Enfin tout sentier de pirsch a un début. Afin de ne pas en faire un sentier de promenade idéal pour le premier badaud venu, ne le faites pas déboucher directement sur un chemin, une lisière, une allée ou une route. Au pire, faites une chicane au démarrage qui cassera l’axe de vue.
Upload Newsletter Login Sign up Download Read Grantee Safran Aero Boosters SA Representative Lecomte & Partners Application number EP16169671B1 Kind B1 Document number 3095963 Shortcuts →Claims →References by patents Classifications International Patent Classification F01D 9/04 F04D 29/02 F04D 29/16 F04D 29/54 F04D 29/64 ... 3095963 - EP16169671B1 - EPO Application May 13, 2016 - Publication Mar 07, 2018 Description Domaine techniqueL'invention concerne la fixation par fourreau d'une virole ou d'une plateforme à une aube. L'invention a également trait à une structure d'aubage de turbomachine axiale. De plus, l'invention propose un compresseur et une turbomachine axiale, notamment un turboréacteur ou un turbopropulseur d' antérieureUne turbomachine comprend plusieurs compartiments dont des compresseurs et des turbines. Les compresseurs alignent plusieurs rangées annulaires d'aubes statoriques, éventuellement munies de viroles internes suspendues aux extrémités internes des aubes précitées. Ces viroles relient plusieurs aubes consécutives et supportent des couches de matériaux abradables assurant une étanchéité dynamique avec le virole interne peut être suspendue de différentes manières aux aubes qui la supportent. Une virole peut être ancrée à l'aide de plaquettes de rétention scellées au travers d'ouvertures ménagées dans les extrémités d'aubes. Or, cette technique demande des manipulations complexes pour placer convenablement chaque plaquette. Ou encore, une virole interne peut présenter une série d'ouvertures prolongées par des renforts. Une matière est alors appliquée entre les renforts et les aubes pour les documentEP2196629A1divulgue un compresseur de turbomachine axiale comprenant une rangée annulaire d'aubes statoriques et une virole interne fixée aux extrémités internes des aubes. La virole interne est segmentée et est réalisée en un matériau composite. Elle présente une rangée annulaire d'ouvertures prolongées par des fourreaux de fixation pour les extrémités d'aubes. Un espace conséquent est ménagé entre les extrémités internes des aubes et les surfaces intérieures des espace accueille un matériau permettant une liaison. Toutefois, la résistance de cette liaison est limitée. En raison des vibrations dans la turbomachine, des décohésions peuvent se documentEP 2 434 101 A2divulgue une turbomachine présentant un assemblage amortisseur. L'assemblage comporte une virole interne avec une rangée circulaire d'ouvertures dans lesquelles sont logées des extrémités d'aubes en vue de leurs maintiens. Des fourreaux amortisseurs sont collés aux extrémités des aubes afin d'apporter un amorti dans les ouvertures. Toutefois, la fixation procurée entre la virole est les aubes reste de l'inventionProblème techniqueL'invention a pour objectif de résoudre au moins un des problèmes posés par l'art antérieur. Plus précisément, l'invention a pour objectif d'améliorer la fixation d'une virole. L'invention a également pour objectif de sécuriser la fixation d'une virole à fourreau sur une techniqueOn aura bien compris que l'invention a pour objet une aube de turbomachine axiale, notamment de compresseur de turbomachine axiale, l'aube comprenant une paroi qui comporte une surface de guidage destiné à délimiter radialement un flux annulaire de la turbomachine, et un fourreau de fixation ; une pale qui comporte une portion fixée dans le fourreau et une portion aérodynamique destinée à dévier le flux annulaire, remarquable en ce qu'elle comprend en outre une couche de scellement à l'interface entre la pale et le fourreau de sorte à fixer la pale à la paroi par aubage on entend une surface rigide permettant de guider un a également pour objet une structure d'aubage de turbomachine axiale, notamment de compresseur de turbomachine axiale, la structure comprenant une paroi qui est destinée à délimiter radialement un flux annulaire de la turbomachine et qui comporte un fourreau de fixation, une aube fixée dans le fourreau de fixation et qui s'étend radialement par rapport à la paroi, une couche de fixation à l'interface entre l'aube et le fourreau, remarquable en ce que l'interface comprend des aspérités dans lesquelles pénètre la couche de fixation de sorte à assurer un ancrage par engagement de matière afin de fixer l'aube dans la un mode avantageux de l'invention, les aspérités en contact de la couche de fixation sont formées sur l'aube et/ou à l'intérieur du fourreau, préférentiellement les aspérités sont distribuées un mode avantageux de l'invention, l'aube comprend une surface intrados et une surface extrados, des aspérités étant réparties sur la surface intrados et/ou sur la surface extrados à l'intérieur du un mode avantageux de l'invention, l'aube comprend une surface incurvée et/ou une surface bombée à l'intérieur du fourreau, au moins une ou chacune desdites surfaces recevant des un mode avantageux de l'invention, le fourreau comprend une entrée, une sortie et un passage étanche qui relie l'entrée à la sortie, l'entrée et la sortie étant radialement opposées et présentent chacune une forme de section aérodynamique d'aube incurvée, préférentiellement le passage traverse la paroi un mode avantageux de l'invention, le fourreau entoure l'aube, éventuellement de manière continue ; préférentiellement le fourreau est généralement profilé radialement suivant un profil épousant généralement l'aube, ledit profil présente un bord un mode avantageux de l'invention, la couche de fixation est une couche de scellement, préférentiellement la couche de fixation est un joint d'étanchéité entre le fourreau et l' un mode avantageux de l'invention, la couche de fixation entoure l'aube, éventuellement l'interface est comblée par la couche de un mode avantageux de l'invention, l'aube comprend un bord d'attaque et un bord de fuite, le bord d'attaque et/ou le bord de fuite formant une/des arrêtes vives, éventuellement la couche de fixation est un matériau élastique et/ou un polymère, en contact de chaque arrête un mode avantageux de l'invention, la pale s'étend radialement par rapport à la un mode avantageux de l'invention, la paroi est monobloc et/ou venue de matière ; préférentiellement la paroi comprend un voile formant la surface de guidage, le voile et le fourreau étant monobloc et/ou venus de un mode avantageux de l'invention, les aspérités comprennent des surfaces un mode avantageux de l'invention, les aspérités formées sur l'aube sont des renfoncements, préférentiellement un mode avantageux de l'invention, la couche de fixation comprend de l'élastomère, éventuellement du un mode avantageux de l'invention, le ou chaque joint annulaire est adapté pour coopérer avec des léchettes du rotor de la un mode avantageux de l'invention, au moins une ou chaque aspérités forme une empreinte ronde, ou carrée ou en polygone sur sa surface de un mode avantageux de l'invention, l'interface présente plusieurs aspérités disposées l'une derrière l'autre axialement et/ou l'une au-dessus de l'autre radialement, lesdites surfaces étant éventuellement formées sur une même surface. Ainsi, l'interface présente plusieurs variations d'épaisseurs qui augmentent l'engagement de a également pour objet un compresseur de turbomachine, notamment un turboréacteur d'aéronef, le compresseur comprenant une virole interne avec des fourreaux, une rangée annulaire d'aubes fixées dans les fourreaux à l'aide de joints de fixation, remarquable en ce que les aubes et/ou les fourreaux comprennent des aspérités engageant les joints de a également pour objet un compresseur de turbomachine axiale, notamment un compresseur basse pression, le compresseur comprenant au moins une structure d'aubage, remarquable en ce que la ou chaque structure d'aubage est conforme à l'invention, préférentiellement le compresseur comporte plusieurs aubes agencées en une ou plusieurs rangées annulaires d' un mode avantageux de l'invention, la paroi est commune à une série de structures d'aubage, par exemple consécutives dans une même rangée un mode avantageux de l'invention, la paroi est une virole ou un segment angulaire de virole fixée à plusieurs un mode avantageux de l'invention, la paroi est une virole interne ou un segment angulaire de virole interne fixée à plusieurs aubes d'une même un mode avantageux de l'invention, la paroi est une paroi composite à matrice organique, et éventuellement à fibres de longueurs inférieures à 10mm, préférentiellement inférieures à un mode avantageux de l'invention, la paroi comprend une surface interne et au moins un joint annulaire, notamment au moins une couche de matériau abradable recouvrant ladite surface interne, le joint annulaire étant éventuellement en contact de plusieurs fourreaux ou de chaque un mode avantageux de l'invention, la paroi comprend un joint annulaire qui est radialement et/ou axialement à distance des un mode avantageux de l'invention, la paroi comprend un profil de révolution avec une base s'étendant principalement axialement et deux rallonges radiales s'étendant radialement vers l'intérieur depuis l'amont et l'aval de la base ; chaque extrémité radiale interne de rallonge comprenant un joint d'étanchéité annulaire, notamment un joint un mode avantageux de l'invention, les fourreaux forment au moins une rangée annulaire de fourreaux, préférentiellement plusieurs rangées annulaires de un mode avantageux de l'invention, la portion d'aube logée dans le fourreau présente une corde moyenne inclinée d'au moins 5° par rapport à l'axe de rotation du compresseur, préférentiellement au moins 10°. Par ce biais le joint de fixation travaille en compression et limite le un mode avantageux de l'invention, le fourreau est débouchant, l'aube traversant de part en part le fourreau, préférentiellement l'aube comprend deux portions de même longueur qui disposées de part et d'autre du un mode avantageux de l'invention, le joint annulaire est en contact d'au moins une ou plusieurs couches de a également pour objet une turbomachine axiale, notamment un turboréacteur d'aéronef, comprenant au moins une structure d'aubage, remarquable en ce que la ou chaque structure est conforme à l'invention, préférentiellement la turbomachine comprend un compresseur, le compresseur étant conforme à l' manière générale, les modes avantageux de chaque objet de l'invention sont également applicables aux autres objets de l'invention. Dans la mesure du possible, chaque objet de l'invention estcombinable aux autres apportésL'invention permet d'augmenter l'ancrage entre l'aube et le fourreau via la couche de fixation puisqu'elle exploite un engagement de matière. La fixation est assurée par la résistance en cisaillement de la couche en plus de ses éventuelles qualités adhésives. La portion d'aube recevant des aspérités est incurvée, si bien que ses aspérités subissent des efforts de traction-compression et de cisaillement répartis différemment. L'éventuelle rupture de la couche de fixation pourra être plus permet d'utiliser des matériaux formant un bloc de matière, éventuellement à adhésion réduite. En cas de remplacement d'une aube ou d'un segment de virole, l'enlèvement de la couche de fixation est simplifié puisqu'elle colle peu. Une couche thermoplastique peut ainsi êtreenlevée par traitement thermique, ce qui réduit ou supprime les opérations physiques et/ou chimiques nécessaires. Tout autre matériau fondant à une température inférieure à celle des fourreaux peut description des dessinsLafigure 1représente une turbomachine axiale selon l' 2est un schéma d'un compresseur de turbomachine selon l' 3illustre une vue de côté d'une structure d'aubage selon l' 4esquisse une coupe de la structure d'aubage selon l'invention suivant l'axe 4-4 tracé sur lafigure des modes de réalisationDans la description qui va suivre, les termes intérieur ou interne et extérieur ou externe renvoient à un positionnement par rapport à l'axe de rotation d'une turbomachine axiale. La direction axiale correspond à la direction le long de l'axe de rotation de la 1représente de manière simplifiée une turbomachine axiale. Il s'agit dans ce cas précis d'un turboréacteur double-flux apte à exercer une poussée pour la propulsion d'un aéronef. Le turboréacteur 2 comprend un premier niveau de compression, dit compresseur basse-pression 5, un deuxième niveau de compression, dit compresseur haute-pression 6, une chambre de combustion 8 et un ou plusieurs niveaux de turbines 10. En fonctionnement, la puissance mécanique de la turbine 10 transmise via l'arbre central jusqu'au rotor 12 met en mouvement les deux compresseurs 5 et 6. Ces derniers comportent plusieurs rangées d'aubes de rotor associées à des rangées d'aubes de stators. La rotation du rotor autour de son axe de rotation 14 permet ainsi de générer un débit d'air et de comprimer progressivement ce dernier jusqu'à l'entrée de la chambre de combustion 8. Des moyens de démultiplication peuvent augmenter la vitesse de rotation transmise aux ventilateur d'entrée communément désigné fan 16 ou soufflante 16 est couplé au rotor 12 et génère un flux d'air qui se divise en un flux primaire 18 traversant les différents niveaux susmentionnés de la turbomachine, et un flux secondaire 20 traversant un conduit annulaire partiellement représenté le long de la machine pour ensuite rejoindre le flux primaire en sortie de turbine. Le flux secondaire peut être accéléré de sorte à générer une réaction de poussée. Les flux primaire 18 et secondaire 20 sont des flux annulaires, ils sont canalisés par le carter de la turbomachine. A cet effet, lecarter présente des parois cylindriques ou viroles qui peuvent être internes et 2est une vue en coupe d'un compresseur d'une turbomachine axiale telle que celle de lafigure 1. Le compresseur peut être un compresseur basse-pression 5. On peut y observer une partie du fan 16 et le bec de séparation 22 du flux primaire 18 et du flux secondaire 20. Le rotor 12 comprend plusieurs rangées d'aubes rotoriques 24, en l'occurrence compresseur basse pression 5 comprend plusieurs redresseurs, en l'occurrence quatre, qui contiennent chacun au moins une rangée d'aubes statoriques 26. Les redresseurs sont associés au fan 16 ou à une rangée d'aubes rotoriques 24 pour redresser le flux d'air 18, de sorte à convertir la vitesse du flux en pression aubes statoriques 26 s'étendent essentiellement radialement depuis un carter extérieur 28, et peuvent y être fixées et immobilisées à l'aide d'axes. Elles sont régulièrement espacés les unes des autres, et présentent une même orientation angulaire dans le flux 18. Avantageusement, les aubes d'une même rangée sont identiques. Chaque aube statorique 26 présente un empilement radial de sections aérodynamiques configurées pour pouvoir dévier le flux moins un ou chaque redresseur peut comprendre une paroi 30, notamment une virole interne 30. La paroi 30 est fixée aux extrémités internes des aubes statoriques à l'aide de fourreaux 32. Au moins une ou chaque virole peut être circulaire ou formée de segments angulaires. La paroi peut être formée de portions, chacune dédiée à une aube statorique,ces portions pouvant être des plateformes d'aubes. La réunion d'une aube et de la paroi, ou du moins d'une portion de paroi, peut former une structure d'aubage 34. La turbomachine, et/ou le compresseur 5 peuvent comporter plusieurs structures d'aubages 34 alignées en une ou plusieurs rangées paroi 30 peut ainsi relier plusieurs aubes puisqu'elle y est fixée. La paroi 30 peut comprendre un matériau polymère, notamment un matériau composite à matrice organique. Le composite peut être chargé de fibres courtes, c'est-à-dire de fibres de longueur moyenne inférieure à 10mm, préférentiellement inférieure à 5mm, plus préférentiellement inférieure à 2mm. La paroi 30 peut naturellement être réalisée en métal. La virole, donc la paroi 30, peut être moulée, ou être réalisée par fabrication additive afin de réaliser des formes complexes, par exemple des contres dépouilles dans les fourreaux 3représente une vue de profil d'une structure d'aubage 34 d'un compresseur, par exemple le compresseur illustré enfigure paroi 30 peut comprendre un profil de révolution autour de l'axe de rotation de la turbomachine 14. Le profil peut comprendre une base 36, par exemple une base centrale 36, qui est liée à l'aube 26. La base 36 s'étend principalement axialement, et peut être sensiblement inclinée par rapport à l'axe 14. Le profil peut également comporter deux rallonges radiales 38, une amont et une aval. Chacune d'elle s'étend depuis la base 36 vers le rotor 12, en particulier vers une nervure annulaire 40 également appelée léchette 40 du rotor 12. Elles peuvent s'écarter l'une de l'autre vers l'intérieur. Ainsi, la base 36 génère par rotation un ruban sensiblement tubulaire, et les rallonges 38 donnent naissance à des brides radiales. Cette configuration de paroi 30 présente un aspect allongé paroi 30 peut comprendre une surface de guidage 42 et/ou de délimitation du flux annulaire 18 de la turbomachine. Cette surface 42, par exemple externe, peut être généralement tubulaire ou en arc de cercle. Elle est disposée entre le fourreau 32 et la pale de l'aube 26. La pale estla portion de l'aube 26 destinée à s'étendre radialement dans le flux 18, elle forme la majorité radiale de l'aube moins une ou chaque paroi 30 peut supporter un dispositif d'étanchéité dynamique 44 qui entoure le rotor 12. Au moins un ou chaque dispositif d'étanchéité 44 peut comporter une ou plusieurs couches annulaires d'étanchéité 46 qui coopèrent avec la surface externe du rotor 12, notamment avec ses léchettes 40. Une couche d'étanchéité 46 peut être réalisée en matériau abradable, c'est-à-dire un matérieu friable, qui se désagrège en poudre en cas de contact avec les léchettes 40. Ainsi le dispositif d'étanchéité 44 est apte à entrer en contact avec le rotor 12 sans le détériorer ; il peut donc être conçu pour venir au plus près du rotor 12, ce qui permet d'optimiser l'étanchéité dynamique. Au moins une ou chaque couche d'étanchéité 46 peut être portée par une des rallonges radiales 38 du profil de la paroi 30. Une telle configuration est d'ailleurs connue du documentEP2801702 une variante de l'invention, le joint d'étanchéité comprend une couche comblant l'espace annulaire entre la base 36 et les rallonges 38 de la paroi 30. Cette couche, par exemple abradable peut être en contact des fourreaux 32, et éventuellement en obturer une ouverture. Le joint d'étanchéité peut également être en contact de chaque couche de paroi 30 est reliée à l'aube 26 grâce à son fourreau de fixation 32, par exemple disposé au niveau de la base 36. Chaque aube 26 d'une rangée ou de chaque rangée peut ainsi être fixée à une paroi 30 du compresseur. Afin d'améliorer la fixation, et éventuellement l'étanchéité, l'interface entre l'aube et le fourreau est colmatée par une couche de fixation. La rétention est encore améliorée à l'aide d'aspérités 48 à l'interface aube-fourreau ; lesdites apérités 48 pouvant être réparties radialement et axialement dans l' l'invention, la structure d'aubage 34 pourrait être formée sur tout aubage de la turbomachine présentée en relation avec lafigure 1. La structure d'aubage 34 est ici décrite en tant que partie statorique, elle pourrait également être rotorique. Seule une extrémité d'aube 26 est ici représentée. Cependant, il est envisageable de lier les deux extrémitésd'une aube à l'aide de fourreaux sur deux parois, telle un carter externe et une virole interne, les interfaces présentant chacune des aspérités et des couches de fixation. Des fixations mixtes sont envisageables, tout comme des rangées mixtes d' 4représente une coupe de la structure d'aubage 34 suivant l'axe 4-4 tracé sur lafigure 3. La couche de fixation 50 sépare le fourreau 32 de l'extrémité de l'aube statorique fourreau 32 forme une manche entourant l'extrémité de l'aube 26. Il peut former un conduit continu, étanche. De la sorte il peut recevoir la couche de fixation 50, par exemple sous forme pâteuse ou fluide. Le profil de sa surface interne est dérivé de celui de l'aube 26, il comprend un côté 52, par exemple intrados, qui est bombé pour augmenter le blocage aspérités 48 sont réparties à la fois sur la face intrados 54 et sur la face extrados 56 de l'aube 26. La première peut être incurvée, concave. La deuxième peut être bombée, convexe. Elles peuvent également être formées sur la surface interne du fourreau 32, en l'occurrence la surface qui entoure et qui est en regard de l'extrémité de l'aube 26. Certaines aspérités 48 de l'aube 26 peuvent être en face d'aspérité du fourreau 32, ce qui permet tantôt d'amincir la couche de fixation 50, tantôt de l'épaissir pour former des corps de matière plus résistants. La couche de fixation épouse l'aube et le fourreau, et en particulier les aspérités 48 sont réparties axialement sur les surfaces de l'aubes 26 et du fourreau 32. Elles peuvent former des redans, des cavités. Les aspérités 48 épousent la couche de fixation, et inversement, de sorte à assurer un ancrage par engagement de matière. Elles forment des variations d'épaisseurs sur la couche de fixation 50. Elles peuvent également former des bosses ou des dents faisant saillie sur leur surface d'implantation respective 54 ; 56.La couche de fixation 50 entoure l'aube 26, la ceinture de manière continue et permet de conserver un écart entre l'aube 26 et son fourreau 32, par exemple pour éviter leur contact, pour les isoler. En particulier la couche de fixation 50 enveloppe le prolongement du bord d'attaque 58 etle prolongement du bord de fuite 60. La couche de fixation 50 peut être un matériau polymère, permettant de résister à l'aspect saillant, tranchant du bord d'attaque 58 et du bord de fuite 60. Ainsi la couche de fixation 50 répartit les contraintes des bords 58 ; 60 vers le fourreau pour le couche de fixation 50 peut être une couche de scellement 50. Elle peut être un matériau mis en oeuvre sous forme pâteuse, puis qui durcit afin d'ancrer l'aube 26 dans le fourreau 32. La couche de scellement 50 peut être un polymère, par exemple du polyamide. La couche de fixation 50 peut également former un joint d'étanchéité au travers du passage délimité par le fourreau 32. Elle peut être un élastomère, tel un silicone. See more Claims Structure d'aubage 34 de turbomachine axiale, notamment de compresseur 5 ; 6 de turbomachine axiale 2, la structure 34 comprenant - une paroi 28 ; 30 qui est destinée à délimiter radialement un flux annulaire 18 ; 20 de la turbomachine et qui comporte un fourreau de fixation 32,- une aube 24 ; 26 fixée dans le fourreau de fixation 32 et qui s'étend radialement par rapport à la paroi 28 ; 30,- une couche de fixation 50 à l'interface entre l'aube 24 ; 26 et le fourreau 32,l'interface comprend des aspérités 48 dans lesquelles pénètre la couche de fixation 50 de sorte à assurer un ancrage par engagement de matière afin de fixer l'aube 24 ; 26 dans la paroi 28 ; 30caractérisée en ce quela couche de fixation 50 entoure l'aube 24 ; 26.Structure d'aubage 34 selon la revendication 1,caractérisée en ce queles aspérités 48 en contact de la couche de fixation 50 sont formées sur l'aube 24 ; 26 et/ou à l'intérieur du fourreau 32, préférentiellement les aspérités 48 sont distribuées d'aubage 34 selon l'une des revendications 1 à 2,caractérisée en ce quela paroi 28 ; 30 est monobloc et/ou venue de matière ; préférentiellement la paroi comprend un voile, le voile et le fourreau 32 étant monobloc et/ou venus de d'aubage 34 selon l'une des revendications 1 à 3,caractérisée en ce quel'aube 24 ; 26 comprend une surface incurvée 54 et/ou une surface bombée 56 à l'intérieur du fourreau 32, au moins une ou chacune desdites surfaces 54 ; 56 recevant des aspérités 48.Structure d'aubage 34 selon l'une des revendications 1 à 4,caractérisée en ce quela couche de fixation 50 est une couche de scellement 50, préférentiellement la couche de fixation 50 est un joint d'étanchéité entre le fourreau 32 et l'aube 24 ; 26.Structure d'aubage 34 selon l'une des revendications 1 à 5,caractérisée en ce quel'interface est comblée par la couche de fixation 50.Structure d'aubage 34 selon l'une des revendications 1 à 6,caractérisée en ce quel'aube 24 ; 26 comprend un bord d'attaque 58 et un bord de fuite 60, le bord d'attaque 58 et/ou le bord de fuite 60 formant une/des arrêtes vives, éventuellement la couche de fixation 50 est un matériau élastique et/ou un polymère, en contact de chaque arrête vive 58 ; 60.Compresseur 5 ; 6 de turbomachine axiale 2, notamment un compresseur basse pression 5, le compresseur 5 ; 6 comprenant au moins une structure d'aubage 34,caractérisé en ce quela ou chaque structure d'aubage 34 est conforme à l'une des revendications 1 à 7, préférentiellement le compresseur 5 ; 6 comporte plusieurs aubes 24 ; 26 agencées en une ou plusieurs rangées annulaires d'aubes 24 ; 26.Compresseur 5 ; 6 selon la revendication 8,caractérisé en ce quela paroi est une virole interne 30 ou un segment angulaire de virole interne 30 fixée à plusieurs aubes 24 ; 26 d'une même 5 ; 6 selon l'une des revendications 8 à 9,caractérisé en ce quela paroi 28 ; 30 est une paroi 28 ; 30 composite à matrice organique, et éventuellement à fibres de longueurs inférieures à 10 mm, préférentiellement inférieures à 5 ; 6 selon l'une des revendications 8 à 9,caractérisé en ce quela paroi 28 ; 30 comprend une surface interne et au moins un joint annulaire 46, notamment au moins une couche de matériau abradable 46 recouvrant ladite surface interne, le joint annulaire étant éventuellement en contact de plusieurs fourreaux ou de chaque 5 ; 6 selon l'une des revendications 8 à 11,caractérisé en ce quela paroi 28 ; 30 comprend un joint annulaire qui est radialement et/ou axialement à distance des fourreaux 32.Compresseur 5 ; 6 selon l'une des revendications 11 à 12,caractérisé en ce quele joint annulaire est en contact d'au moins une ou plusieurs couches de fixation 50.Compresseur 5 ; 6 selon l'une des revendications 10 à 13,caractérisé en ce quela paroi 30 comprend un profil de révolution avec une base 36 s'étendant principalement axialement et deux rallonges radiales 38 s'étendant radialement vers l'intérieur depuis l'amont et l'aval de la base 36 ; chaque extrémité radiale interne de rallonge 38 comprenant un joint d'étanchéité annulaire 46, notamment un joint axiale 2, notamment un turboréacteur d'aéronef, comprenant au moins une structure d'aubage 34,caractérisée en ce quela ou chaque structure 34 est conforme à l'une des revendications 1 à 7, préférentiellement la turbomachine 2 comprend un compresseur 5 ; 6, le compresseur 5 ; 6 étant conforme à l'une des revendications 8 à 14. Schaufelstruktur 34 einer axialen Turbomaschine, insbesondere eines Kompressors 5; 6 einer axialen Turbomaschine 2, umfassend- eine Wand 28; 30 zur radialen Begrenzung einer ringförmigen Strömung 18; 20 der Turbomaschine, welche eine Befestigungshülse 32 enthält,- eine in der Befestigungshülse 32 befestigte Schaufel 24; 26, die sich radial gegenüber der Wand 28; 30 erstreckt,- eine Befestigungsschicht 50 an der Schnittstelle zwischen der Schaufel 24; 26 und der Hülse 32,die Schnittstelle enthält Rauigkeiten 48, in welche die Befestigungsschicht 50 zur Gewährleistung einer durch Materialeinsatz Verankerung zwecks der Befestigung der Schaufel 24; 26 in der Wand 28; 30 eindringt;dadurch gekennzeichnet, dassdie Befestigungsschicht 50 die Schaufel 24; 26 Schaufelstruktur 34 gemäß Anspruch 1,dadurch gekennzeichnet, dassdie Rauigkeiten 48 in Kontakt mit der Befestigungsschicht 50 auf der Schaufel 24; 26 und/oder dem Inneren der Hülse 32 gebildet werden, vorzugsweise die Rauigkeiten 48 axial verteilt Schaufelstruktur 34 gemäß einem der Ansprüche 1 bis 2,dadurch gekennzeichnet, dassdie Wand 28; 30 einteilig ist und/oder aus demselben Material besteht; vorzugsweise die Wand eine Dünnwand umfasst, wobei die Dünnwand und die Hülse 32 einteilig und/oder aus demselben Material Schaufelstruktur 34 gemäß einem der Ansprüche 1 bis 3,dadurch gekennzeichnet, dassdie Schaufel 24; 26 eine gekrümmte Oberfläche 54 und/oder eine gewölbte Oberfläche 56 im Inneren der Hülse 32 umfasst, mindestens eine oder jede dieser Oberflächen 54; 56 Rauigkeiten 48 Schaufelstruktur 34 gemäß einem der Ansprüche 1 bis 4,dadurch gekennzeichnet, dassdie Befestigungsschicht 50 eine Siegelschicht 50 ist, vorzugsweise die Befestigungsschicht 50 eine Abdichtung zwischen der Hülse 32 und der Schaufel 24; 26 Schaufelstruktur 34 gemäß einem der Ansprüche 1 bis 5,dadurch gekennzeichnet, dassdie Schnittstelle von der Befestigungsschicht 50 befüllt Schaufelstruktur 34 gemäß einem der Ansprüche 1 bis 6,dadurch gekennzeichnet, dassdie Schaufel 24; 26 eine Vorderkante 58 und eine Hinterkante 60 umfasst, die Vorderkante und/oder die Hinterkante eine oder mehrere scharfe Kanten bilden/bildet, eventuell die Befestigungsschicht 50 aus einem elastischenMaterial und/oder Polymer besteht, das in Kontakt mit jeder scharfen Kante 58; 60 5; 6 einer axialen Turbomaschine 2, insbesondere ein Niederdruckkompressor 5, umfassend mindestens eine Schaufelstruktur 34,dadurch gekennzeichnet, dassjede Schaufelstruktur 34 gemäß einem der Ansprüche 1 bis 7 ist, vorzugsweise der Kompressor 5; 6 mehrere Schaufeln 24; 26 aufweist, die in einer oder mehreren ringförmigen Reihen von Schaufeln 24; 26 angeordnet Kompressor 5; 6 gemäß Anspruch 8,dadurch gekennzeichnet, dassdie Wand ein Innenring 30 oder ein Winkelsegment des Innenrings 30 ist, welcher/welches an mehreren Schaufeln 24; 26 derselben Reihe befestigt Kompressor 5; 6 gemäß einem der Ansprüche 8 bis 9,dadurch gekennzeichnet, dassdie Wand 28; 30 aus einem Verbundmaterial mit einer organischen Matrix besteht, und eventuell mit Fasern von höchstens 10 mm Länge, vorzugsweise von höchstens 3 mm Kompressor 5; 6 gemäß einem der Ansprüche 8 bis 9,dadurch gekennzeichnet, dassdie Wand 28; 30 eine Innenseite und mindestens eine ringförmige Dichtung 46 umfasst, wobei vorzugsweise mindestens eine Schicht aus Verschleißmaterial 46 die genannte Innenseite bedeckt, die ringförmige Dichtung eventuell in Kontakt mit mehreren oder jeder der Hülsen Kompressor 5; 6 gemäß einem der Ansprüche 8 bis 11,dadurch gekennzeichnet, dassdie Wand 28; 30 eine ringförmige Dichtung umfasst, die radial und/oder axial von den Hülsen 32 entfernt Kompressor 5; 6 gemäß einem der Ansprüche 11 bis 12,dadurch gekennzeichnet, dassdie ringförmige Dichtung in Kontakt mit mindestens einer oder mehreren Befestigungsschichten 50 Kompressor 5; 6 gemäß einem der Ansprüche 10 bis 13,dadurch gekennzeichnet, dassdie Wand 30 ein Rotationsprofil mit einer Basis umfasst 36, die sich hauptsächlich axial erstreckt, sowie zwei radialen Verlängerungen 38, die sich radial nach innen - stromaufwärts und stromabwärts der Basis 36 - erstrecken, jedes innere radiale Ende der Verlängerung 38 eine ringförmige Dichtung 46, insbesondere eine verschleißbare Dichtung Turbomaschine 2, insbesondere eines Turbotriebwerks eines Luftfahrzeugs, umfassend mindestens eine Schaufelstruktur 34,dadurch gekennzeichnet, dassdie oder jede Struktur 34 gemäß einem der Ansprüche 1 bis 7 ist, vorzugsweise die Turbomaschine 2 einen Kompressor 5; 6 enthält, wobei der Kompressor 5; 6 gemäß einem der Ansprüche 8 bis 14 ist. Blading structure 34 of an axial turbomachine, in particular of a compressor 5; 6 of an axial turbomachine 2, the structure 34 comprising- a wall 28; 30 which is intended to radially delimit an annular flow 18; 20 of the turbomachine and which comprises a fastening socket 32,- a blade 24; 26 fastened in the fastening socket 32 and extending radially with respect to the wall 28; 30, and- a fastening layer 50 at the interface between the blade 24; 26 and the socket 32,the interface comprises asperities 48 in contact with the fastening layer 50 so as to ensure anchoring by engagement of material in order to fasten the blade 24; 26 in the wall 28; 30;characterized in thatthe fastening layer 50 surrounds the blade 24; 26.Blading structure 34 according to Claim 1,characterized in thatthe asperities 48 in contact with the fastening layer 50 are formed on the blade 24; 26 and/or inside the socket 32, and preferably the asperities 48 are distributed structure 34 according to either of Claims 1 and 2,characterized in thatthe wall 28; 30 forms a single piece and/or is made of the same material; preferably the wall comprises a veil, the veil and the socket 32 being made of a single piece and/or of the same structure 34 according to one of Claims 1 to 3,characterized in thatthe blade 24; 26 comprises a curved surface 54 and/or a domed surface 56 inside the socket 32, at least one or each of the said surfaces 54; 56 receiving asperities 48.Blading structure 34 according to one of Claims 1 to 4,characterized in thatthe fastening layer 50 is a bonding layer 50, and preferably the fastening layer 50 is a seal between the socket 32 and the blade 24; 26.Blading structure 34 according to one of Claims 1 to 5,characterized in thatthe interface is filled by the fastening layer 50.Blading structure 34 according to one of Claims 1 to 6,characterized in thatthe blade 24; 26 comprises a leading edge 58 and a trailing edge 60, the leading edge 58 and/or the trailing edge 60 forming a sharp edge or edges, and, where appropriate, the fastening layer 50 is an elastic material and/or a polymer in contact with each sharp edge 58; 60.Compressor 5; 6 of an axial turbomachine 2, in particular a low-pressure compressor 5, the compressor 5; 6 comprising at least one blading structure 34,characterized in thatthe or each blading structure 34 is in accordance with one of Claims 1 to 7, and preferably the compressor 5; 6 comprises a plurality of blades 24; 26 arranged in one or more annular rows of blades 24; 26.Compressor 5; 6 according to Claim 8,characterized in thatthe wall is an internal shroud 30 or an angular internal shroud segment 30 fastened to a plurality of blades 24; 26 of one and the same 5; 6 according to one of Claims 8 to 9,characterized in thatthe wall 28; 30 is a composite wall 28; 30 with an organic matrix, and, where appropriate, with fibres having lengths less than 10 mm, preferably less than 3 5; 6 according to one of Claims 8 to 9,characterized in thatthe wall 28; 30 comprises an internal surface and at least one annular seal 46, in particular at least one layer of abradable material 46 covering the said internal surface, the annular seal being, where appropriate, in contact with a plurality of sockets or with each 5; 6 according to one of Claims 8 to 11,characterized in thatthe wall 28; 30 comprises an annular seal which is radially and/or axially at a distance from the sockets 32.Compressor 5; 6 according to one of Claims 11 to 12,characterized in thatthe annular seal is in contact with at least one or several fixation layers 50.Compressor 5; 6 according to one of Claims 10 to 13,characterized in thatthe wall 30 comprises a profile of revolution with a base 36 extending mainly axially and two radial extensions 38 extending radially inwards from upstream and downstream of the base 36; each internal radial end of an extension 38 comprising an annular seal 46, in particular an abradable turbomachine 2, in particular an aircraft turbojet, comprising at least one blading structure 34,characterized in thatthe or each structure 34 is in accordance with one of Claims 1 to 7, and preferably the turbomachine 2 comprises a compressor 5; 6, the compressor 5; 6 being in accordance with one of Claims 8 to 14. See more Patent References Patent Publication Date Title EP99870274A1 27/06/2001 Partie de virole rigidifiée EP11186969A1 01/05/2013 Virole composite co-injectée de compresseur de turbomachine axiale EP13167301A1 12/11/2014 Virole interne de redresseur de turbomachine avec abradable EP11177240A2 28/03/2012 A damped assembly 5631483 27/07/1999 Leukocyte cell-derived chemotaxin 2b LECT2b EP08171385A1 16/06/2010 Virole interne composite segmentée de redresseur de compresseur axial EP11177240A2 28/03/2012 A damped assembly EP13167301A1 12/11/2014 Virole interne de redresseur de turbomachine avec abradable Back to top Statistics Seen <100 times Downloaded <100 times
Pourretourner sur notre page d'accueil c'est par ici. Vous pouvez aussi nous appeler, du lundi au samedi de 8H à 20H au 09 74 75 01 74 (prix d'un appel local).
a expliqué je débouche lon silo à granulé ! ! ! mon principe éprouvé dans d'autre silo avec matière diverses est de faire vibré avec une bonne fréquence et efficacité la zone du bouchon, la méthode professionnelle est de poser un vibrateur électrique boulonné sur silo très efficace en silo ciment ou farine vous l'enclenchez au besoin , méthode plus artisanale, sur une perceuse burineuse vous mettez le burin sur la perceuse , en mode frappe sans rotation, ... entre le silo et le burin une cale en bois et vous lancez la machine les vibrations font faire bouger les granulés, tout en mettant la vis extracteur de votre silo. cela doit fonctionner , bon courage bien ç vous Jean , fraîchement arrivé sur le forum Trouver son Chauffagiste, c'est ici ! Choisissez parmi nos 100 prestations standards ou obtenez votre devis personnalisé Commandez votre intervention en ligne Vous êtes satisfait ? Nous aussi sinon on vous rembourse of course !
PECS- Ballon échangeur Conforto vertical sur socle 200L - livré avec 1 raccord diélectrique 3/4''. 1 286,04 € 1 837,20 € -30%. Thermostat à Tige pour Chauffe-Eau électrique et accumulateurs ou réservoirs d'énergie Solaire. Température réglable. Compatible avec Les Grandes Marques. Taille 270 mm. Thermostat thermoélectrique à Forum Futura-Sciences les forums de la science MATIERE Physique Aspirer avec un compresseur effet Venturi  Répondre à la discussion Affichage des résultats 1 à 6 sur 6 18/06/2017, 20h17 1 Aspirer avec un compresseur effet Venturi - Bonjour a tout le monde. Voila j'aimerais reproduire une " table a dépression" que j'ai déjà et qui fonctionne très bien. Je joins quelques photos de la bête. Alors ils indiquent qu'à 6 bars la force de serrage est de 800 gr/cm2 J'avais fais le même système mais avec 2 tubes. Un tube de 10mm avec un coude ... le coude est percé et laisse rentrer un tube de 4mm qui est pincé au bout pour avoir en gros une ouverture d'un millimètre sinon le compresseur n'arrive pas a suivre Alors ca marchait plus ou moins bien mais en tirant sur l'objet posé dessus j'arrive a le décoller. J'ai ensuite essayé de faire la même chose que le fabricant d’après ce que j'arrive a voir et lá pas terrible du tout, tres facile a décoller la pièce. Alors on voit dans l'ouverture par laquelle çà aspire , qu'il y a un tres petit tube d'ouverture inférieur a 1mm et en face a environ 2 mm un autre tube un peu plus grand +-2mm qui vient évacuer l'air je joins un dessin Ma question Pour refaire la première solution avec 2 tube , un dans l'autre , y a t'il une proportion a respecter entre les tubes? Est ce que ci je mets un tube de 2 mm dans un de 4mm je vais avoir plus de dépression?? Mes connaissances en physique sont quand même très limitées. La solution du fabricant est plus difficile a reproduire car les tubes doivent être très bien centré et avec mon outillage c'est pas gagné. Si quelqu'un a une solution pour avoir une forte force se serrage tout en ne modifiant pas le compresseur. Merci - 19/06/2017, 07h53 2 LPFR Re Aspirer avec un compresseur effet Venturi Bonjour. Votre méthode avec le coude devrait fonctionner. À condition que le trou d’éjection soit percé sur une paroi mince pour que l’air ne soit pas freiné par les parois à cause de la viscosité. Sans outillage élaboré, j’utiliserais un morceau de clinquant percé même avec une aiguille et soudé à l’extrémité du tube d’injection. Le centrage n’est pas critique. Au revoir. 19/06/2017, 12h12 3 Re Aspirer avec un compresseur effet Venturi Salut. Envoyé par thebigbang Si quelqu'un a une solution pour avoir une forte force se serrage tout en ne modifiant pas le compresseur. Si tu veux améliorer le serrage, tu peux tout d'abord essayer d'augmenter la surface de la "ventouse" l'aire de la surface en dépression et améliorer l'étanchéité à l'interface pièce/ventouse. Je ne saurais t'indiquer quel diamètre de buse doit être utilisé, mais elle doit être de l'ordre du mm, voire moins voir ce site . Ces informations vous sont fournies sous réserve de vérification 20/06/2017, 15h23 4 Re Aspirer avec un compresseur effet Venturi Bonjour et merci pour les réponses. Je vais alors essayer de faire ca avec un tube de +- 2mm, c'est ce que j'ai trouvé de plus petit. J'ai aussi trouvé une " aiguille " pour gonfler un ballon qui doit faire 1mm. Dès que j'ai le temps je me lance Aujourd'hui A voir en vidéo sur Futura 20/06/2017, 15h40 5 LPFR Re Aspirer avec un compresseur effet Venturi Bonjour. Non. Il ne faut pas utiliser un tube. Mais un trou. Au revoir. 20/06/2017, 16h49 6 Re Aspirer avec un compresseur effet Venturi Effectivement, avec un tube tu auras probablement trop de pertes de charge. Ces informations vous sont fournies sous réserve de vérification Sur le même sujet Discussions similaires Réponses 9 Dernier message 15/01/2017, 21h33 Réponses 8 Dernier message 22/12/2016, 19h37 Réponses 5 Dernier message 07/04/2015, 12h25 Réponses 4 Dernier message 24/02/2015, 10h21 Réponses 2 Dernier message 21/11/2013, 16h07 Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 21h00.
\n \n \n\ndéboucher un fourreau avec un compresseur
Forceportante calculée pour un véhicule de 160 kilonewtons avec un maximum de 90 kilonewtons par essieu, ceux-ci étant distants de 3,60 mètres au minimum. Résistance au poinçonnement : 80 N/cm² sur une surface "minimale" de 0,20 m². Rayon intérieur minimal R : 11 mètres. Surlargeur S = 15/R dans les virages de rayon intérieur Sujet Conseil pour fourreau bouché Lu 89182 fois 0 Membres et 1 Invité sur ce sujet Bonjour à tous,Mon quartier va bientôt être éligible à la a Saint-Herblain 44800 en maison individuelleJe préfère anticiper un peu le passage de la fibre et préparer le terrainC'est pourquoi j'ai passé une aiguille depuis mon logement dans le fourreau telecom un pvc 40 mm, le même que dans la chambre TelecomJe bloque à 11m soit a 1,5m du trottoir, avec un tuyau de 15/20 mm pareilLa chambre Telecom est à 15/20 m de ce blocageIl n'y a pas de regard a ma connaissance toutes les maisons de ma rue sont identiques et je n'ai vu aucun regardDe plus j'ai décaissé mon entrée l'an dernier pour faire un enrobé tout neuf, pas de bol j'aurai du y penser avant j'aurai pu creuserCependant j'ai la possibilité de faire passer un collègue de mon boulot qui travail au service d'assainissement/débouchage pour mettre un coup de haute pression, voir peut être passer une caméraSi des fois ça marche et si j'arrivais jusqu’à la chambre, est-il plus judicieux de repasser a l’intérieur du fourreau un fils électrique pour faire tir fil, ou sachant que le fourreau est endommagé repasser une gaine électrique de 16, 20 ou 25 mmJ'attend surtout l'avis de personne qui installe la fibreMerci pour vos réponse Le moins couteu une bonne aiguille du yellow et on pousse au pire des cas tu y mets un riselan au bout pour prendre les coudes . Pour réaliser les travaux je te conseillerais d'attendre la passage d'un technicien et ensuite de faire tes travaux si ça se trouve ça passera tout seul . Après si cela ne passe pas il t'orienteras sur les travaux à faire mais au moins si tu peux te permettre d'attendre tu sera sur des choses à faire . Ok et merci pour la réponse rapideJe vous tiendrais au courant de toute façon sur l'installationIl faut encore patienter de toute façonLa fibre a été tirée dans le quartier l'été 2017La pose du PMZ courant 2017 aussi mais je ne sais plus vraiment quandDepuis pas de newsIl parait que les opérateurs ayant eu des soucis de déploiement dans notre quartier, les opérateurs ont changé de prestataires.. et du coup ça prend encore plus de retard..Quelques maisons du quartier son passées en bleu la semaine dernière sur cette carte orange ça y est je suis éligible chez Sfr et Orange depuis le 24 decembre! Je pense prendre un abonnement chez sosh pour le prix et pas spécialement besoin de tvJ'attend pour pouvoir fixer le rendez vous pour le 8 fevrier je pourrais poser ma journéePour en revenir au problème je suis parti du fourreau a l’intérieur de de la maisonje suppose que le technicien essai dans les 2 sens quand ça pose problème? ça y est je suis éligible chez Sfr et Orange depuis le 24 decembre! Je pense prendre un abonnement chez sosh pour le prix et pas spécialement besoin de tvJ'attend pour pouvoir fixer le rendez vous pour le 8 fevrier je pourrais poser ma journéePour en revenir au problème je suis parti du fourreau a l’intérieur de de la maisonje suppose que le technicien essai dans les 2 sens quand ça pose problème?Le technicien essaiera dans les 2 sens le passage de son aiguille .J'ai eu un problème similaire lors du raccordement de la fibre . En accord avec le technicien et connaissant le boulot Retraité FT , on a utilisé la paire cuivre comme aiguille et on s'en est sorti non sans mal, puis on a recâblé l’accès cuivre pour un éventuel de droit de rétraction et en cas de non fonctionnement du raccordement fibre lors de la mise en service .Ce procédé est normalement risqué paire cuivre qui peut se rompre et je pense interdit . De toute façon , la règle est la suivante localisation du blocage sur le trottoir ou dans la rue ressort de l'opérateur .Si localisation chez toi domaine privé , c'est pour ta des blocages pour le passage de câble dans une gaine ou une fourreau est souvent du aux racines de végétaux thuyas.... , surtout si ton ta construction est ancienne. Merci pour vos réponsesJe me suis abonné a Sosh et j'ai pu prendre rendez-vous pour le samedi 2 FévrierSi le technicien me propose d'utiliser la paire cuivre comme aiguille, chose qui est je crois est interdite et je ne pense pas prendre le risque mais ça je suis pas censé le savoir , qui est responsable en cas de problème? par exemple adsl hs et impossibilité de repasser quoique ce soit dans le fourreaux Merci pour vos réponsesJe me suis abonné a Sosh et j'ai pu prendre rendez-vous pour le samedi 2 FévrierSi le technicien me propose d'utiliser la paire cuivre comme aiguille, chose qui est je crois est interdite et je ne pense pas prendre le risque mais ça je suis pas censé le savoir , qui est responsable en cas de problème? par exemple adsl hs et impossibilité de repasser quoique ce soit dans le fourreauxcomme tu le dis, c'est interdit donc tu as la réponse dans ta question Si tu arrives à faire passer une gaine de 16 dans un fourreau de 40 de longueur 30m alors qu'il y a déjà un cable dans ce fourreau et que tu galères déjà pour y faire passer un simple tire fil, alors je m'incline devant tant de dextérité et surtout de chance. C’était le Jour J!Les maison étant toutes identiques dans la rue le technicien a commencé par aller voir si les maisons d'à coté avait un regard TelecomUne avait un regard derrière les compteurs gaz et ElectricitéIl a ensuite envoyé l'aiguille depuis le garage, blocage a 11m comme prévu soit 1,5m du trottoirIl me dit d'aller écouter derrière les compteurs si j'entendais pas un bruit sourd quand il tapait l'aiguille, et effectivement c’était le cas.. coup de bol dans la pelouse..Je sors pelle et pioche puis on trouve un regard en 5 minutes a 20 cm du sol complètement défoncé, c’était le fameux regardA partir de la tout c'est fait sans problème! par contre t'as un pb de debit Est-ce possible de développer?La seule chose que j'ai remarqué ça a l'air assez aléatoire mais bizarrement mon débit d'envoi est souvent plus élevé que le débit en réceptionSinon la connexion est stable aucune déco c'est justement ca le problème, je sais pas qu'elle abonnement que t'as mais il me semble qu'il te manque du debit descendant
\n \n déboucher un fourreau avec un compresseur
Lejournaliste Observateur économique des statistiques incomplètes étaient fondées sur l'information du public, au premier semestre de cette année, les piles à hydrogène et à combustible domestique dans le domaine des projets d'investissement autant que 70 cas, y compris projet de plus de dix milliards, divulgués 50 cas de projets d'investissement un
Une toilette obstruée est un problème de plomberie très commun et souvent très alarmant auquel la plupart des gens doivent faire face à un moment ou un autre. Si c'est votre première fois, ne vous inquiétez pas. Suivez ces étapes pour effacer le chemin vers un vidage complet. Tout ce dont vous avez besoin est un piston de toilette et quelques minutes. Utilisez le plongeur droit Croyez-le ou non, il existe différents types de plongeurs pour différents types d'appareils de plomberie. Le type le plus fondamental est un piston plongeur , également appelé piston plongeur . Il a une tasse en caoutchouc en forme de dôme avec un fond plat. Ce type est le meilleur pour les éviers et les baignoires parce que le fond plat crée un joint autour de l'évier relativement plat ou du bassin de la baignoire. Ensuite, il y a le piston de la toilette , également appelé piston à bride . Cela a une tasse qui est plus grande que la tasse sur un piston de l'évier, et il a une extension en forme de manchon c'est la bride sur le fond de la tasse. La bride s'insère dans le trou de votre cuvette pour une bonne étanchéité. La bride peut également se replier dans la tasse de sorte que le piston peut être utilisé sur les éviers et les cuves. Si vous devinez que vous avez besoin d'un piston de toilette, vous avez absolument raison. Un piston plongeur est beaucoup moins efficace pour nettoyer les sabots de toilettes. Comment plonger une toilette Assurez-vous qu'il y a de l'eau stagnante dans la cuvette des toilettes. Assez d'eau pour submerger la tête du plongeur est idéal, mais vous avez besoin d'au moins assez pour couvrir le rebord de la ventouse pas la bride. S'il y a des choses qui flottent dans la cuvette des toilettes, ne transpirez pas; Prenez-le comme un indice pour savoir pourquoi les plombiers peuvent facturer autant. Assurez-vous que la bride du piston est complètement retirée de la coupelle. Abaisser le plongeur dans le bol à un angle afin que la tasse se remplit avec autant d'eau que possible. Si vous allez tout droit vers le bas, la tasse retient beaucoup d'air, ce qui comprime plus que l'eau et réduit la force de plongée. Placez la coupelle au-dessus du trou de vidange de la toilette afin que la bride soit à l'intérieur du trou et que la coupelle forme un joint complet autour de l'extérieur du trou. Saisissez la poignée du piston dans les deux mains et poussez énergiquement sur la tasse, puis tirez-la vers le haut sans briser le joint de la tasse autour du trou . Répétez le mouvement push-pull 5 ou 6 fois, puis retirez le gobelet du trou après la dernière poussée. Le but est de créer rapidement des forces alternées de compression et d'aspiration dans le drain des toilettes, ce qui permet de réduire le colmatage. Si vous poussez l'énergie semble souffler le côté de la tasse plutôt que dans le trou, vous n'avez pas un sceau approprié. Repositionnez la tasse et réessayez. Répétez la série de mouvements de plongée comme nécessaire jusqu'à ce que le bol se vide par lui-même. Réglez le piston de côté. Retirer le couvercle du réservoir des toilettes et repérer la trappe ronde en caoutchouc appelée le clapet au centre du fond du réservoir; C'est votre eau d'urgence fermée si les toilettes sont encore bouchées. Vider les toilettes. Si elle se vide normalement, vous avez terminé et vous pouvez remettre le couvercle sur le réservoir. Si vous n'êtes pas si chanceux et que la toilette est encore obstruée et menace de déborder, pénétrez dans le réservoir et enfoncez le clapet sur le trou pour arrêter l'écoulement de l'eau du réservoir vers le bol. Il revient au plongeur avec toi. Astuce Si vous ne pouvez pas effacer le sabot après plusieurs séries de plongées, vous pouvez essayer de le nettoyer avec une tarière des toilettes avant d'appeler un pro.
Référencefournisseur. 517.0410. Type de produit. Clé à pipe. Caractéristiques. Type d'embout. A pipe - A tube. Taille de l'embout. 10 mm. 1A quarante kilomètres, au nord-ouest de Grenoble dans le département de l'Isère, se dessine une vallée étroite sillonnée par un cours d'eau, la Fure. Les sept communes riveraines Charavines, Apprieu, Saint-Blaise de Buis, Réaumont, Rives, Renage, Tullins-Fures, connaissent depuis le haut Moyen Age une diffusion d'activités artisanales reposant sur l'usage de l'énergie hydraulique. 2Les antiques moulins à papier, battoirs à chanvre, gruoirs, forges à acier font place dès le milieu du xixe siècle à l'établissement d'une grande industrie. Le textile lié à la Fabrique lyonnaise, la papeterie, la métallurgie, emploient à la veille de la Seconde Guerre mondiale, quatre mille personnes réparties dans les usines du Seuil de Rives, et de la vallée de la Fure. 3Si, aujourd'hui, les métiers à tisser ont cessé de battre, la papeterie, l'industrie mécanique, la métallurgie subsistent grâce à une spécialisation des fabrications. A titre d'exemple, les Forges et Aciéries de Bonpertuis, à Apprieu, produisent par an 6000 tonnes d'acier de coutellerie, tandis que la Société anonyme des ateliers de construction Allimand, à Rives, construit du matériel de papeterie, machines à papier, de renommée internationale. 4Au cœur de cette activité, la taillanderie illustre, à sa mesure, le cheminement que peut suivre une technique, une habitude » presque, fortement enracinée dans un lieu géographique déterminé. Des enquêtes ethnographiques ont permis de mettre en évidence un milieu technique spécifique, résultant de savoir-faire en place depuis plusieurs siècles sur la vallée de la Fure, terrain privilégié pour une approche ethnographique du fait industriel en milieu rural. 5 Le taillandier fabrique des outils propres à tailler par conséquence, hache de charpentier, planes de charron, couperets, fers de rabots, ciseaux de menuisier et de sculpteur, rabots à pierre, calibres de moulure, serpes, cognées, doloire, faux, cisailles, pics, pioches, bêches, boues, etc. » Pierre Larousse définit ainsi ce métier, dans son grand dictionnaire universel du xixe siècle1, en insistant sur le caractère éclaté et diversifié de cette profession. On ne voit pas, dit-il, que se soient formées dans le Moyen Age des corporations de taillandiers comme il s'en était formé dans d'autres industries. 6La forme et l'organisation de l'industrie sidérurgique en France, jusqu'à la fin du xviiie siècle contribuent, pour partie, à l'explication de ce fait. 7A la veille de la Révolution, le martinet de forge est complémentaire des établissements producteurs de fer. Il offre un débouché naturel aux fers de seconde qualité produits dans les forges de l'Ariège, du Périgord, de la Nièvre, de la Haute-Marne, La taillanderie se résume alors à une fabrication d'outillage agricole grossier, conçu à partir d'une matière première de qualité médiocre. Ainsi importe-t-on d'Allemagne ou d'Angleterre, une grande quantité d'acier fin transformé dans les quelques fabriques spécialisées du Forez, et de Saint-Etienne. Les faux et autres produits finis, délicats à façonner, sont importés de Styrie, de Carinthie3. 8Les grandes innovations techniques en matière sidérurgique, au xixe siècle, permettront un accroissement de la production d'acier fondu et corroyé en billettes, ou en barre. La taillanderie profite alors largement de ces découvertes. Ainsi, des ateliers développeront des productions spécifiques, et acquéreront une renommée nationale et internationale. C'est le cas des taillanderies en Franche-Comté4, réputées pour la fabrication des faux, et de bien d'autres ateliers dans la Loire, en Alsace, dans le Tarn, etc. Artisanat, industrie et facteurs de développement en Dauphiné 9Le département de l'Isère est la seule province productrice d'acier, en France, jusqu'au début du xixe siècle. En 1811, un recensement fait état de 27 forges à acier, réparties sur le Seuil de Rives et dans le Bas-Dauphiné. Celles-ci produisant annuellement 1800 tonnes d'acier, et 945 tonnes de fer5. L'acier fin est entièrement exporté vers les fabriques d'armes de Saint-Etienne, ou la coutellerie de Thiers, tandis que l'acier fendu ou ferreux est transformé sur place en outils pour l'agriculture. 10Les taillanderies sont alors de petits ateliers comprenant une soufflerie, un marteau, une meule, une batteuse, actionnés par des roues à aubes. Un maître et un apprenti fabriquent ou raccommodent toute sorte d'outils pour le marché local6. Cette forme artisanale de production perdurera jusqu'à la Seconde Guerre mondiale dans des vallées montagneuses reculées. Robert Boulin en fait largement état sur des relevés ethnographiques effectués entre 1952 et 1955, dans les Alpes-Maritimes, en Vésubie, Tinée, 11Les taillandiers de la Fure orientent résolument leur activité vers un stade industriel dès la seconde moitié du xixe siècle. La production d'acier s'étant déplacée vers les centres miniers, la vallée de la Fure concentre alors une main-d'œuvre disponible, spécialisée de longue date dans le travail du fer. L'élan est donné par Mathieu Revollier, d'origine stéphanoise qui installe en 1865, à Renage sur l'emplacement de deux anciennes forges à acier, une fabrique de faux et faucilles. Profitant de l'ouverture du réseau de communication avec la création d'une ligne de chemin de fer, Saint-Rambert-Rives, et Lyon-Grenoble, il développe résolument sa production vers l'outillage professionnel pour les mineurs, maçons, menuisiers, etc. 12Les artisans de la vallée s'ouvrent alors à l'esprit d'entreprise, et suivent l'exemple du Stéphanois. Le marché local, régional, national, et international est en pleine expansion. En l'absence de mécanisation, l'agriculture, mais aussi les grands aménagements routiers, hydroélectriques, urbains, industriels, nécessitent une production importante d'outils de toute nature, de tout genre, pelles, pioches, faux, truelles... Cette période faste se prolongera jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. 13Bénéficiant de l'essor de la province lié à l'exploitation de la houille blanche, les usiniers de la Fure créent en 18998 une société d'exploitation de petites centrales hydroélectriques, la société Fure et Morge. Le courant fourni sur le réseau électrique est alors complémentaire de l'énergie produite par les turbines, équipées au pied des chutes aménagées sur la Fure. 14A la veille de la Première Guerre mondiale, les taillandiers de la Fure réunissent toutes les conditions nécessaires au plein essor de leur activité une main-d'œuvre disponible et formée, un réseau de communications ouvert, un potentiel énergétique important. L'usine Bret à Charavines emploie de 70 à 80 ouvriers. Le site compte trois chutes, la première fait mouvoir cinq roues, deux turbines pour actionner les martinets, une sixième roue fait tourner deux meules et actionne la tournerie. La seconde chute actionne quatre turbines pour deux martinets et diverses machines-outils, tandis que la troisième comporte une turbine attelée avec un moteur électrique pour un compresseur d'air à l'usage des marteaux. Trois marteaux sont actionnés par des moteurs électriques d'une force de 30 CV. L'usine Gourju du Rivier d'Apprieu, spécialisée dans la fabrique de versoirs pour les charrues, compte 16 ouvriers, l'usine Experton-Revollier à Renage 80 ouvriers, huit turbines, 12 roues hydrauliques, et un complément de force pris sur le secteur pour une puissance forfaitaire fixe de 120 CV. L'usine Rival de Fure comporte une installation plus modeste, avec quelques roues de pêche »9. 15Selon une convention tacitement admise dans le groupe professionnel, le terme taillanderie » désigne très généralement les fabrications d'outils forgés. Ainsi aux outils à tailler, s'ajoutent la martellerie, la fabrication de faux et de faucilles, l'outillage professionnel divers, les bêches, louchets, et les articles tranchants de ménage et de boucherie. Les catalogues professionnels font état des spécialités de chacun. L'album de F. Bret, fabrique d'articles de taillanderie à Charavines, propose, en 1883, des outils réservés à l'agriculture. Le catalogue de P. Experton-Revollier à Renage, expose de l'outillage pour les tailleurs de pierre, les mineurs, les maçons... Les Forges et Taillanderies du Grand-Hurtière, à Fure, réservent, quant à elles, une part importante aux couperets de cuisine, hachoirs à main, couteaux à pain. 16Le forgeage à main », par opposition aux procédés mécanisés comme le forgeage à la presse, l'estampage, ou le matriçage, repose sur l'utilisation d'un martinet, marteau électrique connu sous le vocable de marteau Bradley. Du martinet hydraulique, utilisé vraisemblablement depuis le xiie siècle10, au martinet électrique, qui techniquement lui succède après la Première Guerre mondiale, le façonnage d'un outil s'opère selon une chronologie précise, de gestes et d'opérations techniques. Presque toutes les manipulations platinage, traçage, ébarbage, trempe, revenu, redressage, aiguisage, polissage, sont strictement masculines. Apprentissage et transmission du savoir 17Au centre de la chaîne opératoire11 se trouve le platineur. Son travail conditionne le rythme et la qualité des productions de l'atelier. D'un plat d'acier, il façonne n'importe quelle forme d'outils. Son art ne s'enseigne pas à l'école, aussi un ouvrier désireux d'apprendre le métier, se place comme apprenti à l'usine, dès la sortie de l'école, à seize ans. Il occupe d'abord un emploi peu qualifié, chauffeur, chargé d'enfourner les pièces, puis il est ensuite affecté à des travaux de finition, tels le planage ou le redressage. Il aura soin d'observer attentivement les différents gestes du forgeron. M. Charton, aujourd'hui platineur, est rentré à l'usine à seize ans. Tout d'abord chauffeur, le platineur lui a montré quelques "trucs" pour ébaucher, étirer une lame. A son retour de l'armée, il travaille "sur le marteau", ses premiers outils forgés ont été des haches. Quelques années plus tard, il réalise des béchards, aujourd'hui, il est le seul à savoir forger des tenailles, outil entre tous délicat à réaliser. C'est l'amour de son travail, dit-il, qui lui a permis d'acquérir une telle qualification. Il en retire quelque fierté, et assure ne pas vouloir changer de métier malgré la pénibilité de celui-ci. » 18Les témoignages rapportent qu'autrefois l'apprentissage était difficile, les discriminations fréquentes entre les vieux ouvriers peu soucieux de transmettre leur savoir, et les jeunes avides d'apprendre. Bruno Feydel, platineur, rapporte qu'au début de son apprentissage les vieux forgerons "montraient le contraire", ou bien refusaient que l'on se serve de leur marteau. Certaines fois le patron devait intervenir et obliger les platineurs à enseigner le métier aux jeunes. » Cette rétention du savoir illustre la conscience qu'avaient les platineurs d'appartenir à une élite, très soucieuse de protéger ses privilèges. Seuls ceux qui avaient surmonté les épreuves par leur ténacité et leur intelligence pouvaient être admis parmi les meilleurs. Pour tous, l'entrée à l'usine était marquée par des farces plus ou moins agréables. L'apprenti se baladait toute une journée, lourdement chargé, d'un poste à l'autre de l'atelier à la recherche de la forge neuve. » Des œufs gobés par les anciens, étaient remplis d'eau, ou d'un autre liquide, puis écrasés sur la tête des apprentis. » Ou bien encore, les jeunes étaient tenus de boire plusieurs litres de vin en continu. Témoignages recueillis aux Forges et Taillanderies de Charavines. 19C'est pourtant à l'obstination12 de l'apprenti à apprendre, à s'exercer en dehors des heures de travail, que le contremaître devine un futur platineur. En effet, ne devient pas platineur qui veut. Les aptitudes requises sont nombreuses intelligence, œil exercé, confiance en soi, coordination des mouvements, et surtout une volonté farouche. 20Plusieurs années sont nécessaires à la maturation d'un bon platineur. En trois ans, il est capable de forger une ou deux sortes d'outils, en cinq ans son champ s'élargit, mais il faut attendre quelque dix années de pratique pour qu'il sache répondre à n'importe quelle demande du contremaître. Toutefois, chacun possède une spécialisation. Marius Tamini, cinquante ans, platineur aux préfère forger de gros outils, tels les haches, les béchards, les binettes... Le travail est certes plus pénible, mais présente des difficultés moindres par rapport au façonnage d'instruments plus fins, comme les serpes, les faucilles. Il forge environ 300 binettes par jour, 150 béchards à deux dents, 100 à trois dents. 21Au sein de l'atelier, une nette admiration transparaît dans les propos des ouvriers pour le travail du platineur. Beaucoup auraient souhaité l'être, mais avouent la difficulté d'apprentissage. Sans amertume, M. Blanc-Mathieu, redresseur, décrit l'habileté et la finesse du travail de forgeage. Pourtant les difficultés qu'il a rencontrées à l'apprentissage de celui-ci, l'ont poussé à choisir un poste différent. Certains attribuent leur échec au peu de temps dont dispose le platineur pour former l'apprenti. Celui-ci perçoit en effet, outre un salaire fixe, une prime de rendement calculée sur le supplément d'outils forgés au quota fixé. 22Pendant la période de croissance des taillanderies, 1890-1914, le recrutement des ouvriers s'effectue selon deux schémas. Un recrutement local, sur les communes alentour, un recrutement extra-régional. Ce dernier a pour but essentiel d'accueillir au sein de l'usine, des ouvriers hautement qualifiés, détenteurs de secrets de fabrication appris dans les ateliers concurrents. Il semble que cette main-d'œuvre mobile ait beaucoup contribué à l'évolution des types de fabrication, et à la mise en œuvre de procédés nouveaux. 23L'origine de ces maîtres-ouvriers, autrement appelés compagnons, est diverse. Le plus souvent, ils viennent du département, ou des régions proches, Savoie, Haute-Savoie, Loire... A l'exemple de M. Alsina, forgeron de La Chapelle-du-Bard, Savoie, ils se déplacent parfois avec leur famille, et sont logés à l'usine dans des appartements qui leur sont réservés. Ils travaillent à façon, à l'image des artisans, se chargeant de l'exécution de la commande pour toutes les opérations de forgeage. Le compagnon est alors son propre patron » dans l'atelier, c'est lui qui rétribue le chauffeur sur le salaire qu'il perçoit pour la réalisation des séries. Embauchés à l'usine pour une période plus ou moins longue, selon l'offre et la demande, ces ouvriers acquièrent une expérience et une qualification professionnelles qui les placent en deçà du monde ouvrier dans lequel ils se fondent peu. 24Parallèlement, l'essentiel de la main-d'œuvre de l'usine est recrutée sur place. Le patron embauche en priorité les enfants des ouvriers. A cela, plusieurs raisons. Il s'assure ainsi d'une certaine cohérence dans son personnel, d'une stabilité professionnelle intéressante dans un atelier où peuvent se succéder deux ou trois générations d'ouvriers d'une même famille. Aujourd'hui encore, aux Forges et Taillanderies de Charavines, deux platineurs sont issus d'une lignée de forgerons maison ». Mais ces ouvriers recommandés » sont aussi pour le patron une assurance que la transmission du savoir, l'apprentissage, s'opérera dans de bonnes conditions. La stabilité de la main-d'œuvre est moins nette aujourd'hui que pendant la première moitié du xxe siècle. Pourtant l'environnement rural des taillanderies contribue largement à maintenir un personnel fixe, très souvent pluriactif, dont la mentalité est, selon l'expression même du directeur d'une usine, particulièrement bonne ». La sociabilité ouvrière 25 Les rapports entre les ouvriers sont bons, c'est seulement dans les forges qu'on trouve une ambiance pareille. Ailleurs, même dans les petites boîtes, c'est différent. » Interview, op. cit.. L'ambiance de l'atelier est faite de moments partagés, avec toutefois un caractère largement positif. La convivialité pendant les heures de travail s'exprime dans les temps de pause ; les ouvriers bavardent entre eux, et boivent un verre ensemble. Moins répandue qu'autrefois, l'habitude de consommer du vin existe aujourd'hui encore. Sans excès, elle est un moyen de trouver une détente après des heures de travail où le corps est durement soumis aux bruits des marteaux, à la chaleur du four. Jusqu'en 1950, aux Forges et Taillanderies de Charavines, la majorité des ouvriers habitait dans des logements construits par le patron. Le fait de vivre ensemble maintenait fortement les liens noués pendant les heures de travail. Cette vie sociale était rythmée par les saisons. En hiver, après le travail, les ouvriers allaient passer la soirée les uns chez les autres, jouer à la belote, on était ensemble, il y avait de l'ambiance tous les soirs », dit Bruno F. L'été, les activités en commun étaient plus nombreuses jardinage et jeu de boules. Chaque famille avait droit à un jardin situé en bordure de la Fure, en amont de l'usine. Tous ensemble, ils bêchaient, semaient, plantaient... quand on était réuni le soir, on riait de bons coups ». Si le jardinage se faisait quotidiennement, le jeu de boules, la lyonnaise, se pratiquait surtout le samedi et le dimanche dans la cour de l'usine. C'était aussi une occasion de bien boire. Le vin était acheté à la coopérative La Fourmi située en face de l'usine On mettait le cageot à rafraîchir dans le bassin, et le lundi, on comptait les capsules cinquante-neuf, ça avait été une bonne journée. » L'amélioration des conditions de vie a permis à la plupart des ouvriers de construire une maison et d'habiter des sites plus riants. Aussi, cette vie très communautaire, a eu tendance à éclater. Toutefois, certaines activités communes ont persisté et d'autres liens sociaux, plus élargis, sont apparus. 26Saint-Eloi, patron des forgerons, est annuellement fêté par un banquet qui se déroule le premier samedi du mois de décembre. Si l'esprit de cette réunion est strictement masculin, une entorse est faite à la règle, puisque aujourd'hui une femme, ouvrière de l'usine, est admise. Le repas, pris dans un restaurant d'une commune alentour, est l'occasion pour chacun de raconter les innombrables récits et anecdotes qui jalonnent la vie des ateliers. Présente dans toutes les mémoires, la chanson des forgerons est entonnée en chœur, rythmée par des chocs de bouteilles, reproduisant le bruit du marteau sur l'enclume. 27Chaque veille de fête, de départ en vacances, est le prétexte d'une petite réunion où l'on grille sur le feu de l'orge, quelques saucisses, où l'on déguste la tomme maison », avec un petit vin de pays. L'on se sépare sur une partie de boules dans la cour de l'usine. Il est surprenant de noter la force et l'importance que revêtent pour chacun ces traditions professionnelles. Alors que de nombreux ouvriers prennent part à d'autres formes d'activités sociales, association de boules, de pêche, de chasse, chacun exprime son attachement aux vieilles fêtes ouvrières en y participant activement. Technique et chaîne opératoire 28La mise au mille calcul de rendement effectuée par le contremaître permet de déterminer le poids d'acier nécessaire à la fabrication d'un outil. Le calcul est fait par addition du poids de déchet, la calamine oxyde de fer qui recouvre le métal chaud, produit par une main moyenne au poids de l'outil fini. Un croissant de 900 g est forgé à partir d'un lopin de 1400 g. Sur l'ensemble formé par le marteau électrique, de type Bradley, le platineur procède avant chaque séquence à l'aiguisage et au montage de la paire d'enclumes. Deux grandes séries d'enclumes sont à distinguer. Les enclumes pour ébaucher et écarter, et les enclumes de finition pour le planage. A cela se rajoutent les différences de formes qui varient avec les différences d'outils. 29L'enclume de frappe s'insère dans la bocquette ou tête du marteau, l'enclume du bas, le tas à forger se fixe sur la chabotte, partie immobile du marteau. Avant d'être montée, la paire d'enclumes est soigneusement aiguisée à la meule. Le platineur porte une attention particulière à cette opération qui détermine la battue correcte, c'est-à-dire la portée des enclumes l'une sur l'autre. Le montage et le calage s'effectuent à l'aide de clefs enfoncées en force à la masse. Le platineur règle enfin la hauteur de frappe du marteau à l'aide d'un morceau de métal, de l'épaisseur de l'ébauche, posé verticalement sur le tas à forger. Après vérification de la longueur de la battue, le platineur peut alors s'asseoir sur sa balancelle et amorcer l'ébauche de l'outil. Le platinage 30Le platinage recouvre deux opérations distinctes, l'ébauchage-écartage, et le planage-biseautage. Elles sont assurées par le platineur autrement appelé forgeron. Des variations existent dans les différentes opérations de forgeage d'un outil. D'une manière générale, les étapes techniques sont les mêmes, alors que le matériel utilisé, enclumes, tenailles, diffèrent. La position du platineur varie elle aussi ; il peut être assis ou bien debout face à son marteau. Des relevés ethnographiques ont été effectués pour trois grandes séries ; l'outil à soie comme la faucille, l'outil à douille roulé comme le croissant, l'outil à douille central comme le croc. La séquence suivante illustre la fabrication d'un croissant, modèle croissant de Paris, utilisé couramment pour élaguer les branches hautes des arbres. L'ébauchage, première chaude chauffe, en terme professionnel... 31Le platineur, assis sur la balancelle, saisit à l'aide d'une longue paire de tenailles le lopin d'acier, chauffé à 1200 °C dans un four à gaz placé à ses côtés. Il change de tenailles, et débute l'étirage du morceau d'acier. Déporté sur le côté droit de la tête du marteau, il étire la douille par une frappe lente sur la tranche, puis sur le plat du lopin, utilisant la partie plate de l'enclume. Il étire ensuite la lame à la bonne longueur, frappant tour à tour le plat puis la tranche sur la partie arrondie de l'enclume. 32En une seconde chaude, le platineur écarte la planche. Il étale la matière pour obtenir la largeur et la courbure du croissant. Face au marteau, il forge alternativement la tranche puis le plat. Pivotant sur le côté, il achève une face de l'outil. De nouveau face au marteau, il présente l'outil sur l'autre face en amorçant du poignet un mouvement avant-arrière, et droite-gauche pour former la courbure du croissant. L'ébauche terminée, il la pose sur un gabarit en tôle afin de vérifier l'exactitude des dimensions et de la forme. Le biseautage et le planage effacer les traces du marteau... 33En une troisième chaude, le platineur amorce le biseau de la lame, en amincissant le bord externe de la planche. Il efface ensuite les traces de marteau des opérations précédentes ; c'est le planage. Le platineur est face à son marteau, sa position varie peu. L'écartage et le roulage de la douille 34La lame du croissant ébauchée, le platineur procède alors à l'écartage de la douille. Le rythme de frappe et les gestes sont rapides, une réglette lui permet de vérifier la largeur de la douille. Debout, face à un marteau de plus petite dimension, à l'aide d'une paire d'enclumes spécifique, le platineur relève les bords de la douille, puis opérant un mouvement rotatif, il roule, puis ferme le fourreau dans lequel viendra se glisser le manche. 35Un seul homme assure l'ensemble des opérations de platinage. La suite des manipulations se fait selon un ordre précis et à travers un ensemble de postes opératoires différents. Le trempeur 36La trempe et le revenu assurent au métal les qualités nécessaires de dureté » et de robustesse. Le trempeur chauffe à 1180 °C les pièces dans un four, puis les plonge pendant trois minutes dans un bain de trempe, qui peut être d'huile, ou d'eau additionnée de produits chimiques. Le trempeur rince ensuite les outils dans un bac d'eau tiède, ou encore essuie dans de la sciure, ceux trempés à l'huile. Il efface ainsi toutes traces de matière grasse avant d'opérer le revenu », qui se déroule une nuit durant, sur une période de quinze heures. Le redresseur 37Le redressage se situe après la trempe et le revenu. En effet, les opérations successives de chauffe et de refroidissement déforment le métal. Au marteau à main, sur une petite enclume, le redresseur corrige les déformations de l'outil. Il arrondit la douille au marteau, redresse le talon du croissant, ou bien encore ajuste les dents du bêchard, aligne la lame de la faucille avec la soie » du manche... Le redressage s'effectue à froid. Les progrès importants réalisés dans la composition chimique des bains de trempe assurent une déformation minimale du métal. Dans le cas d'une trempe à l'eau pure, le redresseur opère à chaud le remodelage des outils. L'aiguiseur 38Dernière étape avant le vernissage et l'emballage, l'aiguisage. Ce poste de travail est en passe d'être totalement automatisé. En effet, la pénibilité occasionnée par la position semi courbée de l'aiguiseur, l'humidité constante de la pièce, les chocs provoqués par l'irrégularité de la meule, rendent ce métier rude et difficile. Pourtant l'aiguisage manuel assure une qualité supplémentaire à l'outil que l'on peut juger au fil de la lame, ou à la hauteur du taillant. 39Pourtant l'aiguisage manuel assure une qualité supplémentaire à l'outil que l'on peut juger au fil de la lame, ou à la hauteur du taillant. 40L'aiguiseur est debout, contre une botte mobile sur laquelle se trouve le porte-outil. L'outil est fixé sur le porte-outil, que l'aiguiseur déplace de la main droite, tandis que la main gauche maintient la botte de protection. Il aiguise une face, puis l'autre en portant contre la meule, qui tourne à 7000 tours par minute, le tranchant de l'outil. 41L'outil aiguisé est ensuite verni, emmanché, puis emballé. Si chaque usine possédait autrefois un atelier de menuiserie, la confection des manches, portes-lames est aujourd'hui entièrement sous-traitée. Par ailleurs, d'autres matériaux que le bois sont usités. La bakélite par exemple, que l'on retrouve souvent dans les ustensiles de ménage, couperet de cuisine, hachoirs, etc. Outil et technologie culturelle 42A l'origine de l'outil se trouve le paysan, le maçon, le charpentier, le vigneron, pour qui le modèle et la forme de l'instrument se doivent d'être parfaitement adaptés aux conditions d'usage. De là découle la nécessité de concevoir un outil en relation avec son environnement d'utilisation. Une houe, une bêche, un croc ne peuvent être réalisés sur un même modèle, selon qu'ils sont destinés à une utilisation en terrain caillouteux ou marécageux, en montagne, en plaine, etc. Si l'on s'en tient au marché intérieur français, les taillandiers de la Fure disposent d'un réseau de clients répartis dans toutes les provinces. Les quincailliers sont régulièrement démarchés par les représentants, qui enregistrent les commandes et notent les demandes particulières. Un agriculteur désire-t-il une serpe proche du modèle local, mais plus fine ou plus allongée ? Il reviendra au quincaillier de dessiner hâtivement la forme, et de la remettre à l'usine. Le contremaître, ou le patron, reprendra la proposition, concevra un modèle nature », puis réalisera un modèle gabarit » à partir duquel seront forgées les 30 ou 40 pièces à la commande. Cette nouvelle serpe recevra une dénomination particulière, puis sera archivée sous les références du client demandeur. Les archives des usines constituent une source de renseignements inépuisables sur les mille et une formes d'outils en usage. Les stocks de gabarits conservés sont, pour les taillandiers, une richesse infinie de formes, d'idées, d'objets. Les Forges et Taillanderies de Charavines disposent des 6000 modèles classés, numérotés, par région, client, et forme. Les taillandiers Rival à Fure en possédaient 4000, alors que Revex Forges, à Renage, compte environ 10 000 articles avec une appellation propre. 43En exemple de l'exigente diversité des fabrications dans la première moitié du xixe siècle, le catalogue de P. Experton-Revollier ne propose pas moins de 178 modèles de serpes. 44Cette infinie variété ne trouve aucune explication rationnelle, pas même dans les différences d'origines géographiques. Un pays, un village peut dénombrer plusieurs formes du même instrument le modèle de serpe Paris en compte 11, fort peu différentes les unes des autres, et toutes destinées à la même utilisation. 45A l'inverse des produits manufacturés fabriqués en série uniforme, un outil est conçu selon le besoin exprimé et défini par l'utilisateur. Les catalogues de fabrication, constitués au fil du temps, découlent d'une demande d'usage. Ils ne sont jamais le fait d'un quelconque bureau d'études leur principe s'inscrit dans les traditions techniques micro localisées. 46Monde de travail reposant sur une technologie simple, les taillanderies de la Fure relèvent d'une série d'arrangements sociaux, historiques, géographiques, techniques et culturels. Une mentalité spécifique s'exprime à travers la vivacité des traditions professionnelles. 47Mais les taillandiers sont en butte à des difficultés économiques, et à une sévère concurrence internationale. A l'heure où la mécanisation s'est répandue dans tous les grands domaines, le marché de l'outil à main est peu porteur. Aussi, pour survivre, ont-ils opéré récemment une concentration des moyens de production, et une rationalisation du travail. Selon les équipements en place, chaque usine présente une orientation technique et économique précise. Réalisation de petites séries et d'outils délicats à forger pour les Forges et Taillanderies de Charavines, qui possèdent une chaîne de fabrication traditionnelle, et comptent des ouvriers très qualifiés. Exécution de commande importante aux ateliers de Renage, équipés de presses de plusieurs tonnes pour un forgeage par estampage, et matriçage. Les taillandiers de la Fure raisonnent aujourd'hui en termes de survie économique, productivité, rendement, uniformisation de la production. Ce sont là, ajoutés aux multiples valeurs qui fondent leur tradition technique, autant d'atouts nécessaires à la poursuite de leur activité.

Caractéristiquestechniques Jolly Mec Botero 2. Poêle à granulés ventilé (soufflerie frontale) Puissance de 10 kW (existe en 8 kW) Existe en version canalisable (jusqu’à 2 pièces supplémentaires) Réservoir : 17 kg. Poids : 130 kg. Dimensions (cm) : H = 116, L = 54, P = 54. Raccordement par le dessus en conduit concentrique.

Evacuation des produits de la combustion des appareils à gaz du type raccordé § 1er. - Cet appareil ne concerne pas les appareils situés en chaufferie, qui doivent répondre aux prescriptions du chapitre VI du titre II du présent règlement. § 2. - Les produits de la combustion des appareils à gaz peuvent être évacués - par des conduits polycombustibles conformes aux prescriptions du paragraphe 3 ci-après ; - par des conduits réservés spécialement à leur évacuation dans l'atmosphère et dits conduits spéciaux gaz , conformes aux prescriptions du paragraphe 4 ci-après ; - par des dispositifs étanches sans communication avec l'air de la pièce gaines ou ventouses, conformes aux prescriptions du paragraphe 5 ci-après ; - par une hotte placée au-dessus du ou des appareils installée dans les conditions prescrites au paragraphe 6 ci-après ; - par des conduits conformes aux prescriptions du paragraphe 7 ci-après s'il s'agit de conduits réalisés avant la date d'entrée en vigueur des présentes dispositions. § 3. - Les conduits polycombustibles doivent satisfaire aux prescriptions suivantes a Ils sont conformes aux dispositions de l'arrêté relatif aux conduits de fumée desservant les logements ; b Ils sont conformes aux dispositions du n° 61-1 en ce qui concerne leur section ; c Un rétrécissement de section dans la partie en surélévation du toit ou de la terrasse n'est autorisé que si le raccordement du conduit et de la surélévation comporte une réduction progressive et continue de la section ; d Lorsque l'évacuation des fumées a lieu par extraction mécanique, le dispositif doit être tel que, en cas de panne, l'évacuation des fumées soit assurée par tirage naturel ou que les appareils soient automatiquement mis à l'arrêt. Le système de sécurité assurant l'arrêt automatique de la combustion peut être intégré aux appareils ; e Les conduits doivent être tubés s'il apparaît une imperméabilité à l'eau et à la vapeur d'eau insuffisante, même après chemisage éventuel. § 4. - Les conduits spécialement réservés à l'évacuation des produits de combustion du gaz conduits spéciaux gaz doivent satisfaire aux prescriptions du paragraphe 3 ci-dessus, modifiées et atténuées comme suit, nonobstant toutes dispositions contraires de l'arrêté précité relatif aux conduits de fumée desservant les logements 1° Résister à une température de 200 °C maintenue en permanence et à une température de 250 °C maintenue pendant une heure ; 2° Etre réalisés en matériaux conformes aux dispositions du DTU relatif aux travaux de fumisterie ou en tout autre matériau reconnu apte à l'emploi par un avis technique délivré conformément aux dispositions de l'arrêté portant création d'une commission chargée de formuler des avis techniques sur les procédés, matériaux, éléments ou équipements utilisés dans la construction ; 3° Lorsqu'il s'agit de conduits en matériaux minces, n'être ni encastrés ni incorporés dans la maçonnerie, mais au contraire être sans contact direct avec elle et, dans tous les cas, être isolés des locaux qu'ils traversent par une gaine en matériaux de catégorie MO. Les conduits individuels réalisés en matériaux minces pourront comporter jusqu'à quatre dévoiements correspondant à deux parties non verticales, l'angle de ceux-ci avec la verticale pouvant atteindre 45°, quelle que soit la hauteur dudit conduit. Ils doivent se terminer à leur partie supérieure par un élément vertical. § 5. - Les dispositifs d'alimentation en air et d'évacuation des produits de combustion des appareils à circuit étanche prélèvent l'air à l'extérieur et renvoient les gaz brûlés à l'extérieur, soit directement à travers un mur extérieur aménagé à cet effet, soit par l'intermédiaire d'un conduit collecteur spécial tel que décrit dans le n° 61-1. Dans le second cas, le nombre de locaux desservis par un même conduit est au maximum de deux par niveau. Les dispositifs sont obligatoirement fournis avec les appareils. Les orifices d'évacuation des appareils à circuit étanche rejetant les gaz brûlés à travers un mur extérieur doivent être situés à 0,40 mètre au moins de toute baie ouvrante et à 0,60 mètre au moins de tout orifice d'entrée d'air de ventilation, ces distances étant mesurées de l'axe de l'orifice d'évacuation des gaz brûlés au point le plus proche de la baie ouvrante ou de l'orifice de ventilation. Toutefois, dans le cas de prise d'air de ventilation mécanique, cette distance doit être augmentée de manière à éviter tout risque de pollution de l'air aspiré. Les orifices d'évacuation et de prise d'air des appareils à circuit étanche débouchant à moins de 1,80 mètre au-dessus du sol doivent être protégés efficacement contre toute intervention extérieure susceptible de nuire à leur fonctionnement normal. Les orifices d'évacuation débouchant directement sur une circulation extérieure notamment voie publique ou privée à moins de 1,80 mètre au-dessus du sol doivent comporter un déflecteur inamovible donnant aux gaz évacués une direction sensiblement parallèle au mur. § 6. - Toute hotte doit être raccordée à un conduit d'évacuation de diamètre approprié à l'importance de l'installation et, en outre, satisfaire aux règles particulières concernant les hottes qui sont fixées, d'une part, dans le règlement sanitaire départemental et, d'autre part, dans la suite du présent règlement installations de cuisine. § 7. - Les conduits réalisés avant la date d'application du présent règlement doivent satisfaire - soit aux prescriptions du paragraphe 4 ci-dessus s'il s'agit de conduits spéciaux gaz ; - soit aux prescriptions suivantes a Etre constitués de matériaux satisfaisant aux conditions de résistance à la température et de résistance à la corrosion requises pour l'évacuation des produits de combustion du gaz et satisfaire aux conditions d'étanchéité et d'isolation thermique requises pour l'évacuation des produits de combustion du gaz ou, à défaut, être tubés conformément aux spécifications définies au chapitre VI du n° 24-1 ; b Satisfaire aux dispositions visées en b, c et d du paragraphe 3 ci-dessus ; c Déboucher à l'extérieur à une hauteur telle que les obstacles formés par les parties d'immeuble distantes de moins de 8 mètres ne risquent pas de créer une zone de surpression préjudiciable au fonctionnement des conduits. Les conduits visés au présent paragraphe devront être soit individuels, soit collectifs avec conduit de raccordement individuel s'élevant au moins sur la hauteur d'un étage. Toutefois, dans les bâtiments existants, des dérogations aux dispositions qui précèdent, notamment pour l'utilisation de conduits de fumée collectifs, sans départ individuel type Alsace, pourront être accordées par l'autorité responsable après avis de la commission de sécurité compétente. 1aVLhb.
  • 3d6u9stya8.pages.dev/149
  • 3d6u9stya8.pages.dev/135
  • 3d6u9stya8.pages.dev/48
  • 3d6u9stya8.pages.dev/287
  • 3d6u9stya8.pages.dev/80
  • 3d6u9stya8.pages.dev/393
  • 3d6u9stya8.pages.dev/376
  • 3d6u9stya8.pages.dev/286
  • 3d6u9stya8.pages.dev/64
  • déboucher un fourreau avec un compresseur