Cemardi 18 mai Ă©tait dĂ©diĂ© Ă  une journĂ©e de sĂ©curitĂ© aux abords des Ă©coles maternelles et primaires publiques ainsi qu’au collĂšge François Mugnier.
ï»żPubliĂ© le 03/11/2017 Ă  2052 Le Figaro FIGAROVOX/TRIBUNE - Pour Eric Delbecque et Dan Bellaiche, le lancement d'une vaste concertation sur la police de sĂ©curitĂ© du quotidien PSQ par le gouvernement est une initiative qui va dans le bon DELBECQUE est spĂ©cialiste des questions de sĂ©curitĂ© intĂ©rieure et l'auteur du Bluff sĂ©curitaire Editions du Cerf.Dan BELLAICHE est prĂ©sident de la sociĂ©tĂ© de sĂ©curitĂ© privĂ©e PROTECTIM SECURITY SERVICESLa semaine Ă©coulĂ©e fut riche en Ă©vĂ©nements sur le front de la sĂ©curitĂ© et du drame de Manhattan nous met en garde une fois de plus sur la maniĂšre dont nous pensons ledit terrorisme la menace reste prĂ©sente et des radicalisĂ©s basculant dans la violence peuvent frapper Ă  tout moment. Cela ne doit pas susciter une angoisse permanente mais nous inciter collectivement Ă  l'observation et Ă  la rĂ©activitĂ©. Face au terrorisme, nous sommes par consĂ©quent contraints de multiplier les vecteurs de vigilance, de dĂ©velopper la culture de l'anticipation et du renseignement. Nous sommes par consĂ©quent contraints de multiplier les vecteurs de vigilance, de dĂ©velopper la culture de l'anticipation et du qui nous mĂšne directement Ă  un autre fait important survenu mardi dans notre pays le lancement d'une vaste concertation sur la police de sĂ©curitĂ© du quotidien PSQ. Il s'avĂšre capital de sortir des polĂ©miques stĂ©riles sur le retour de la police de solution choisie par le MinistĂšre de l'IntĂ©rieur est la bonne solliciter l'expertise des policiers et des gendarmes, Ă©couter de façon attentive le diagnostic qu'ils dressent et s'inspirer de leurs suggestions, c'est recueillir un capital d'expĂ©riences cumulĂ©es tout Ă  fait d'autant plus que le travail conduit dans le cadre de cette expĂ©rimentation bĂątie sur le dialogue permettra de rĂ©flĂ©chir tout Ă  la fois sur la dĂ©linquance et le terrorisme, et donc sur leurs interactions, ainsi que sur le renseignement de terrain, de proximitĂ© comme le fait dĂ©jĂ  la gendarmerie avec les BTC, les brigades territoriales de contact.La dĂ©marche prĂ©sente aussi l'intĂ©rĂȘt d'associer au niveau prĂ©fectoral les Ă©lus locaux, les reprĂ©sentants des entreprises de transport collectif et les professionnels de la sĂ©curitĂ© privĂ©e. Cela tĂ©moigne de l'affirmation d'une chaĂźne de sĂ©curitĂ© nationale qui excĂšde les seules forces publiques. Ces derniĂšres demeurent bien Ă©videmment l'Ă©lĂ©ment central de notre protection collective, mais elles ambitionnent prĂ©cisĂ©ment d'ĂȘtre soulagĂ©es de missions qui entravent leur focalisation sur l'essentiel, le cƓur de mĂ©tier» comme on le dit trop rĂ©guliĂšrement commise consiste Ă  prĂ©tendre que nous marchons vers la privatisation de la sĂ©curitĂ©. C'est tout le contraire pour que l'univers rĂ©galien puisse rĂ©aliser pleinement sa tĂąche de souverainetĂ©, de maintien de l'ordre et de police judiciaire, il doit bĂ©nĂ©ficier du concours d'une plĂ©iade d'acteurs, dont certains appartiennent au secteur de certaines tĂąches, oui c'est indiscutable, nous voyons ce processus Ă  l'Ɠuvre! En revanche, il faut rĂ©affirmer que cette logique de rationalisation ne se confond pas avec une abdication des pouvoirs publics, c'est-Ă -dire avec une privatisation» de la le dispositif de rĂ©gulation et de dialogue qui a Ă©tĂ© créé ces derniĂšres annĂ©es CNAPS Conseil national des Le but du privĂ© est de faciliter l'action rĂ©galienne et de participer Ă  une meilleure sĂ©curisation des espaces, en aucun cas de se substituer Ă  des forces de l'ordre. activitĂ©s privĂ©es de sĂ©curitĂ© ; DCS DĂ©lĂ©gation aux coopĂ©rations de sĂ©curitĂ© manifeste justement la volontĂ© publique de faire concourir des entreprises spĂ©cialisĂ©es, correctement organisĂ©es et dignes de confiance Ă  l'ensemble de la dynamique de protection des individus et des reste le chef d'orchestre de la chaĂźne de sĂ»retĂ© des personnes et des biens. Quant Ă  l'ensemble de la chaĂźne pĂ©nale, magistrats au premier chef, elle s'affirme plus que jamais au centre des politiques publiques de sĂ©curitĂ© et de justice. Le but du privĂ© est de faciliter l'action rĂ©galienne et de participer Ă  une meilleure sĂ©curisation des espaces privĂ©s, des entreprises et de la sociĂ©tĂ© civile, en aucun cas de se substituer Ă  des forces de l'ordre dont nous constatons le dĂ©vouement quotidien dans des conditions souvent difficiles.La sĂ©curitĂ© c'est l'affaire de tous, ça n'est pas uniquement l'affaire des forces de l'ordre», vient de rappeler aujourd'hui mĂȘme le Premier ministre en rencontrant des policiers, des gendarmes, des agents de la sĂ»retĂ© de la SNCF et de la venons de sortir de l'Ă©tat d'urgence. Si nous souhaitons prĂ©server les fondamentaux de notre Etat de droit et limiter au maximum le recours Ă  des dispositifs juridiques d'exception, il faut - avec Ă©nergie - favoriser la collaboration d'un nombre substantiel d'acteurs qui possĂšdent chacun des avantages spĂ©cifiques et des compĂ©tences singuliĂšres rendant leur action fĂ©conde dans la perspective de la protection y parvenir, il convient plus que jamais de cristalliser cette chaĂźne d'intelligence collective dans la sĂ©curitĂ©, qui peut seule atteindre l'objectif vital de diffuser une culture de vigilance qui forme le meilleur rempart de la RĂ©publique et de ses idĂ©aux.
DĂšsdĂ©cembre, Ă  la suite de la campagne de sensibilisation Ă  la sĂ©curitĂ©, tout comportement jugĂ© « dangereux » aux abords des boucles d’autobus et des emprises ferroviaires, et ce, sur tout le rĂ©seau d’exo, sera passible d’un constat d’infraction. La sĂ©curitĂ© est l’affaire de tous et exo en fait une mission. Par Jean-François LafittePubliĂ© le 07/09/2017 Ă  3h42 Sans sĂ©curitĂ©, pas de pacte social ! La sĂ©curitĂ© est un Ă©lĂ©ment de l’attractivitĂ© d’un territoire, mais elle a un coĂ»t. Ensemble, continuons Ă  rester vigilant », a dĂ©clarĂ©, jeudi soir, Ă  Labenne, le sous-prĂ©fet, Lucien Giudicelli, en guise de conclusion Ă  la rĂ©ception de tous les acteurs de la sĂ©curitĂ© estivale. OrganisĂ© tous les ans par la municipalitĂ© au dernier jour du mois d’aoĂ»t, ce moment d’échange et de partage permet de dresser les premiers bilans de l’étĂ©. Comme Ă  Capbreton, la veille, le capitaine de gendarmerie a apprĂ©ciĂ© le renfort saisonnier de 70 gendarmes, dont huit dans la commune de Labenne. Il n’a pas Ă©tĂ© en mesure de fournir un premier bilan chiffrĂ©, qui fera toutefois apparaĂźtre un accroissement des affaires judiciaires au vu d’une frĂ©quentation en hausse, notamment durant le mois d’aoĂ»t. Il s’est fĂ©licitĂ© que les huit gendarmes en prĂ©sence aient permis de rĂ©pondre aux diffĂ©rentes sollicitations de la son cĂŽtĂ©, le commandant Piet, reprĂ©sentant le centre de secours, n’a pas souhaitĂ© s’exprimer, le bilan dĂ©finitif n’étant pas encore arrĂȘtĂ©. Seuls les trois CRS et les sept maĂźtres nageurs civils ont donnĂ© une copie chiffrĂ©e de leur bilan. 390 interventionsEn revisitant la plage labennaise au cours de l’hiver, l’ocĂ©an a jouĂ© en leur faveur. Les grandes marĂ©es hivernales ont, en effet, aplani la grĂšve, ce qui a eu pour effet la suppression des rouleaux de bord si dangereux. 390 interventions auprĂšs de baigneurs ont Ă©tĂ© recensĂ©es, dont 20 ayant entraĂźnĂ© une Ă©vacuation. À ces chiffres, s’ajoutent 450 petits soins, un procĂšs-verbal pour exhibition et une affaire judiciaire qui aurait pu se terminer de façon dramatique sans la vigilance des CRS. Le moment venu, le maire, Jean-Luc Delpuech, a remerciĂ© l’ensemble des acteurs pour leur action et leur a donnĂ© rendez-vous pour une nouvelle saison, au cours de laquelle l’accueil de la gendarmerie sera amĂ©liorĂ©. D’ici lĂ , la saison se poursuit jusqu’au 17 septembre sur la plage et bien plus tard ailleurs, avec l’espoir que l’étĂ© indien sera clĂ©ment, pour la plus grande satisfaction des nombreux vacanciers encore attendus. La sĂ©curitĂ© c'est l'affaire de tous, ça n'est pas uniquement l'affaire des forces de l'ordre", a-t-il rappelĂ© aprĂšs avoir rencontrĂ© les policiers, gendarmes, agents de la sĂ»retĂ© de la SNCF et de la RATP. "Les
20 mai 2022 Rapport technique TĂ©lĂ©charger 223,3 kB Vue d’ensemble Ce bref document souligne l’importance de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments, ses avantages, et les solutions permettant d’amĂ©liorer la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments dans les Ă©tablissements scolaires et les crĂšches. Il fait partie d’une sĂ©rie de brochures produites par la FAO et l’OMS en vue de promouvoir la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments, notamment dans le cadre de la JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments. La sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est l’affaire de tous Ă  la maisonLa sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est l’affaire de tous sur le lieu de travailLa sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est l’affaire de tous sur les marchĂ©s alimentaires traditionnelsLa sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est l’affaire de tous dans la vente d'aliments sur la voie publiqueOther available languages Ű§Ù„ŰčŰ±ŰšÙŠŰ©äž­æ–‡Đ ŃƒŃŃĐșĐžĐč Équipe OMS Multisectoral Action in Food Systems, Nutrition et sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments Éditeurs Organisation mondiale de la SantĂ© & Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture NumĂ©ro de pages 2 NumĂ©ro de rĂ©fĂ©rence NumĂ©ro de reference de l’OMS WHO/HEP/NFS/AFS/ Copyright
LasĂ©curitĂ©, c’est l’affaire de tous. Arnaud Lacroix. PubliĂ© le 24-02-2010 Ă  12h10 - Mis Ă  jour le 24-02-2010 Ă  12h38 ©AVPRESS. HENSIES. Les autoritĂ©s locales se basent sur l’avis des citoyens pour amĂ©liorer la sĂ©curitĂ© . SÉCURITÉ Suite aux inquiĂ©tudes des citoyens engendrĂ©es par l’insĂ©curitĂ© sous toutes ses formes, l’administration
L'actualitĂ© de l'OMS Page d'accueil/ CommuniquĂ©s de presse/ item/ La sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est l’affaire de tous CĂ©lĂ©brĂ©e le 7 juin dans le monde entier, la toute premiĂšre JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments des Nations Unies a pour objectif de garantir la sĂ»retĂ© de la nourriture que nous annĂ©e, prĂšs d'une personne sur dix dans le monde soit prĂšs de 600 millions de personnes tombe malade et 420 000 d'entre elles meurent aprĂšs avoir ingĂ©rĂ© de la nourriture contaminĂ©e par des bactĂ©ries, des virus, des parasites ou encore des substances chimiques. Les aliments dangereux ont Ă©galement pour effet de freiner le dĂ©veloppement dans de nombreuses Ă©conomies Ă  faible et Ă  moyen revenu, ces derniĂšres perdant prĂšs de 95 milliards de dollars en productivitĂ©. A cela s'ajoutent les maladies, les handicaps et les dĂ©cĂšs prĂ©maturĂ©s chez les sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments, une affaire de tous tel est le thĂšme de la JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments pour cette annĂ©e 2019. La sĂ©curitĂ© sanitaire contribue Ă  la sĂ©curitĂ© alimentaire, Ă  la santĂ© humaine, Ă  la prospĂ©ritĂ© Ă©conomique, Ă  l'agriculture, Ă  l'accĂšs aux marchĂ©s, au tourisme et au dĂ©veloppement a dĂ©signĂ© deux de ses agences, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture FAO et l'Organisation mondiale de la santĂ© OMS afin de mener Ă  bien les efforts visant Ă  promouvoir la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments Ă  travers le FAO et l'OMS unissent leurs forces en vue d'aider les pays Ă  prĂ©venir, Ă  gĂ©rer et Ă  rĂ©duire les risques associĂ©s Ă  la filiĂšre agroalimentaire, en travaillant aux cĂŽtĂ©s des vendeurs et des producteurs alimentaires, des autoritĂ©s rĂ©glementaires et des principaux acteurs de la sociĂ©tĂ© civile, en fonction du lieu de production de la nourriture, Ă  savoir si celle-ci est produite au niveau national ou importĂ©e.Si vous ĂȘtes un agriculteur, un fournisseur agricole, un transformateur alimentaire, un transporteur, un nĂ©gociant ou un consommateur, la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments vous concerne. Il n'y a pas de sĂ©curitĂ© alimentaire sans sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments», a dĂ©clarĂ© M. JosĂ© Graziano da Silva, Directeur gĂ©nĂ©ral de la FAO.Les aliments dangereux tuent prĂšs de 420 000 personnes chaque annĂ©e. Ces dĂ©cĂšs peuvent totalement ĂȘtre Ă©vitĂ©s», a prĂ©cisĂ© Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur gĂ©nĂ©ral de l'OMS. La JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est une occasion unique de sensibiliser les gouvernements, les producteurs, les prestataires et les consommateurs aux dangers des mauvais aliments. De la ferme Ă  l'assiette, nous avons tous un rĂŽle Ă  jouer pour rendre l'alimentation plus sĂ»re», a-t-il serait rentable d'investir dans des systĂšmes alimentaires durablesLa FAO et l'OMS soulignent l'importance du fait que tout le monde puisse avoir accĂšs Ă  une nourriture saine et nutritive en quantitĂ© suffisante et que la salubritĂ© des aliments est essentielle Ă  la promotion de la santĂ© et Ă  l'Ă©radication de la faim, soit deux Ă©lĂ©ments primordiaux des Objectifs de dĂ©veloppement aliments sĂ»rs permettent non seulement un apport convenable en nutriments mais aussi de mener une vie saine. La production d'aliments de bonne qualitĂ© contribue Ă  amĂ©liorer la durabilitĂ© et la productivitĂ© en facilitant l'accĂšs aux marchĂ©s, ce qui a aussi pour effet de stimuler le dĂ©veloppement Ă©conomique et de rĂ©duire la pauvretĂ©, surtout en milieu davantage dans l'Ă©ducation Ă  la salubritĂ© alimentaire auprĂšs des consommateurs peut potentiellement contribuer Ă  rĂ©duire les maladies d'origine alimentaire, avec notamment un retour sur investissement de 10 dollars pour chaque dollar Ă  la JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des alimentsLes activitĂ©s organisĂ©es autour de la JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments visent Ă  encourager le public Ă  agir en vue de prĂ©venir, de dĂ©tecter et de gĂ©rer les dangers sanitaires associĂ©s Ă  l' bonnes actions tout au long de la filiĂšre agroalimentaire, des agriculteurs aux consommateurs, ainsi qu'une bonne gouvernance et des rĂšglementations sont essentielles afin de parvenir Ă  la sĂ©curitĂ© sanitaire des FAO et l'OMS ont créé un nouveau guide pour montrer comment chacun de nous pourrait participer. Le guide propose cinq Ă©tapes pour changer la donne et parvenir Ă  la sĂ©curitĂ© sanitaire des alimentsS'assurer que la nourriture soit sans danger. Les gouvernements doivent s'assurer que la nourriture soit sans danger et sans aucun risque. L'agriculture et les producteurs alimentaires doivent adopter de bonnes pratiques. Manipuler avec soin. Les opĂ©rateurs Ă©conomiques doivent s'assurer que la nourriture est transportĂ©e, stockĂ©e et prĂ©parĂ©e sans aucun risque. VĂ©rifier que les aliments soient sans danger. Les consommateurs doivent pouvoir accĂ©der Ă  des informations claires et fiables, en temps opportun, sur les risques nutritionnels et les risques de maladies associĂ©s Ă  leurs choix Ă©quipe pour parvenir Ă  une meilleure sĂ©curitĂ© sanitaire. Les gouvernements, les organismes Ă©conomiques rĂ©gionaux, les organisations onusiennes, les agences de dĂ©veloppement, les organisations de commerce, les groupes de consommateurs et de producteurs, les institutions universitaires et de recherche et les structures du secteur privĂ© doivent travailler ensemble sur les problĂšmes liĂ©s Ă  la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments. DorĂ©navant, la date du 7 juin sera l'occasion de souligner les bienfaits associĂ©s Ă  une nourriture saine. La JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments a Ă©tĂ© adoptĂ©e par l'AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des Nations Unies en dĂ©cembre 2018. Le processus a Ă©tĂ© initiĂ© en 2016 par le Costa Rica, par le biais de la Commission du Codex Alimentarius, une structure gĂ©rĂ©e par la FAO et l' et chiffres clĂ©s sur la sĂ©curitĂ© sanitaire des alimentsPrĂšs de 600 millions de personnes - soit presqu'une personne sur 10 dans le monde - sont tombĂ©es malades aprĂšs avoir mangĂ© de la nourriture contaminĂ©e et 420 000 d'entre elles meurent chaque enfants ĂągĂ©s de moins de cinq ans reprĂ©sentent, Ă  eux seuls, 40 pour cent du fardeau des maladies d'origine alimentaire, avec 125 000 dĂ©cĂšs chaque maladies d'origine alimentaire trouvent leur origine dans les bactĂ©ries, virus et substances chimiques qui pĂ©nĂštrent dans le corps Ă  travers la nourriture ou l'eau maladies d'origine alimentaire entravent le dĂ©veloppement socioĂ©conomique en mettant Ă  rude Ă©preuve les systĂšmes de santĂ© et en fragilisant les Ă©conomies, le tourisme et le commerce valeur du commerce alimentaire s'Ă©lĂšve Ă  1,6 trillion de dollars amĂ©ricains, ce qui reprĂ©sente environ 10 pour cent du commerce mondial certaines estimations, les aliments dangereux coĂ»tent aux pays Ă  faible et Ă  moyen revenu prĂšs de 95 milliards de dollars chaque annĂ©e en perte de des pratiques en matiĂšre d'hygiĂšne dans les secteurs de l'alimentation et de l'agriculture peuvent aider Ă  rĂ©duire l'Ă©mergence et la propagation de la rĂ©sistance aux antimicrobiens tout au long de la chaĂźne alimentaire et dans l'environnement. Paul Garwood ChargĂ© de communication OMS
LasĂ©curitĂ©, c'est l'affaire de tous ! Le saviez-vous ? 70% des accidents impliquant un engin de manutention pourraient ĂȘtre Ă©vitĂ©s avec une formation et des mesures de sĂ©curitĂ© adĂ©quates. Les spĂ©cialistes de la cybercriminalitĂ© se rĂ©unissent cette semaine Ă  Monaco avec pour ambition d'Ă©tendre Ă  l'ensemble de la population les comportements et rĂ©flexes qui permettront de mieux rĂ©sister Ă  des pirates informatiques de plus en plus audacieux. "Se protĂ©ger, ça passe par des rĂšgles", explique Ă  l'AFP le directeur gĂ©nĂ©ral de l'Agence nationale de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d'information Anssi, Guillaume Poupard. "Il y a des rĂšgles de conception des systĂšmes, des rĂšgles d'administration de ces systĂšmes, des rĂšgles de gouvernance, des rĂšgles de comportement de la part des agents... Quand vous appliquez toutes ces rĂšgles et que vous le faites proprement, ça ne garantit pas une sĂ©curitĂ© Ă  100%, mais il n'y a plus grand chose qui passe", estime-t-il. Le propos peut paraĂźtre bien optimiste, alors qu'on apprend tous les jours ou presque que des cybercriminels arrivent Ă  se promener dans des systĂšmes informatiques les plus divers, volent des fichiers, dĂ©tournent de l'argent ou menacent de tout bloquer. "Au sein des entreprises, il y a Ă©videmment un responsable de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d'information il est indispensable, mais pas suffisant. L'idĂ©e, c’est vraiment de se dire que chacun est acteur de cette cybersĂ©curitĂ© le PDG, le directeur juridique, le directeur financier... Chacun Ă  un rĂŽle Ă  jouer", souligne-t-il. Y compris l'intĂ©rimaire, gĂ©nĂ©ralement oubliĂ© dans les procĂ©dures, alors qu'il a souvent accĂšs aux systĂšmes. Pas Ă©tonnant, dans ce contexte, que les Assises de la sĂ©curitĂ© et des systĂšmes d'information soient de moins en moins une rĂ©union de spĂ©cialistes. Quelque personnes y sont attendues de mercredi Ă  vendredi, Ă  Monaco. La menace reste des plus sĂ©rieuses, d'autant que le problĂšme de la sĂ©curitĂ© informatique a longtemps Ă©tĂ© nĂ©gligĂ©. L'Etat a identifiĂ© plus de 200 opĂ©rateurs d'importance vitale OIV, privĂ©s et publics, "qui exploitent ou utilisent des installations jugĂ©es indispensables pour la survie de la Nation". La loi de prĂ©paration militaire les oblige dĂ©sormais Ă  suivre toute une sĂ©rie de rĂšgles trĂšs strictes pour faire face Ă  la menace cyber, sous la surveillance de l'Anssi. - Rendre les attaques publiques - Et pour les autres ? Rien d'obligatoire, pour l'instant, mais du bon sens. "Il y a des chefs d'entreprises qui viennent me voir pour me demander ce qu'ils doivent faire, alors qu'ils ne sont pas des OIV", raconte Guillaume Poupard. "Et bien, la mĂȘme chose!" Les entreprises devront de toute façon rĂ©agir parce qu'une directive europĂ©enne va les obliger en 2018 Ă  rendre public tout vol de donnĂ©es personnelles. Or, jusqu'Ă  prĂ©sent, la plupart d'entre elles prĂ©fĂšrent garder secrĂštes les attaques dont elles font l'objet. Pour des raisons d'image, et aussi, note pour mieux rĂ©agir face aux pirates. "On va voir le vrai visage de la sĂ©curitĂ© des sociĂ©tĂ©s françaises, et ça va faire peur", prĂ©dit JĂ©rĂŽme Robert, responsable du marketing chez Lexsi, une sociĂ©tĂ© spĂ©cialisĂ©e tout juste rachetĂ©e par Orange. Le plus souvent guidĂ©s par l'appĂąt du gain, mais aussi par des motivations idĂ©ologiques, les cybercriminels s'introduisent au coeur du systĂšme des entreprises, gĂ©nĂ©ralement en passant par les ordinateurs de certains employĂ©s. Et pour approcher lesdits employĂ©s, on leur fait ouvrir des piĂšces jointes par mail, on les envoie cliquer sur des pages web vĂ©rolĂ©es ou on leur met entre les mains une clef USB corrompue. Une fois dans la place, les pirates peuvent tranquillement piller les ressources de l'entreprise attaquĂ©e - pour la plus grande joie d'un concurrent, par exemple - voire prendre le contrĂŽle de ses Ă©quipements. Quitte Ă  reprĂ©senter un vĂ©ritable danger, puisqu'ils pourraient ainsi faire dĂ©railler un train, prendre le contrĂŽle d'une voiture autonome, polluer l'approvisionnement d'une ville en eau ou faire sauter une raffinerie. Sans en arriver Ă  de telles extrĂ©mitĂ©s, les cybercriminels font de plus en plus chanter leurs victimes en s'introduisant dans leurs ordinateurs pour les bloquer ou en crypter le contenu. Et lĂ , ce ne sont pas seulement des entreprises, mais aussi des particuliers, qui sont victimes de ces "ransomwares", et qui ne peuvent espĂ©rer rĂ©cupĂ©rer leurs donnĂ©es qu'en payant une rançon. Lemajor Walter Lens, commandant de la brigade de Gendarmerie nationale de Saint-Genis des Fontaines, Ă©tait aux manettes de cette sĂ©ance, avec l’appui de FrĂ©dĂ©ric RĂ©gnier, responsable de la police municipale. Tous deux reprĂ©sentent autant de corps qui travaillent au quotidien en Ă©troite collaboration pour assurer la sĂ©curitĂ© de tous. Et de trois ! Le dĂ©putĂ© Thomas Gassilloud poursuit sa sĂ©rie de dĂ©bats publics, dans la 10e circonscription de Lyon. Objectif donner la parole aux citoyens et renforcer le lien entre le local et le national ». AprĂšs l’éducation Ă  Saint-Genis-Laval puis le numĂ©rique Ă  CharbonniĂšres-les-Bains, le comitĂ© de circonscription animĂ© par Fabienne Tirtiaux, a rĂ©uni la population Ă  l’espace culturel Éole, Ă  Craponne. À l’ordre du jour la sĂ©curitĂ© au quotidien, un thĂšme sensible et ĂŽ combien d’actualitĂ©, aprĂšs cette terrible attaque au couteau perpĂ©trĂ©e quelques jours auparavant Ă  Paris. Si la rĂ©union citoyenne a Ă©tĂ© suivie, dans la salle, par quelque 160 personnes, le dĂ©bat continue en ligne, sur la page facebook de Thomas Gassilloud oĂč l’enregistrement complet a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© visionnĂ© prĂšs de 800 fois. Face Ă  la menace terroriste omniprĂ©sente, la sĂ©curitĂ© nationale est devenue l’une des prioritĂ©s de l’État. Pas un hasard si le ministĂšre de l’IntĂ©rieur est l’un des rares Ă  voir son budget augmenter +9%, tient Ă  prĂ©ciser, d’emblĂ©e, Thomas Rudigoz, dĂ©putĂ© du RhĂŽne et membre de la commission des lois. Tout en rappelant, au passage, la rĂ©activitĂ© du gouvernement en la matiĂšre, avec notamment la mise en application de la loi Silt SĂ©curitĂ© intĂ©rieure et lutte contre le terrorisme qui a fait suite Ă  l’État d’urgence prorogĂ© jusqu’en novembre dernier, un Ă©tat exceptionnel qui ne pouvait plus durer », explique l’élu ; le vote d’un autre texte sur l’assignation Ă  rĂ©sidence et les visites domiciliaires » et la dĂ©cision de recruter, d’ici Ă  la fin du mandat d’Emmanuel Macron, 10 000 hommes et femmes pour complĂ©ter les effectifs de police et de gendarmerie. Depuis 15 mois, 22 attentats ont Ă©tĂ© dĂ©jouĂ©s », souligne-t-il. Pas de quoi, pourtant, rassurer les citoyens. Dans la salle, l’un d’eux s’interroge sur le nombre de fichĂ©s S »  Cinq cents, souffle-t-on, dans le dĂ©partement du RhĂŽne. A la tribune, le maire de Craponne, Alain Galliano, vice-prĂ©sident de la mĂ©tropole de Lyon, serait d’avis d’en connaĂźtre les identitĂ©s sur sa commune de 12 000 habitants. Je comprends cette demande, c’est un vrai dĂ©bat », reconnaĂźt Thomas Rudigoz. Reste Ă  savoir comment une telle rĂ©vĂ©lation serait apprĂ©hendĂ©e par un Ă©lu, compte tenu des peurs qu’elle peut susciter. Le risque Ă©tant qu’un ou une maire un peu fĂ©brile, panique et crĂ©e plus d’émois et d’inquiĂ©tudes dans sa commune », relĂšve-t-il. Comme le rappelle le colonel Thibault Lagrange, commandant du groupement de gendarmerie du RhĂŽne, un fichĂ© S est une personne signalĂ©e dans un cadre prĂ©ventif du risque terroriste ». Par dĂ©finitions, les fichĂ©s S peuvent, par leur activitĂ© ou leur entourage, reprĂ©senter un risque de trouble Ă  l’ordre public ou une atteinte Ă  la sĂ»retĂ© de l’État. Dans ce fichier, on estime la dangerositĂ© d’humains, or cette estimation est humaine et n’est donc, par essence, pas parfaite », tempĂšre le colonel. A la question de rendre public un tel fichier, Thomas Gassilloud se montre, avec le recul, dubitatif, l’intĂ©rĂȘt de la fiche S Ă©tant que l’individu ne sait pas qu’il est sous surveillance », commente-t-il. A l’échelle locale, Olivier Rigal, commandant de la compagnie de gendarmerie de l’Arbresle – l’une des deux compagnies avec celle de Givors, dans la 10e circonscription de Lyon qui compte 6 brigades territoriales – dresse un Ă©tat des lieux de la dĂ©linquance. MĂȘme si le territoire reste plutĂŽt privilĂ©giĂ©, l’insĂ©curitĂ© se traduit par une dĂ©linquance au spectre trĂšs large », de la petite dĂ©linquance du quotidien Ă  la fermeture, il y a trois ans, d’une mosquĂ©e salafiste sur le secteur de l’Arbresle, rouverte depuis avec un imam modĂ©rĂ©. En 2017, le nombre d’interventions variait selon les communes, entre 800 Ă  Saint-Laurent-de-Chamousset, et 2160 Ă  Saint-Genis-Laval, avec, un point noir dans l’Ouest lyonnais les cambriolages ». Le maire de Craponne, le reconnaĂźt Les incivilitĂ©s, la petite dĂ©linquance, les cambriolages ou les vols Ă  l’arrachĂ©e, arrivent chez nous depuis une quinzaine d’annĂ©es », lĂąche-t-il, amer. Dans ce contexte, la commune a notamment investi 400 000 € pour rapprocher sa police municipale dans le centre-ville et a fait installer 16 camĂ©ras fixes et 4 mobiles. Nous travaillons Ă©troitement avec la gendarmerie », confirme le maire. Le commandant Rigal l’assure la vidĂ©oprotection apporte une aide dans la rĂ©solution des affaires », pour repĂ©rer par exemple un numĂ©ro d’immatriculation. Pour autant, de l’avis des intervenants, la sĂ©curitĂ© reste l’affaire de tous ». Aussi, la gendarmerie lance-t-elle un appel, par la voix du commandant de la brigade de l’Arbresle On a besoin de la population vos yeux et vos oreilles nous permettent d’orienter nos recherches, insiste-t-il. N’hĂ©sitez pas Ă  nous contacter ». Le mieux Ă©tant d’appeler directement le 17, lorsque vous repĂ©rez un comportement suspect ». Les dispositifs de participation citoyenne c’est le cas Ă  Craponne, comme le rappelle le maire, avec 20 rĂ©fĂ©rents dans 9 quartiers de la commune » entrent pleinement dans cette dĂ©marche. Nous sommes aussi sur le point de crĂ©er, Ă  dĂ©faut d’un Conseil local de sĂ©curitĂ© et de prĂ©vention de la dĂ©linquance CLSPD, un comitĂ© de veille de la dĂ©linquance avec toutes les parties prenantes dont une synergie entre la police municipale et la gendarmerie pour assurer le bien vivre ensemble », poursuit M. Galliano. Le lancement rĂ©cent de la police de sĂ©curitĂ© du quotidien par GĂ©rard Collomb, ministre de l’IntĂ©rieur, a pour objectif de recrĂ©er cette proximitĂ© avec la population, les commerçants, les Ă©lus, les partenaires, bailleurs sociaux et autres
 », explique Thomas Rudigoz. Dans le RhĂŽne, en zone police, le quartier des Minguettes, Ă  VĂ©nissieux, et celui de Mermoz, Ă  Lyon, ont Ă©tĂ© retenus par le gouvernement, ainsi que quelques autres dans le 8e arrondissement. Des quartiers avec de grosses problĂ©matiques de dĂ©linquance la volontĂ© est de renforcer ici, les effectifs de police avec, aussi, des moyens supplĂ©mentaires en matiĂšre d’équipements modernes pour l’ensemble des Ă©quipages. » Les bailleurs sociaux se doivent, eux aussi, de jouer un rĂŽle actif, pour prĂ©server la tranquillitĂ© de nos rĂ©sidents et leur assurer un environnement paisible », tĂ©moigne CĂ©line Naquin, chef du projet sĂ»retĂ© Ă  Lyon MĂ©tropole Habitat. A l’échelle du Grand Lyon, quatorze bailleurs se mobilisent au sein d’un dispositif visant Ă  amĂ©liorer la tranquillitĂ© de leurs locataires. Cela passe par la mise en place d’agents de mĂ©diation et d’agents de sĂ©curitĂ© dans des rĂ©sidences ciblĂ©es ; des agences de proximitĂ© ; des actions de dĂ©veloppement social et de prĂ©vention », Ă©numĂšre-t-elle. Mais aussi des rĂ©amĂ©nagements, dans les immeubles, des halls traversants ou des recoins plus ou moins sombres
 Dans le Grand Lyon, 4408 intervention ont ainsi Ă©tĂ© menĂ©es l’an dernier. Mais tout cela a un coĂ»t », reconnaĂźt Mme Naquin. En tant qu’acteurs de la sĂ©curitĂ©, les bailleurs sociaux prĂ©conisent des Ă©volutions lĂ©gislatives. Nous avons demandĂ© que le dĂ©lit d’occupation des parties communes, passible de six mois d’emprisonnement et de 7500 € d’amendes, trĂšs difficile Ă  caractĂ©riser et donc Ă  appliquer, bascule en contravention la sanction serait immĂ©diate dĂšs lors que les forces de l’ordre constateraient l’infraction », Ă©voque-t-elle. Autre proposition des bailleurs sociaux obtenir un droit de rĂ©siliation du bail pour des locataires investis dans des trafics de stupĂ©fiants, dans leur rĂ©sidence ou dans leur logement ; ainsi que la possibilitĂ© de dĂ©poser une plainte en cas d’agression d’un collaborateur. Or, aujourd’hui, ils ne le font pas car ils ont peur des reprĂ©sailles, et les bailleurs ne peuvent pas se substituer Ă  eux car ils ne sont pas les victimes directes ». Et de proposer, dans la foulĂ©e, la mise en place de rĂ©fĂ©rents bailleurs » auprĂšs des tribunaux afin de mieux suivre les plaintes, leurs suites judiciaires et de traiter avec eux sur des secteurs relativement sensibles ». Le commandant Rigal se montre pragmatique. Deux tiers des infractions n’ont pas d’auteurs identifiĂ©s. Sur le tiers des infractions avec auteurs identifiĂ©s, moins de la moitiĂ© font l’objet de poursuites. Sur la moitiĂ© des auteurs d’infractions identifiĂ©s et poursuivis, moins de 10% sont incarcĂ©rĂ©s. Des rĂ©ponses alternatives sont apportĂ©es pour tout le reste. Et malgrĂ© tout, les prisons sont pleines
 » De lĂ  Ă  imaginer des stages de rééducation au bon civisme », selon l’expression de Thomas Gassilloud
 Certes, les tribunaux peuvent condamner les petits dĂ©linquants Ă  des travaux d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. Mais les procĂ©dures sont longues, avec le sentiment, pour la population, que rien ne se passe », souffle quelqu’un dans l’assistance
 Peut-ĂȘtre faudrait-il simplifier tout cela et permettre aux maires d’infliger des travaux d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral ? », s’interroge Thomas Gassilloud. Le Cdt Rigal rappelle au passage la comparution immĂ©diate », une des rares procĂ©dures judiciaires dans laquelle on a une quasi-immĂ©diatetĂ© de la sanction pĂ©nale par rapport Ă  la commission des faits. Existe aussi le rappel Ă  la loi par officier de police judiciaire le magistrat nous prescrit de rappeler Ă  l’intĂ©ressĂ© ce qu’il encourt en cas de rĂ©cidive ». C’est cette nouvelle forme de petite dĂ©linquance qui crĂ©e ce sentiment d’insĂ©curitĂ© et qui pourrit la vie au quotidien, conclut le maire de Craponne. Comment ramener les auteurs de ces actes sur le droit chemin ? Je suis prĂȘt Ă  leur tendre la main, mais cette main, ils n’en veulent pas ! On n’en peut plus ! » Le service national universel, appelĂ© de ses vƓux par le PrĂ©sident de la RĂ©publique, serait-il l’une des solutions, glisse le dĂ©putĂ© Thomas Gassilloud. Ce sera le mot de la fin
 et peut-ĂȘtre l’objet d’un prochain dĂ©bat ? Mathieu Girandola Les autres questions de l’assistance Comment combattre les armes blanches ? Comment interdire l’arme blanche, alors qu’on en a tous, chez soi ? Le lĂ©gislateur, dans sa grande sagesse, a posĂ© le principe du trouble Ă  l’ordre public », rĂ©pond Olivier Rigal, commandant de la compagnie de gendarmerie de l’Arbresle. En matiĂšre de sĂ©curitĂ© sur internet, comment Ă©viter les escroqueries ? Le thĂšme a fait l’objet d’un prĂ©cĂ©dent dĂ©bat public. Le colonel Lagrange met en garde Internet est un espace de vie exactement comme le monde rĂ©el. Chaque fois que vous vous posez une question sur Internet, demandez-vous comment vous feriez dans le monde rĂ©el. » Autrement dit, ne faites pas sur Internet ce qu’il ne vous viendrait mĂȘme pas Ă  l’idĂ©e de faire dans la vie rĂ©elle
 comme, par exemple, publier des photos de famille dans un magazine ! sic L’état d’urgence a-t-il permis de rĂ©duire le nombre d’armes lourdes circulant en ville ? Des perquisitions ont amenĂ©, dans une minoritĂ© de cas, Ă  la dĂ©couverte d’armes, dont des armes lourdes », reconnaĂźt Olivier Rigal. Quant au trafic d’armes, il se fait Ă  bas bruit, Ă  bas niveau, Ă  trĂšs faible volume on doit saisir en France, une centaine de kalachnikovs par an, c’est relativement faible comparativement au nombre d’armes saisies, entre 5 et 8 000. Le trafic d’armes lourdes est trĂšs difficile Ă  entraver. » Quelle est l’efficacitĂ© des camĂ©ras de vidĂ©oprotection ? La vidĂ©o-protection fonctionne de deux façons, rĂ©pond Olivier Rigal. La premiĂšre avec un opĂ©rateur derriĂšre qui est capable de renseigner Ă  l’instant T, quand les faits se produisent, et donc d’alerter le coĂ»t est important. Ce systĂšme fonctionne trĂšs bien pour les incivilitĂ©s. La deuxiĂšme façon de travailler est celle de l’enregistrement. On ne pourra pas procĂ©der Ă  une interpellation immĂ©diatement mais on va pouvoir rĂ©cupĂ©rer les Ă©lĂ©ments de preuves qui permettront de confondre l’individu et de le sanctionner pĂ©nalement, et cela fonctionne trĂšs bien. Les camĂ©ras sont un apport trĂšs important dans la rĂ©solution d’affaires. » Beaucoup d’automobilistes roulent sans permis et ne sont punis que d’une amende de 800€
 La justice peut prononcer une confiscation du vĂ©hicule, note le commandant Rigal. Mais la sanction effectivement n’est pas immĂ©diate et l’auteur de ce dĂ©lit repartira, avec une convocation en justice pour une date ultĂ©rieure. Une campagne de la PrĂ©vention routiĂšre essaie en ce moment de sensibiliser ces conducteurs sur les consĂ©quences financiĂšres d’un accident causĂ© en cas de dĂ©faut d’assurance ou de permis c’est une consĂ©quence pĂ©cuniaire Ă  vie. Malheureusement, c’est un message qu’on a du mal Ă  faire passer aux dĂ©linquants routiers qui sont totalement hermĂ©tiques Ă  ce sujet. » SĂ©curitéà la chasse, c’est l’affaire de tous La sĂ©curitĂ© des chasseurs et des non chasseurs est le point fondamental qui guide toute action de chasse, au petit comme au gros gibier. C’est encore plus important dans un territoire pĂ©ri-urbain comme le nĂŽtre oĂč les chasseurs cĂŽtoient de nombreux autres utilisateurs des espaces naturels. Le Premier ministre Edouard Philippe C accompagnĂ© de la ministre des Transports Elisabeth Borne 2G, le ministre de l'IntĂ©rieur GĂ©rard Collomb 2D, Ă  la Gare du Nord, le 3 novembre 2017 POOL/AFP - GONZALO FUENTES publiĂ© le 3 novembre 2017 Ă  11h25. AprĂšs la tour Eiffel mercredi, le Premier ministre Édouard Philippe s'est rendu Ă  la gare du Nord Ă  Paris vendredi pour rassurer les Français deux jours aprĂšs que la loi antiterroriste a remplacĂ© l'Ă©tat d'urgence et rappeler que "la sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous". "Nous savons parfaitement que le niveau de menace reste Ă©levĂ©", a dĂ©clarĂ© Édouard Philippe entourĂ©, du ministre de l'IntĂ©rieur GĂ©rard Collomb et de la ministre des Transports Élisabeth Borne. "La sĂ©curitĂ© c'est l'affaire de tous, ça n'est pas uniquement l'affaire des forces de l'ordre", a-t-il rappelĂ© aprĂšs avoir rencontrĂ© les policiers, gendarmes, agents de la sĂ»retĂ© de la SNCF et de la RATP. "Les dĂ©fis sont immenses mais le gouvernement, les forces de l'ordre, l'ensemble des opĂ©rateurs sont extrĂȘmement mobilisĂ©s pour mettre des moyens humains supplĂ©mentaires, vĂ©rifier que le cadre juridique de notre action nous permet d'apporter des rĂ©ponses claires et efficaces et c'est notamment le cas depuis l'adoption de la loi antiterroriste", a-t-il dit."Et puis au-delĂ  des moyens humains et juridiques, et au delĂ  mĂȘme des moyens matĂ©riels, je redis l'attention que nous devons tous avoir, cette vigilance collective et pas simplement la vigilance des forces de l'ordre, car ils ne pourront rĂ©pondre au dĂ©fi immense du terrorisme que par une attention permanente et collective de l'ensemble des citoyens", a assurĂ© le Premier ministre. Mercredi, lors d'un dĂ©placement Ă  la tour Eiffel, le Premier ministre avait dĂ©jĂ  appelĂ© Ă  la "vigilance de l'ensemble de la sociĂ©tĂ©" pour une rĂ©ponse "efficace" Ă  la menace veille, le ministre de l'IntĂ©rieur s'Ă©tait rendu Ă  la gare Saint Lazare pour rencontrer les patrouilles de la prĂ©fecture de police de Paris, 15 millions de voyages quotidiens sont effectuĂ©s sur le rĂ©seau de transports d'Ile-de-France dont sur la gare du Nord. Il y a eu interpellations sur l'ensemble des rĂ©seaux depuis janvier 2017. Sur les neuf premiers mois de 2017, plaintes ont Ă©tĂ© reçues au poste de police de la gare du Nord et interpellations ont eu AFP qokFOVg.
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