jouet frivole de toute une assemblée. Lïnwe se plaisait à faire le meneur de jeu. Les cartes lui rappelaient le temps où il affrontait Leo à Poudlard. Mais maintenant, il était Directeur de Gryffondor et n'avait pas comme objectif de se détendre avec un élève. Quoi que ça pouvait s'arranger. La fille l'invita à s'asseoir en face d'elle. Il accepta volontiers et lui proposa de commencer. Tirer les ficelles pour mieux les couper. Savoir déjouer les coups forts. Avancer ses pions. Anticiper ses mouvements. C'était ce qu'était en train de faire l'inconnue. Et Lïnwe resta effaré l'espace d'une seconde. Comment pouvait-elle connaître l'astuce ? Elle effectuait de simples gestes. Amples et plein de sagesse. On aurait dit que c'était elle, qui apprenait au Felagünd comment faire. Elle, qui avait insisté pour le défier. Valet de de cœur. Sept de pique. Quanto tempo ho messo ? »Aww... Mer**.C'est une suis ton Intelligence. C'est une sorcière. Hai messo un minuto e cinquantatre secundi. Bravissimo. » Le sang-mêlé regarda la petite montre avant d'acquiescer. Il lui restait donc plus que la montre. Jouer la montre. Rien de plus difficile évidemment. Surtout avec le score qu'elle avait fait. Il l'intima à choisir trois cartes et mélangea sans trop d'effort le paquet. C'était reparti. 1... 2... 3...Empiler les cartes comme des colonnes romaines. 33... 34... Bâtir ce temple des merveilles. Cette pyramide égyptienne établie là, près du Nil. Rivaliser avec l'ennemi. Cléopâtre contre César. 87... 88... Il arrivait au dernier étage avant d'approcher sa tête contre celle de la jeune femme. Sorcière ? » murmura-t-il malicieusement. Il prit le temps de la regarder bien dans les yeux. Arriverait-il à décrypter la peur ou la joie de ce joli minois ? C'est ce qu'il lui fit perdre les quatorze secondes de trop. Alice GrantSerdaigle Re Florence, la plus belle ville d'ItalieAlice Grant, le Mer 10 Aoû - 1044 Et oui, c'est bien les cartes que tu avais choisies qui sont sur le dessus de ce château de cartes, non? La serdaigle regarda le sorcier se rendre compte de sa vraie nature, comprendre à qui il avait affaire. Comprendre qu'il était mal. Comprendre qu'il n'avait pas eu de chance de tomber sur la seule sorcière qui passait pour une magicienne moldue de toute l' pour toi...Enfin, elle venait simplement de les mettre à égalité, si ça se trouvait, il était plus doué qu'elle avec les cartes... qui est très peu probable, ne t'en fais pas, tu as déjà gagné. Prendre les autres à leur propre piège. Tu adores ça, hein?J'ai envie de dire... c'est lui qui a commencé. Et ne sois pas trop sûre de... de suspens était insoutenable. Elle ne put s'empêcher de compter les secondes qui la séparaient du verdict ce qui rendit ce cours laps de temps plus long à ses Hai messo un minuto e cinquantatré minuti. Tu l'as de te la péter!Je suis ton côté sombre augmenté, à l'état pur. C'est normal que je me la pète. Tu as déjà oublié?Oh que non, Alice n'avait pas oublié. Enfin, ce n'était pas le moment de se rappeler de mauvais souvenirs, pensons plutôt au fait que... c'était peut-être bien son meilleur temps. Il fallait croire qu'elle jouait mieux lorsqu'elle avait une motivation. Maintenant, c'était à son adversaire de jouer. Il manipulait bien les cartes, en effet. La sang-mêlée avala sa salive. Il était bien capable de la battre...Je croyais que tu te moquais de ton ego?La fierté et l'ego, c'est pas pareil, la Voie. Tais-toi c'est ce que je sais faire de moins bien... approcha son visage du sien et murmura- Sorcière?Et oui, sorcière. Désolée pour toi...Il la regardait droit dans les yeux. Elle en fut rassurée car ça lui fit perdre les quatorze secondes qui le séparaient de son score. Elle le savait avant l'annonce du score car elle prit soin de les compter tout en continuant de le fixer d'un regard de plus en plus Siamo spiacenti, si mette quattordici secondi più que la foule ne se dissipe, elle tendit sa casquette et reçu pas mal de monnaie. Quand tout les spectateurs furent partis, elle s'adressa au garçon en Italien pour conserver le mystère de sa nationalité même si il pouvait facilement déceler son accent français- E sì, scusa, io sono una strega. Ma devo ringraziare voi, grazie a voi ho ricevuto un sacco di soldi. Condividiamo?*trad Et oui, désolée, je suis une sorcière. Mais je dois te remercier, grâce à toi j'ai reçu pas mal d'argent. On partage?*Et en même temps, elle comptait les pièces et tendit la moitié des gains. Rien que la moitié représentait deux de ses prestations habituelles. Ca lui faisait plaisir de lui donner ça, et en plus c'était normal parce que, sans lui, le public ne se serrait jamais agrandit. Lïnwe FelagündRéférent Maître de JeuGryffondor Re Florence, la plus belle ville d'ItalieLïnwe Felagünd, le Sam 13 Aoû - 1357 Désolé du post tout pourri. Mais ça va déclencher les actions du lapin blancqu'on aurait trompécaché dans son chapeaupour y venait d'être pris à son propre jeu. Il avait voulu chasser. C'était lui la proie. Il avait voulu gagner. C'était lui le perdant. Il avait osé. Osé de jouer. Laisser gagner. Découvrir son nouveau jeu. Plus il construisait sa pyramide et plus les gens se rassemblaient autour. On aurait dit deux gladiateurs se battant pour la gloire. Et pour la vie. De leur empereur ou de leur propre personne. On aurait dit deux fauves lâchés dans cette arène. Et les spectateurs qui commentaient, sans retenue et sans aucun scrupule. L'esclave avait perdu le populo quittait l'amphithéâtre de fortune tandis que la fille relevait la tête. E sì, scusa, io sono una strega. Ma devo ringraziare voi, grazie a voi ho ricevuto un sacco di soldi. Condividiamo? » s'exclama-t-elle en divisant le petit amas de pièces et de billets. C'était un guerrier juste, au moins. Qui avait opté pour la gloire et non la vie. Mais le gamin refusa d'un simple signe. Non j'n'en v-... non viglio... grazie. » Comme il était parfois difficile de parler une langue qu'on ne connaissait même pas. Parlatevi inglesi ? » demanda-t-il. Au moins, l'anglais était universel. Enfin, normalement. Il ne connaissait pas tellement les coutumes de ce pays. Il était peut-être basé exclusivement sur une culture introvertie. Puis-je t'inviter à marcher ?... Et à prendre une... » il réfléchit un instant avant de poursuivre. Une glace ! Oui, c'est bien une glace. » ajouta-t-il en affichant un sourire franc. Il avait envie d'en savoir plus sur elle. Dans tous les cas, elle était concernée par la magie. Ou à l'une de ses branches. Éloignée ou pas. Alice GrantSerdaigle Re Florence, la plus belle ville d'ItalieAlice Grant, le Lun 15 Aoû - 1708 Pas de soucis La magie de la liberté. Liberté d'accepter le défi d'un inconnu croisé dans la rue. En partant de chez elle, Alice pensait tomber dans un gouffre de solitude, loin de sa famille, ses amis, ses repères, sa baguette. Mais en vérité, elle n'avait fait que des rencontres durant son voyage. Et c'était pas pour lui déplaire. Ne pas savoir ou on va se rendre le soir, se coucher tard ou pas du tout, faire ses propres choix, c'était ça, la liberté, pour la sorcière aux yeux noirs. Le temps de deux mois, elle appréciait la douce vie de vagabond, une vie sans mangemorts ni mages noirs, une vie dont elle rêvait. Mais elle ne pouvait nier les problèmes du monde magique. S'enfuir et se réfugier ici pour le restant de ses jours était terriblement tentant mais tout aussi lâche. A à peine 16 ans, la bleu et bronze sentait déjà le poids des responsabilités peser sur ses épaules. Elle ne pouvait décidément pas passer à côté de tout ces crimes qui se commettaient autour d'elle, de toutes ces attaques, cette propagande, ces camps, ces capes noirs. Elle savait que son avenir serait entièrement dédié à ça. Lutter pour ses valeurs. Elle n'était rien d'autre qu'un oiseau en cage dont elle avait la clef elle-même, car elle avait choisi ça. Une part d'elle était moldue, mais l'autre était sorcière. La sang-mêlée avait donc le choix mais prendre le chemin le plus facile, c'était pas pour garçon refusa poliment l'argent. Il avait commencé sa phrase en Anglais. Il lui proposa d'ailleurs de parler dans cette langue. Ça lui allait très bien, elle parlait couramment Anglais à cause de Poudlard, ne faisant que passer ses vacances en France, son pays natal. - Puis-je t'inviter à marcher ?... Et à prendre une... Il réfléchit quelques instants. Une glace ! Oui, c'est bien une glace, ajouta-t-il avec un sourire qu'elle lui rendit. - OK. Elle rangea se affaires dans son sac et planqua la table et les chaises dans un coin, comme à son habitude, avant de lui dire en désignant une ruelle piétonne qui paraissait assez sympathique, avec des glaciers tout les deux mètres environ- On va... par là?Tu as mon LA pour marcher à côté de toi dans la rue. Lïnwe FelagündRéférent Maître de JeuGryffondor Re Florence, la plus belle ville d'ItalieLïnwe Felagünd, le Jeu 18 Aoû - 1650 La fille avait accepté l'invitation. Après avoir accordé à Lïnwe de la défier. Elle était, comme ce que l'on pouvait imaginer avec une joueuse de cartes mondaine, ouverte à toute proposition. Et de ce même fait, elle acceptait sûrement de perdre comme de gagner. Avec un trèfle à quatre feuilles ou non. Et d'aller visiter la ville avec un autre garçon. Sans aucune retenue. Sans timidité aucune. Pudeur inconnue. D'un cœur innocent. Alors, les deux adolescents conclurent sur le fait de prendre une ruelle sur la droite. Je te suis. Tu as l'air de mieux connaître. Cela fait longtemps que tu es ici ? » demanda l'irlandais en observant chaque parcelle de détails qui se collaient au décor comme un Doxy se collerait au rideau. Ou un chewing-gum à la semelle. C'était bien la première fois que le Felagünd voyait autant de monde dans une simple petite rue. Les pavés étaient noirs de monde. Délavés par les aller-retour des passants. Quelques immondices de pigeons traînaient près des gouttières. Formant un carreau de saleté à quelques endroits. Mais les murs de pierres blanches étaient extraordinaires. Et apportaient lumière et saveur à cette allée ne savait même pas où étaient ses parents. Ils devaient s'attendre de l'autre côté du pont, dans dix minutes exactement. Il avait donc cinq minutes à lui consacrer. Au fait, tu t'appelles comment ? Moi c'est Lïnwe. » ajouta-t-il en s'arrêtant derrière une file d'attente. On prend une glace ici ? Elles ont l'air énorme. » Ça tombe à pique pour quelqu'un qui a la dalle. Alice GrantSerdaigle Re Florence, la plus belle ville d'ItalieAlice Grant, le Ven 19 Aoû - 1141 Se fondre dans le merveilleux décor de la ville. Se mêler à la foule. C'était le meilleur moyen de devenir invisible. Tant de vies différentes ou semblables se croisaient, s'ignoraient, se rencontraient, créaient ou brisaient des liens. C'était ça, un lieu touristique. On pouvait être personne et tout le monde à la fois, incarner un personnage pour devenir un jongleur, un clown, un artiste de rue. Lorsqu'on en était un, on avait le sentiment de faire partie d'une famille. Parfois, des alliances de numéros se créaient, des musiciens pouvaient accompagner des danseurs par exemple. C'était souvent des gens du voyage, ou des artistes saisonniers, souvent ils voulaient s'évader, fuir quelque chose, ou tout simplement faire ce qui leur plaisait, se tester. C'était le cas d'Alice. La police avait renoncée depuis plusieurs générations à arrêter les numéros illégaux, mais, ici, mieux valait avoir plusieurs cartes à jouer. Payer sa place dans un coin pour être en règles au cas ou, car la police n'était tu de même pas inactive, c'était le joker. L'atmosphère qui régnait ici était délicieuse, mystérieuse, Je te suis. Tu as l'air de mieux connaître. Cela fait longtemps que tu es ici ? lui demanda le sorcier qui dévorait les alentours de ses yeux bleu, non, verts. Les deux à la fois. C'était vrai qu'elle marchait d'un pas Assuré. La sang-mêlée le regardait faire avec amusement. C'était beau de voir quelqu'un s'émerveiller comme Au fait, tu t'appelles comment ? Moi c'est Lïnwe, ajouta-t-il en commençant à faire la queue devant un glacier. On prend une glace ici ? Elles ont l'air effet, la boutique proposait de nombreuses sortes de glaces et assez de parfums pour faire hésiter les plus fidèles amateurs du parfum vanille. De plus, le prix n'était pas très élevé pour une zone aussi touristique. Elle avait un faible pour les pâtes autant que pour les crèmes glacées. Elle lui sourit. - Oui, ici elles ont l'air bonnes. Je m'appelle Alice. Je suis arrivée en Italie depuis deux semaine, et c'est mon cinquième jour dans le coin. Et toi? Tu es venu ici en vacances, pour voir de la famille...?Sûrement pas seul, vu son âge. Il était cependant assez débrouillard pour se balader en ville sans se perdre. Il était peut-être scolarisé à Poudlard, lui aussi. Étrangement, elle lui faisait si on jouait à un jeux. Le jeux des questions réponses. Lïnwe FelagündRéférent Maître de JeuGryffondor Re Florence, la plus belle ville d'ItalieLïnwe Felagünd, le Jeu 25 Aoû - 2251 RP très très spécial... xD Oui, ici elles ont l'air bonnes. » répondit la jeune femme en parlant de la gelateria. Au même moment, un commerçant chargé de cartons faillit le bousculer. Je m'appelle Alice. Je suis arrivée en Italie depuis deux semaines, et c'est mon cinquième jour dans le coin. Et toi ? Tu es venu ici en vacances, pour voir de la famille...? » Un jeu de question-réponse. Ne jamais laisser tomber. A toi de jouer pour gagner. Il la regarda d'un air curieux. Elle n'était donc pas italienne. Il n'avait rien remarqué de spécial dans sa voix. Après tout, elle avait peut-être une prononciation plus hachée. Comme quand les enfants butent sur des mots. La langue claquant trop rapidement au palais. Les dents un peu trop écartées. Une respiration coupée. Rien de très flagrant en soi. Et tu viens d'où ?!! » répliqua-t-il sans plus attendre. Et il se reprit, plus vite encore que ce gros gaillard qui venait de passer. Ooh et, je suis irlandais. Je suis venu ici en vacances effectivement. Pas pour la famille. Mais avec mes parents, mon frère et ma sœur. J'étudie au sein de l'école Poudlard. » ajouta-t-il simplement. Hymne à la glacegrosse comme un oiseauoiseau de proieoiseau de laitfleur d'orangeraux pépites de chocolator et noirceurgousse de vanille et senteur de pinles couleurs sont clairesmères et pèrescornet de licornequi supporte ce poidsce poix de crèmesuintante et suaveparfum des merveillessucre délicieuxqui frétillent les papillespapillons languissantau lacde cet hymnehymne des prèshymneà la glace. Eh ! Je crois que c'est à nous. » s'exclama-t-il joyeusement. Une famille de sept gamins venait enfin de quitter la queue. Au final, y'avait pas tant de clients que cela. Mais ça prenait de la place. Entre les quatre marchants de glace de la rue, y'avait la moitié des passants qui passaient leur chemin. Et l'autre moitié qui prenait un rafraîchissement bien son deuxième moi. Réglé comme une montre à que sept Tac. Tic. minutes passent et les mémoires s'allongent. Alice GrantSerdaigle Re Florence, la plus belle ville d'ItalieAlice Grant, le Lun 29 Aoû - 1141 Oui ^^- Et tu viens d'où ?!!Biip, mauvaise réponse. Triche pas! C'est ton tour de répondre, pas l'inverse. Il comprend de lui-même et reprend rapidement- Ooh et, je suis irlandais. Je suis venu ici en vacances effectivement. Pas pour la famille. Mais avec mes parents, mon frère et ma sœur. J'étudie au sein de l'école de Qui ne connaîtra jamais son tranquille. Tu ne t'y attendais Mage La peur. La colère. La mort de l' feu. A jamais ton Ton père n'est réveil. Tu espérais que tout cela n'était qu'un mauvais Elle pleurait, ton frère en son cruelle vérité. Le cauchemar était Eh ! Je crois que c'est à voie joyeuse fait taire l'autre, chasse les mauvais souvenirs. Son esprit revient dans l'instant présent. Le voyage. Les cartes. Les rencontres. La Liberté. L'Italie. Florence. Le garçon. Le défi. La ballade. Il est à Poudlard? Le monde est Alors une boule noix de coco, une autre châtaigne et une Tiramisu! commande-t-elle sur le même ton choix est difficile. Elle a tout le temps de goûter le reste demain. La sang-mêlée s'adresse au garçon à voie plus basse- Je vois. Je suis française mais je suis aussi élève à Poudlard, alors je passe mon temps en Angleterre. Là, c'est les vacances, j'ai voulu en profiter pour voyager un peu. Et donc, c'est quoi ton nom? Lïnwe FelagündRéférent Maître de JeuGryffondor Re Florence, la plus belle ville d'ItalieLïnwe Felagünd, le Lun 5 Sep - 2239 Les glaces sont immenses. Servies en cornet. Trompe d'éléphant à l'appétit dément. Comme un enfant qui les aurait toutes commandées. D'un caprice révolu. Petit prince déchu d'une famille manipulée par une seule et même idée. Trois grands piliers d'un temple romain fécondé par la faculté de l'Homme. Des maisons des moulins des colisées à perte de vue. Et cette fois, c'est au tour des deux jeunes sorciers. Qui passaient le temps à se connaître. La fille s'exclama en premier Alors une boule noix de coco, une autre châtaigne et une Tiramisu ! » s'exclama-t-elle toute joyeuse. Indice qui permettait au garçon de mieux la connaître encore. Douceur étoilée du coco. Lourdeur du tiramisu allégée par la délicatesse de la châtaigne. Fidèle à sa gousse. Euphorie italienne d'un capuccino bien chaud. Les boules que lui servies la serveuse furent énormes. Goliath contre David, la petite Alice. La marchande rajouta un petit gâteau sur le dessus. Ornement apprécié d'un met couleurs sublimesd'un peintre surréalistequi aurait séduit sa propre imag-ination des plus suprêmesde rêves et de songesextrêmesla première blanche comme la neigel'autre marron comme une bogue tombée tristement à l'automnela dernière plus foncée encoremontrant son intensitéaux éclats aux pépitesde goût ultimequi rassasie cet appétit. Et pour moi, ça s'ra une boule fleur d'oranger, cannelle et pistache. » fit-il juste après. Sourire d'un fantassin désabusé. Mort de chaud. Mort de viande. De nourriture. A se délecter sous la langue. Il tendit les quelques euros qu'il devait, en ayant bien fait le compte cinq fois de suite dans sa tête, avant de repartir avec Alice. Chacun goûtait à sa propre récompense. Sa propre création de parfums inégaux. Je vois. Je suis française mais je suis aussi élève à Poudlard, alors je passe mon temps en Angleterre. Là, c'est les vacances, j'ai voulu en profiter pour voyager un peu. Et donc, c'est quoi ton nom ? » demanda-t-elle ensuite en laissant le Felagünd bouche bée. Haaa mais tu pouvais pas me le dire que tu étais de Poudlard !! Je m'appelle Lïnwe. » fit-il en souriant l'air gêné. J'aurai pu éviter de vouloir tricher dès le début. Mais si tu es française pourquoi tu es à Poudlard ? » interrogea-t-il l'air c'est là qu'il vit tous les deux un nouvel artiste de rue. Artisan du jour. Paysan de nuit. Faisant jouer de sa clarinette quelques secondes. Tirant des cartes, les suivantes. En passant par une petite danse de bouffonnerie tant appréciée par les spectateurs. Lïnwe se délectait autant de sa glace que de ce nouveau numéro comme on en voyait tant dans ces rues emblématiques d'Italie. Seulement, toutes les bonnes choses ont une fin. Alors, comme si le dernier croc de son cornet consistait à marquer la fin du spectacle, deux policiers moldus vinrent interpeller l'italien assis là. Prouvant par la force des choses qu'il outrepassait les lois de la société, règles inventées par une maintenance mouvementée. Ils demandèrent à l'individu, pauvre de lui, de quitter les lieux et de ne pas refaire ça en public. Laissant la foule de touristes huer l'ordre militaire. Ils n'étaient d'ailleurs pas les seuls à protester. Lïnwe s'avançait vers les deux types en réclamant la légitimité de cet homme itinérant. Se demandant si Alice était de son Tac. Tic. temps se presse comme ce lapin dans sa pas à me MP si quelque chose est à modifier. ^^ Re Florence, la plus belle ville d'ItalieContenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Letiramisu peut-il être fait à l’avance? Combien de temps le tiramisu peut-il être conservé au réfrigérateur? Comment faire un Tiramisu au Chocolat Facile (Notes, Conseils & Astuces): Bagatelle De Tiramisu Au Chocolat Facile ; Ingrédients ; Garniture facultative: Chocolat Rasé, Fraises Fraîches ou Framboises ; Instructions ; Notes Vous avez aimé le dessin ci-dessus ? Il vous a fait sourire ? Rire, peut-être ?... Mais au fait Comment l'interprétez-vous ? A y regarder de près, il en existe en effet plusieurs lectures Première interprétation C'est un gag, un dessin d'humour... L'élève, interrogé par la maîtresse, a visiblement subi l'influence néfaste des jeux télévisés, puisqu'il s'imagine qu'il va avoir la possibilité de faire appel à un de ses petits camarades de classe pour résoudre un problème ou appliquer une consigne donnée par l'enseignante ! Ah, tout de même, ces gamins, ils sont impayables ! Mais qu'est-ce qu'ils s'imaginent donc ? Partisans du moindre effort ! Et puis quoi encore ? Si la triche était autorisée à l'école, ça se saurait ! Deuxième possibilité C'est une scène qui sera bientôt parfaitement admise, voire banale aux yeux de tous, et c'est très bien ainsi... Si l'on regarde les choses d'un autre œil, peut-être pouvons-nous imaginer que ce jeune garçon est déjà entré de plain-pied dans une nouvelle ère, celle où le savoir est librement et largement partagé, celle où il est enfin communément admis – et surtout compris – qu'il est infiniment préférable d'avoir enfin une tête bien faite plutôt qu'une tête bien pleine, ainsi que l'affirmait déjà Montaigne au XVIe siècle. On ne dira jamais assez l'étendue de ce que peuvent signifier de ces deux expressions "tête bien faite", "tête bien pleine". Le grand Michel Serres nous en donne souvent un point de vue particulièrement éclairant dans nombre de ses ouvrages et interventions publiques, facilement accessibles depuis Youtube.... Mine de rien, nous entrons dans le connectivisme... Ce nouveau courant pédagogique, directement inspiré des travaux de George Siemens et Stephen Downes entre dans les mœurs, lentement mais sûrement, en utilisant le principe du réseau comme point central de l'apprentissage. Il est fondé sur l'observation des changements, voire des bouleversements induits depuis ces dernières années par les nouvelles technologies, et par internet en particulier. Force nous est de constater que ces nouvelles technologies ne permettent pas seulement de distribuer l'information à des millions de gens, mais surtout qu'elles permettent aussi à des millions de gens de distribuer l'information. Et c'est ce détail qui change tout. Ainsi, la manière dont nous apprenons s'apparente de plus en plus à un processus de connexion de plusieurs sources d'information. Elle peut aussi survenir par le truchement de dispositifs externes aux êtres humains ce qui constitue également une révolution en soi, mine de rien. L'entourage au sens très large du terme, ainsi que les outils de communication dont on dispose, y occupent une place de tout premier plan. Ainsi que chacun peut le constater, cette "nouvelle donne" révolutionne non seulement les processus de transmission des savoirs, mais aussi la nature profonde des rôles respectifs de l'enseignant ou formateur et de l'apprenant ou participant. ...Mais nous y avançons à "plus ou moins" grands pas ! Personne n'y peut rien Les technologies changent vite, les schémas mentaux lentement. Comme l'a montré un excellent article publié sur il a fallu attendre une cinquantaine d'années après l’invention de l’imprimerie pour que livre imprimé ne prenne la forme que nous lui connaissons aujourd'hui. Mais dans les tous premiers temps, les imprimeurs imitaient les scribes, avec des caractères reproduisant l’écriture manuscrite des moines-copistes. Ainsi, dans les premiers temps, de nombreuses personnes ne voyaient dans l'imprimerie qu’un procédé se limitant à accélérer la reproduction des manuscrits, point. Les véritables et immenses possibilités de cette invention n'apparaîtront que quelques années plus tard, et c'est bien normal. Encore une fois, les technologies changent vite, les schémas mentaux lentement, il n'y a là rien que de très banalement humain... Et comme l'a écrit un jour Marcel Lebrun dans son blog, face aux "progrès du progrès" et surtout à leurs impacts sur l'activité de transmettre, "[...] arguments, réponses, dénis, pamphlets … fleurissent, chaque nouvelle technologie étant porteuse de promesses nouvelles, rarement tenues, parfois fructueuses, souvent décevantes". Appeler un ami ? Bien sûr, nous faisons ça tous les jours ! Si j'ai besoin d'acheter un nouveau smartphone, je prendrai certainement la décision d'appeler un ami pour me guider dans mon choix. Mais pas n'importe quel ami... En effet, si je demande à un de mes neveux ados, il me conseillera en fonction de ce que lui-même considère comme "cool", voire "trop bien", ce qui à l'occasion ne manquera pas de me laisser, disons sur ma faim... Et si j'interroge une sommité de l'univers des télécoms, à supposer qu'il daigne me répondre, ce ne sera pas forcément mieux je risque d'être très vite noyé sous un jargon incompréhensible, et ne serai pas beaucoup plus avancé... Non, l'idéal est certainement de trouver "la bonne personne", juste dotée des compétences nécessaires et d'aptitudes à les transmettre de façon facilement compréhensible, celle qui saura transformer un ensemble de concepts flous, ésotériques et complexes en quelque-chose de digeste pour moi. Ayant compris ma problématique en un éclair, cet oiseau rare se mettra aussitôt en devoir de déblayer au mieux le terrain pour moi, sans compliquer inutilement les choses, et en m'épargnant tout ce qui ne me serait – à ses yeux – d'aucune utilité. Ainsi j'aurai fait l'économie d'une tête "un peu plus pleine" de quelques pans de savoir encyclopédique et technique qui ne m'auraient sans doute pas été dune grande utilité. Sans doute y aurai-je "perdu quelque-chose", pourquoi le nier ? Ceci dit, j'ai la ferme conviction qu' à chaque fois que nous perdons quelque chose de cette façon-là, nos neurones peuvent du même coup s’occuper utilement à quelque chose d’autre… et que c’est même ainsi que naissent les grandes découvertes ! J'aimerais tant que l'école nous apprenne aussi "...qui appeler" On l'aura compris, tout mon raisonnement repose sur le discernement qui m'aura permis de trouver la bonne personne susceptible de me délivrer la bonne information. Et ce n'est pas une mince affaire. Tous les décideurs savent bien à quel point il est important de savoir s'entourer des bons conseillers, ce qui permet assurément d'y gagner en efficience... à condition de savoir rester maîtres de nos décisions. Mais vu la vitesse à laquelle évoluent nos schémas mentaux voir plus haut, force est de constater que nous vivons encore dans un monde où certaines qualités qui sont de nature à nous aider à réussir dans la vie, ont encore - paradoxalement - une fâcheuse tendance à nous faire échouer à l'école. J'en ai déjà donné un aperçu dans un clip vidéo que vous pouvez visionner ci-dessous... Cela dit, je reste résolument optimiste, et j'ai tendance à faire confiance aux facultés de discernement de nos équipes éducatives... tout en tâchant de ne pas être trop impatient. Comme d'habitude, tout cela n'est qu'une question de temps ! Le Petit Abécédaire... "Un ouvrage bien documenté, écrit par quelqu'un qui sait de quoi il parle et qui le fait avec clarté humour et éthique. Les exemples et les conseils sont judicieux et très utiles. Je le recommanderai avec plaisir.." Josiane de Saint Paul Quel livre ! Un travail de moine. D'une grande originalité. J'ai à peine commencé à le parcourir et, déjà, je le savoure. Je vais d'ailleurs continuer à le déguster lentement. Bravo ! Serge Marquis Chercherles emplois correspondant à Freelancer em bar ou embaucher sur le plus grand marché de freelance au monde avec plus de 21 millions d'emplois. L'inscription et faire des offres sont gratuits. Comment ça marche ; Rechercher des offres d'emploi ; Freelancer em baremplois Je veux embaucher Je veux travailler. Freelancer. Recherche d'emploi. freelancer em bar. 1.
vendredi 24/04/2009 10h12 De Gustave LouBonjour,Si vous la préparez de manière totalement naturelle sans additif aidant à la faire tenir je vous conseille de la préparer au dernier moment juste avant de la déguster. Elle sera meilleure et aura plus de vous tenez à la préparer à l'avance, vous pouvez la garder au réfrigérateur jusqu'à 2 ou 3 heures dans le récipient de préparation, en la protégeant de film cuisine et à bientôt.
Toutel'info utile pour infirmières aide-soignantes étudiant en IFSI, candidat au concours paramédicaux, cadre de santé, infirmière libérale, IADE, IBODE, puéricultrice révision combien de temps à l'avance ?

Les marinades sont un élément essentiel pour les barbecues et autres grillades mais encore faut-il laisser mariner le temps adéquat et fonction des aliments. Voici quelques petits conseils pour vous aider à choisir le temps idéal pour laisser mariner des ingrédients. Cuisine Barbecues grillades Imprimer cette recette Ingrédients Préparation Imprimer cette recette Vos commentaires & questions / 5 bonjour il y a trois facteurs très importants qui vont faire varier ce temps de façon considérable 1 la température ambiante ou sera déposée la pièce à mariner 2 le fait que on ait strié de légère entailles ou non la surface du poisson ou de la viande à mariner cas des protéines 3 la composition de la marinade si il y a un élément qui cuit la pièce à mariner sel, citrons, vinaigre il faudra en tenir compte. je dirais d'expérience le temps mini est de 30 min ex poisson plus citron comme la ceviche à 48 h pour le contenu des marinades penser aussi aux épices Recette Ahrodisique 4 / 5 J'ai toujours un problème, c'est que je ne jauge pas très bien la marinade de mes viandes. Avec ce petit mémo, je pourrais m'en sortir. J'ai tenté une marinade au curry, ketchup, et poivre, mais ce n'était pas un succès. Vous avez une recette? Bonjour, comment faire du porto artisanal? Il est aussi important de ne pas saler une marinade de viande autrement elle rejette son jus et sera sèche.

Ensuite la question est,Quel est le temps de repos du tiramisu au réfrigérateur? Le temps de repos du Tiramisu au réfrigérateur avant sa dégustation est donc d’un minimum de 2h et peut s’étendre jusqu’à 24h selon que l’on veuille un dessert plus ou moins ferme et plus ou moins parfumé. de la même manière,Combien de temps faut-il pour déguster votre tiramisu?
Cette bûche tiramisu est vraiment ma préférée ! Je l’ai découverte en janvier 2016 sur cuisine et vins de France, et je me rappelle encore l’explosion en bouche que j’ai eue ! Encore aujourd’hui, pour ma 3ème réalisation, je suis bluffée par le rendu visuel et le plaisir gustatif. J’ai rajouté de la liqueur Amaretto pour imbiber le biscuit, et je vous assure que c’est un vrai plus ! On en trouve en petite bouteille en grande surface. La recette peut paraître longue, mais c’est parce que j’ai tout détaillé. Je pense que je mets moins d’une heure à la réaliser sans les finitions, mais je n’ai pas pensé à regarder. Je précise que j’ai fait mes photos au bout de 4h environ de temps de pause, car j’ai un grand gourmand qui voulait goûter absolument… Donc la crème n’était pas encore prise comme elle devait l’être. Mais au bout de 8h au frigo, elle est parfaite ! Ingrédients pour 10 à 12 parts 13sp la part, 13sp la part, 14sp la part si 12 parts 4 œufs pour le biscuit + 3 jaunes pour la crème à température ambiante pour les 2 120g de farine 125g de sucre en poudre pour le biscuit 1 stick de café dilué dans 75ml d’eau chaude ou 75ml de café fort 15ml de liqueur Amaretto 1 pincée de sel 250g de mascarpone 25cl de crème entière liquide, très froide la laisser au frigo jusqu’au moment de s’en servir 100g de sucre glace pour la crème 3 feuilles de gélatine 6g Cacao sans sucre ajouté pour saupoudrer Décorations au choix Mise en place Sortir et peser les ingrédients nécessaires pour le biscuit 4 œufs, 120g de farine, 125g de sucre en poudre, et du sel. Mettre un petit saladier vide au frigo on s’en servira plus tard pour monter la crème en chantilly. Dans un bol, diluer un stick de café dans 75ml d’eau chaude, et ajouter les 15ml d’Amaretto. Mélanger, et laisser refroidir. Sortir le matériel nécessaire un fouet électrique, un grand saladier, un petit saladier pour battre les blancs en neige, une maryse, 2 cuillères à soupe, un chinois pour tamiser la farine, un tapis silicone à rebords pour génoise 27 *37 cms ou du papier sulfurisé pour tapisser la plaque à pâtisserie. Préparation du biscuit Préchauffer le four à 180 degrés chaleur tournante. Séparer les 4 blancs des 4 jaunes d’œufs, en mettant les jaunes dans le grand saladier, et les blancs dans le plus petit. Battre les blancs en neige avec une pincée de sel, et réserver. Fouetter les jaunes avec les 125g de sucre en poudre au fouet électrique. Ajouter un peu de blancs en neige, et mélanger délicatement avec une maryse. Tamiser un peu de farine au-dessus, et mélanger, en soulevant la pâte pour ne pas casser les blancs. Alterner l’ajout de blancs et de farine, jusqu’à épuisement, en mélangeant entre chaque ajout. Ensuite, étaler la pâte sur un tapis en silicone à rebords 27 cms * 37 cms, ou sur une plaque à pâtisserie recouverte de papier sulfurisé. mon tapis n’est pas lisse car je n’ai que celui-là en silicone, mais ça n’a aucune importance. Égaliser la surface à l’aide de la maryse. Faire cuire 10 à 12mn 10mn pour moi. Le biscuit ne doit pas trop foncer pour ne pas craquer ensuite. Pendant le temps de cuisson Mouiller entièrement un torchon propre, et bien l’essorer. L’étaler sur le plan de travail. Faire tremper les 3 feuilles de gélatine dans un bol d’eau froide. Laver le grand saladier utilisé auparavant, ainsi que le fouet électrique, la maryse, et un bol pour garder les blancs. Sortir le mascarpone, le sucre glace, et 3 œufs. Quand la cuisson est finie Sortir le biscuit du four, et le démouler lentement sur le torchon humide enlever le papier sulfurisé si vous en avez mis. Attention aux coins ! Rouler le biscuit délicatement en s’aidant du torchon pour le pousser. Je le roule toujours dans la largeur pour avoir plus d’épaisseur et un bel intérieur. Il n’est pas nécessaire de trop serrer. Laisser la bûche dans le torchon, une fois roulée. Préparation de la crème Séparer les 3 jaunes d’œufs à mettre dans le grand saladier des 3 blancs qui sont à garder au frigo dans un bol en attendant de faire une autre recette un régal du matin protéiné par exemple. Fouetter les jaunes avec les 100g de sucre glace au fouet électrique jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de grumeaux. Ajouter le mascarpone, et fouetter à nouveau, puis réserver. Sortir le saladier et les 25cl de crème du frigo. Monter la crème en chantilly, au fouet électrique, jusqu’à ce qu’elle devienne épaisse et onctueuse. Ça peut prendre un peu de temps. Faire bouillir un peu d’eau et réserver on n’a besoin que de 2 cs. Sortir la gélatine du bol d’eau froide, et bien l’égoutter, en la pressant entre les mains. Vider l’eau froide du bol, et remettre la gélatine dedans. Verser dessus 2cs d’eau très chaude, et bien mélanger pour que la gélatine fonde totalement. Laisser tiédir un peu. Ensuite, ajouter 2cs de chantilly à la gélatine diluée, et mélanger délicatement. Verser ce mélange dans la préparation au mascarpone, et mélanger doucement à la cuillère en bois. Ajouter le reste de la chantilly, et bien soulever la pâte pour la mélanger, pour ne pas casser les blancs. Réserver environ 15mn au frigo pour qu’elle épaississe un peu. Montage Dérouler doucement le biscuit sur le torchon, et l’imbiber légèrement du mélange café /Amaretto, à l’aide d’un pinceau. Attention à ne pas en mettre trop. Sortir la crème du frigo, et en étaler les 3/4 sur le biscuit, en prenant soin de laisser une petite marge vide sur les bords. La couche ne doit pas être trop épaisse, pour ne pas sortir du biscuit au roulage. Garder le reste de crème au frigo au minimum 4h avant de recouvrir la bûche, et au moins 8h avant dégustation. Rouler le biscuit à nouveau, tout doucement, sans trop serrer pour ne pas le casser. Si la crème déborde un peu à la fin, enlever le surplus avec une cuillère avant de finir de rouler. Sortir une semelle à bûche dorée, ou un plat à cake. Enlever la bûche tiramisu du torchon en l’attrapant des deux côtés, et la déposer sur le support choisi. Attention à ne pas la casser ! A deux c’est mieux. La mettre au frigo au minimum 8h avant la dégustation mais il est possible de la recouvrir au bout de 4h, et de la remettre ensuite 4h au frigo. La recouvrir de crème il en reste généralement un peu pour les gourmands. Bien l’étaler partout, à l’aide d’une spatule coudée, ou d’une maryse. Recouvrir également les extrémités de crème, si vous ne voulez pas en perdre un seul morceau ! Mais si vous préférez couper les bouts, ce n’est pas nécessaire. Passer une fourchette sur le dessus et les côtés pour imiter le bois. Au dernier moment, tamiser un peu de cacao au-dessus de la bûche tiramisu, et ajouter les décorations choisies. Couper les deux extrémités si vous voulez apercevoir le beau roulé facultatif. Avec la crème aux extrémités. Bonne dégustation ! J’espère que cette bûche tiramisu vous régalera autant que moi pendant les fêtes ! Vous pouvez également retrouver la bûche vanille insert mangue ici, et les recettes que j’aime faire pendant les fêtes de Noël ici. Copyright© 2019 Combiende temps faut il s'y prendre à l'avance?. Salam aalikoum Combien de temps pour une organisation d'un Mariage en moyenne? est ce que cela differe si les futurs mariés sont: - de nationalités differentes Envoyer des invitations au moins un mois à l` à six semaines à l`avance est idéalQuatre à six semaines avant la date nuptiale de douche est un moment idéal pour envoyer les invitations. Si la plupart des clients sont des visiteurs de l`extérieur, cependant, offrez-vous un minimum de deux mois à l`avance pour poster les invitations. Cela donne assez de temps pour tout le monde RSVP et prendre soin des problèmes logistiques. Au moins 2 semaines avantSi la liste des invités de douche nuptiale est très court, peut-être composé de seulement 10 personnes qui sont locales et facile à contacter, puis l`envoi des invitations deux semaines à l`avance est acceptable. Assurez-vous que vous avez également les conseillé par téléphone ou par e-mail et que tout le monde a suffisamment de temps pour se préparer à la fête. résultat financierL`étiquette suggère invite de douche nuptiale devrait être envoyé au moins un mois avant la date de l`affaire. Ceci pour permettre à chacun suffisamment de temps pour se préparer l`hôtesse de planifier l`événement, les invités à RSVP et acheter leurs cadeaux et surtout, la mariée pour adapter la douche dans son emploi du temps déjà serré. Trainen Inde combien de temps à l'avance - forum Inde - Besoin d'infos sur Inde ? Posez vos questions et parcourez les 3 200 000 messages actuellement en ligne.
coco 22 a écrit bonjour, j'envisage de faire des poivrons marinés pour mes 40 ans mais comme nous serons nombreux je voudrais faire le maximum de chose d'avance, alors pour les poivrons j'ai vu sur le forum que c'était meilleur fait 3/4 jours à l'avance mais peut on les faire encore plus tôt ?merci pour vos réponses, ce n'est que pour le mois de mai, mais je commence à m'organiser. J'ai une recette,qui se garde assez longtemps,d'ailleurs il est conseiller de la consonmmer a partir de 10 jours mais elle est un peu plus longue a faire poivrons rouges et jaunes plonger les poivrons coupés en deux dans 3/4 vinaigre blanc et 1/4 eau bouillante pendant 3 mns,je laisse 5 mns bien secher sur essuie tout couper en lamelles mettre un anchois par lamelleanchois a l'uile en bocal rouler mettre bocal avec persil origan capres couvrir huile preference olive pour les servir tu peux les faire tenir avec un pic Prendre des poivrons assez long J'en ai eu fait avec des poivrons trop courts,je ne les ai pas rouler,j'ai mis couche poivron couche anchois en alternance Bon WE marie
Ao2sBO.
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